BIEN PLUS BESOIN D’AMOUR QUE DE LOIS

Nous avons bien plus besoin d’amour que de lois. Chaque lieu de l’espace et du temps peut être le moment d’une rencontre. De nos jours, les événements défilent devant nos yeux à une vitesse surprenante. Nous sommes passés d’une civilisation commerciale qui fonctionnait encore assez bien à une dictature politico-médicale qui a mis toutes les structures sociales à genoux. Il n’est pas de mon ressort d’expliquer pourquoi cette soudaine et cruelle tyrannie n’a rien de médicale ou de sanitaire. Les vrais scientifiques, les vrais médecins le font très bien, même s’ils sont systématiquement censurés par des médias corporatifs à la solde du pouvoir en place. D’un seul coup, 40 millions de gens se retrouvent sans emploi aux États-Unis. Au Québec comme ailleurs dans le monde, les gens sont inquiets. Des élus, appuyés par la brutalité et la cruauté de miliciens ayant tout oublié de l’éthique et de la noblesse policière, ont interdit l’accès aux maisons de retraite où les familles désiraient accompagner les derniers jours de leurs aînés. Nombreux sont les gens qui n’ont pas pu le faire et les grands-parents nous ont quittés en se sentant abandonnés. Pareillement, de nombreux enfants sont désormais traumatisés : ils étaient devenus des criminels parce qu’ils allaient jouer à la balançoire dans un parc. Que s’est-il passé?

Si les médias n’étaient pas devenus des agents de propagande des pouvoirs en place, nous aurions pu lire les journaux ou regarder les nouvelles du soir. Mais du côté des médias, plus de la moitié du pays semble avoir perdu tout espoir : les rédacteurs de service ne nous disent que d’absurdes demi-vérités quand ce n’est pas carrément des mensonges. Il paraît que toute cette folie a été causée par une chose si microscopique qu’un engin électronique surpuissant soit nécessaire pour l’observer.

Quelle ne fut pas ma surprise quand j’ai appris que toutes les études scientifiques sérieuses avaient été censurées suite à l’avènement du confinement. De quoi les dirigeants ont-ils peur? Le coupable est, paraît-il, un virus. Pourtant, selon les biologistes qui ne sont pas encore complètement corrompus, un virus est un exosome, c’est-à-dire un débris organique qu’une cellule expulse quand elle se sent menacée ou empoisonnée par des radiofréquences ou des champs électromagnétiques. Un virus n’est pas vivant comme un microbe ou une bactérie. Il ne peut pas nous sauter dessus. C’est rassurant. Mais quoi qu’il en soit, ce n’est pas de manipulation moléculaire dont je veux vous parler aujourd’hui. Si vous voulez tout savoir sur la cabale qui entoure ce genre de situation burlesque, le docteur Étienne de Harven, un pionnier en virologie, vous encourage à lire le livre « Virus Mania » (Engelbrecht et Köhnlein aux Éditions Trafford) pour comprendre ce qu’est réellement un virus ainsi que la génétique qui l’entoure et comment il se comporte. Et si vous voulez vraiment savoir comment les épidémies et les pandémies se déclarent, et pourquoi elles se déclarent, vous n’avez qu’à vous procurer le livre intitulé « Invisible Rainbow » (Arthur Firstenberg, Éditions Chelsea Green). Je vous recommande de lire ces deux ouvrages pour comprendre les enjeux que nous vivons actuellement. Faites vos propres recherches, c’est crucial. Vous serez surpris d’apprendre que depuis 1918, la contagion de personne à personne n’a jamais été prouvée scientifiquement. Hélas, ces deux livres ne sont pas encore disponibles dans notre très chère et très précieuse langue française.

