Il était une fois un autre Monde

Ce n’est plus une question, ce n’est plus une réponse, ce n’est pas même une croyance, une certitude ou un fait. C’est… ça ! Il existe un autre Monde, une autre Réalité que la nôtre. Voulez-vous son nom ? Avez-vous deux ou trois jours devant vous ?

Chaque religion majeure monothéiste, polythéiste, chaque religion mineure, chaque mythologie de chaque ethnie, chaque conte ou légende, même les plus inconnus d’origine tribale, sur tous les continents ont un nom. Ça va de Paradis, Enfer, Ciel, Shéol, Eden, Dar es Salam, champs d’Ialou, mais aussi de Pays d’Oz, Neverland, Élysées, Valhalla, Asgard, Helheim, Yomi no Kuni, Diyu, et je vous préviens : on peut s’y mettre longtemps.

Pour moi, ce lieu n’a pas de nom. C’est de l’autre Bord, de l’autre côté du Miroir. Dans une vision chamanique dans laquelle on m’a induit, suite à une session assez intense, j’ai vu des visages et des mains qui poussaient sur un film de plastique mou très mince de couleur jaune comme pour me montrer à quel c’était à la fois si proche et si loin, non pas loin, mais inaccessible.

Mais le vrai nom que je lui donne, dans mes écrits, c’est « Chez-moi ». Ma maison ou notre maison et, comme on le dit en portugais, nosso Lar. C’est Chez-moi là-bas, je viens de là, je suis né là il y a fort longtemps et là je ne vous parle pas de mon avatar au clavier, ce vieux monsieur aux cheveux blanchis par l’âge, mais de MOI ! Comme vous tous, je viens de là. C’est un Monde tout autre où la matière existe tout comme ici, mais à ce point différente de celle que nous connaissons en tant qu’humains que d’en définir la différence est tout comme essayer de comparer une brise printanière aux effluves floraux qui nous caressent le visage à un bloc de granit qui nous tombe dessus ! Les deux sont de la matière, non ?

Cela dit, Chez-moi n’est pas le bout du Monde. Quand mon avatar tirera sa révérence après de nombreuses décennies de loyaux services à mon endroit, je vais y retourner. Ce que j’y ferai ne m’est pas accessible maintenant, car je suis encore enfourné dans ce bac à viande, mais j’ai souvenance que ce n’est qu’un premier monde parmi d’autres encore plus subtils. D’ailleurs, quand nous sommes déterminés à grandir, croître, évoluer, c’est à ces mondes-là que nous pensons. Et si on revient sur Terre s’encroûter de nouveau, ce n’est pas pour évoluer mais pour apprendre. Ce n’est pas très compliqué en bout de piste. Avant d’effectuer des opérations à cœur ouvert ou dans le cerveau, le chirurgien qui en rêve doit d’abord se taper des années d’apprentissage et de cours et d’examens à l’Université et c’est loin d’être toujours plaisant. Il APPREND !

De temps à autre, pas toujours et pas pour tout le monde, il arrive parfois que notre Chez soi nous envoie des signes, des signaux, des trucs pas possibles ou simplement des expériences extrêmement intenses. Pourquoi ?

Jacques veut devenir électricien. Il va devoir apprendre ce qu’est l’électricité. Il va s’envoyer une couple de décharges de 220 dans le corps par erreur, il va se brûler les doigts, il va sursauter dans une gerbe de flammèches, puis quand il sera reçu dans son ordre professionnel, il ira travailler et faire des trucs qu’il aime. Il aura besoin de beaucoup d’équipement, notamment d’un camion rempli à ras bords de patentes dont je n’ai aucune idée du nom et encore moins de la fonction. Un ouvrier spécialisé a donc besoin d’un savoir très pointu et d’un équipement adapté à son boulot. Il en va de même pour n’importe quel corps de métier, n’importe quelle profession. Le scalpel, la drill, la foreuse, la scie mécanique, la grue géante, le pas de tir à la NASA, qu’importe. Chacun son métier, chacun ses bébelles.

Quant à moi, ma mission de vie depuis 1966, c’est d’écrire sur l’ufologie, le paranormal, la métaphysique. Alors, pas de grue géante pour moi, pas de flammèches qui me font sursauter et pas de scalpel avec lequel je finirai par fendre le cuir du sofa !

Mais, je vis des expériences ufologiques et paranormales, des messages, des synchronicités et si j’écris cet article, c’était quand je savourais le soleil magnifique de ce 28 octobre 2021, un des plus chauds automnes depuis longtemps et merde non, il a fallu que je rentre dans la maison pour écrire cet article parce que, voyez-moi, toute cette panoplie de guides et autres qui interagissent avec moi ont le don sacré de venir quérir mes dix doigts à chaque fois QUE JE ME FAIS BRONZER. C’est très irritant. Mais je les aime trop pour m’en plaindre.  Et là, pour me baver, un rayon de soleil vient tout juste de se glisser dans le couloir comme pour me dire « Je suis encore là, na, na, na. »

Anyway, j’ai fini. J’ai dit ce que j’avais à dire.

Galarneau ? Here I come !

 

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