Ce dont j’aimerais surtout m’entretenir avec vous aujourd’hui, c’est d’amour. Et particulièrement m’adresser à nos dirigeants et à ceux et celles qui se retrouvent sous l’influence de leur politique. Face à la présente situation, je voudrais vous parler d’amour parce qu’il s’agit d’une vertu qui est si importante que les autres vertus universelles ne pourraient pas exister ou même survivre sans elle. De même que la gratitude, l’amour nous fait voir au-delà des circonstances immédiates qui se présentent à nous.

Je dirais donc à nos dirigeants du moment, et surtout à tous ceux et celles qui les suivent aveuglément et sans discernement, que l’amour est un sentiment qui ne doit pas être négligé, principalement en politique. Le pouvoir législatif et les lois elles-mêmes ne représentent pas toute la réalité d’un pays. Les lois doivent être accommodées de manière à nourrir un sentiment d’amour dans la société; sinon tout se passe comme s’il n’y avait pas de lois. Le développement d’une société saine ne fonctionne que dans les dimensions du respect et de l’appréciation du travail de chaque citoyen et ce sentiment d’affection devrait être spontané et non calculé. Des lois existent, et elles sont certainement utiles pour maintenir un minimum d’équilibre, mais elles devraient promouvoir et aider l’éveil intérieur de l’amour et de l’affection entre les individus. Il doit exister un libre courant d’énergie dans nos relations de personne à personne. Et pour être effectif, ce courant doit être basé sur la liberté. La liberté d’agir, de circuler, de voyager, de penser, de s’exprimer, de travailler, de se soigner, de se nourrir, de prier et d’élever ses enfants comme bon nous semble; cette liberté est la chose la plus importante.

Les nouveaux dirigeants doivent apprendre que la coercition et la répression ont immanquablement des effets pervers et contreproductifs. Sans liberté, personne n’est intéressé à vraiment faire partie d’une communauté. Un travail forcé n’est pas un travail. Une vaccination obligatoire n’est pas de la médecine. Ce qui est requis est un libre travail d’amour, c’est-à-dire qu’on doit aimer son travail. Le médecin doit aimer son patient et le malade doit avoir pleine confiance en son médecin. Les accords commerciaux doivent être fondés sur l’amour et la confiance, et non sur la cupidité et la supercherie. Les projets politiques et les croyances de quelques élus ne devraient perturber ou inquiéter personne. Un dirigeant qui honore les citoyens qui lui ont fait confiance en votant pour lui, ou pour elle, sera automatiquement honoré par eux. Sans respect mutuel, la vie sociale devient un mécanisme vide, une suite d’occupations robotiques, mécanisées et sans saveur. La vitalité d’un peuple, qui est la vraie caractéristique de son existence, est perdue par l’atteinte à sa liberté, et par le poids des lois et des règles qui lui sont imposées sans son consentement. Un dirigeant doit savoir cela s’il veut sincèrement faire prospérer sa province ou son pays et s’il ne veut pas avoir honte des actes de sa vie sur son lit de mort.

La liberté de penser doit être protégée car il s’agit d’un courant libre qui jaillit du cœur. Ce mouvement provient plus du cœur que de l’intellect. Dans tout contrat social, l’intellect ne devrait jamais barrer la route au libre courant qui vient du cœur. La vraie motivation et la détermination d’un dirigeant ne doivent pas être gardées secrètes. S’il n’est pas transparent, un chef n’agit pour rien et n’est un chef que de nom. La loi est nécessaire à un certain niveau mais elle ne doit pas asphyxier la vitalité des gens qui composent une société. Il est plus important de donner de l’amour que de passer des lois en catimini et de réclamer ensuite l’immunité parlementaire pour se protéger d’inconséquences criminelles préméditées. Quand un dirigeant est honnête, sans peur et sans reproche, à quoi peut bien lui servir l’immunité? L’amour est bien plus puissant que toutes les lois du monde.

Dans cet âge, le mot légalité n’est pas un synonyme d’honnêteté. Il devrait l’être pourtant. S’il veut être favorablement jugé par la postérité, un dirigeant peut faire un show en public si cela l’amuse, mais à l’intérieur de lui il doit être sincère et cultiver une atmosphère de pureté d’intention au sein de son administration. L’amour du prochain, et non l’exploitation du peuple, devrait toujours être sa plus grande considération. C’est un problème de principe. Au lieu de bafouer sa mémoire, la future génération verra d’un bon œil sa sincérité. La transparence d’un dirigeant lui donne bien plus de moyens de contrôle que de maintenir de façon inconstitutionnelle une structure de pouvoir sans amour. Cette soif de pouvoir ne dure que quelques années et génère de grandes douleurs dans le cœur des citoyens. Chacun devient vite déçu des aberrantes propagandes médiatiques et des discours vides de sens réel.

Nous devrions tous travailler ensemble dans un esprit d’amour de manière à s’unir pour établir une société qui attirera de grands médecins, de grands architectes, de grands artistes, de grands commerçants et de grands agriculteurs conscients de la valeur et de la préciosité des sols, des rivières et des nappes phréatiques, de grands visionnaires qui savent que la terre est fragile et que nous devons la respecter si nous voulons qu’elle continue à bien nous nourrir, à bien étancher nos soifs et à nous offrir gratuitement de l’air pur. Personne ne devrait être forcé à faire quoi que ce soit. Il ne peut être question de force lorsque l’amour est présent. La société ne doit pas être réduite à un marché d’échanges impersonnels car cela la tue à long terme.

Un dirigeant ne devrait pas penser qu’il peut perdre sa position s’il ne parvient pas à imposer son autorité. Le vrai pouvoir vient d’ailleurs. Diviser pour mieux régner est la solution des faibles. La solution n’est pas d’exploiter un pays mais de faire en sorte que tout le monde coopère dans un esprit d’amitié et de confiance. Les gens sont naturellement heureux et prêts à obéir et à coopérer avec un gouvernement authentique mais cette saine harmonie ne devient possible que si on y ressent un sentiment d’amour authentique. Forcer les personnes dans un sens ou dans un autre ne les rendra jamais d’accord avec le pouvoir en place. Par contre, quand nous ressentons que nos dirigeants nous aiment et nous apprécient, nous sommes alors enclins à suivre avec joie leurs directives gouvernementales et tout le monde est heureux et les citoyens se sentent respectés, proactifs, partie prenante de leur belle province. Sinon, il y aura tristesse, violence, agressions et pénurie dans les campagnes comme dans les villes.

Le succès d’un dirigeant réside avant toute autre chose dans une attitude de confiance envers le peuple qu’il a comme devoir de diriger et d’inspirer. Cette confiance se ressent et oblige bien plus que la répression et le mensonge. Les forces de l’ordre ne devraient pas devenir les forces du désordre. On se souvient d’un temps où la police agissait pour protéger et servir, non pour exploiter et blesser les simples citoyens sortis dans les rues afin d’exprimer leurs idées. Il faut se rappeler que dans l’histoire humaine, les efforts de centralisation de quelques arrivistes ont toujours détruit l’enthousiasme des peuples. Lorsqu’il y a effort de centraliser les taxes, l’argent, la maintenance des infrastructures, les statuts corporatifs, les banques, la médecine, l’information et les crédits, le résultat est terriblement négatif pour tout le monde. Les nouveaux riches croient s’enrichir de cette manière mais en réalité ils ne font que se préparer à des conditions de vie futures affreusement difficiles car un sombre avenir les attend. Les hommes apprennent par la souffrance physique ou psychologique et nous pouvons leur pardonner. Toutefois, le pardon n’élimine pas la responsabilité des actes.

Dans un de ses fameux discours, on entend Bill Gates dire tout haut que la solution à la crise du monde moderne est un génocide. En lien avec l’OMS, il prévoit qu’avec quelques campagnes de vaccination les élites pourront obtenir entre 10 et 15 % de mortalité. Mais si leurs actions ne visent que la destruction de l’humanité, ces individus doivent savoir qu’il y aura pour eux un prix à payer et que leurs actes entraîneront d’épouvantables conséquences.

Imaginons qu’au lieu de décourager l’enthousiasme et la vitalité d’un pays, les nouveaux dirigeants mettront en place des structures sociales qui permettront à chaque citoyen d’être auto-suffisant et compétent dans toutes sortes de services utiles à la communauté. Ils le feront par amour et non par obligation. Ils ne minimiseront pas la responsabilité des personnes en centralisant toutes les forces régionales. La base sociale ne devrait pas dépendre d’un gouvernement car en réalité c’est le gouvernement qui dépend de la base sociale. À quoi peut bien servir de contrôler un pays par la force? On peut faire le malin en tant que premier ministre durant un certain temps mais on ne peut pas le faire bien longtemps. On peut tromper certaines personnes durant quelques mois ou quelques années mais on ne peut pas tromper tout le monde tout le temps. La manipulation de l’opinion publique par des médias corrompus se retourne irrévocablement contre les manipulateurs. L’ont-ils oublié? Il s’agit pourtant d’une loi universelle qui se répétera à l’infini dans l’univers.

Lorsque les vrais scientifiques, les vrais médecins et les vrais journalistes de recherche sont censurés, condamnés, déclarés hérétiques, exilés et parfois même assassinés afin que la vérité ne soit pas connue du grand public, la peur commence à remplacer l’amour. Il se développe une atmosphère de suspicion dans laquelle personne n’a plus confiance en personne et le bonheur de vivre en société s’en trouve complètement détruit. La pensée unique corporative ne nous aidera pas à vivre en paix dans une abondance durable. L’économie est saine lorsqu’elle est locale; l’apparent succès d’une économie mondiale est fragile parce qu’il repose sur des calculs artificiels. Un peuple doit apprendre à se tenir debout, sans préjugés ni idées toutes faites.

On se demande parfois où peut bien se trouver le bonheur. Tout dépend bien entendu de quel degré de bonheur il s’agit. En général, au niveau des sociétés humaines, une ambiance de bonheur s’installe immanquablement lorsqu’un sentiment d’amour, de respect et de confiance se développe entre un peuple et les élus qui le dirigent.

Pour finir, disons à nos dirigeants que la grande nécessité du moment n’est pas la distanciation fondée sur un mensonge d’État secondé par une organisation politico-médicale à la solde de quelques mondialistes en peine d’instaurer un nouvel ordre mondial dont ils seraient les seuls héritiers. Non, la grande nécessité est au contraire de rapprocher les gens et les cultures pour que l’unité du genre humain remplace les apparentes divisions culturelles. La nécessité n’est pas d’installer des caméras à chaque coin de rue mais de regarder à l’intérieur de son âme. Posons-nous la question : un État politique où des individus ont des millions de revenus, tandis que d’autres individus n’ont pas assez à manger, peut-il subsister quand l’amour n’est plus là?

Si on arrête les yeux sur le monde actuel, nous observons de nombreux symptômes de décadence. Les nations s’inquiètent de leur sort futur. L’écologie de la terre expire. La vérité est niée. L’inversion des valeurs est partout. Aurait-on oublié que les vraies larmes sont celles que fait couler la divine beauté du patrimoine de l’univers? On aperçoit des ministres qui pensent être des ministres et qui prennent au sérieux leurs discours. Les ambitions personnelles nous cachent la gravité du moment. Les nouvelles du soir nous semblent très importantes alors qu’elles ne sont qu’une ride à la surface de l’abîme. La société disparaîtra-t-elle? Rien ne meurt, tout se transforme. Cette transformation peut nous apporter le bonheur mais à une seule condition : nous devons faire comprendre à nos dirigeants que, d’une manière ou d’une autre, notre nation a plus besoin d’amour que de lois.

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