L’extraordinaire banalité du mal

Dans mon plus récent livre, Manuel de survie spirituelle, il m’a semblé intéressant de partager l’avis du célèbre Docteur Louis Fouché sur la crise actuelle. Le Docteur Fouché est médecin anesthésiste-réanimateur, diplômé en éthique médicale (spécialisation anthropologie); il est également l’un des porte-paroles de Reinfo/covid. Superbe collectif de médecins, scientifiques, chercheurs, artistes et citoyens, Reinfo/covid est une précieuse source d’informations sur la crise que nous traversons.

Dans son ouvrage Tous Résistants dans l’Âme, publié en 2021 par les Éditions Guy Trédaniel en entretiens avec Stéphane Chatry (initiateur de la chaîne vidéo ÉthiqueTV.fr et de l’association ArtivismCA), le Docteur Fouché rapporte une histoire vécue. Tout le monde devrait lire son livre afin de prendre connaissance de ces faits et d’y réfléchir tant ils sont révélateurs et peuvent nous faire comprendre ce qui se passe aujourd’hui dans la tête de la plupart des politiciens, médecins, infirmières, journalistes et policiers, tous individuellement impliqués de près ou de loin dans la mise en place et la méthodologie coercitive des campagnes de vaccination. Cette histoire montre que l’argument « ce n’est pas de ma faute, j’ai juste suivi les ordres » n’est jamais recevable légalement lors des grands procès de tribunaux militaires qui font toujours suite aux trahisons d’État, car les personnes impliquées ont toujours des comptes à rendre tôt ou tard. 

Voilà donc cette histoire : « Dans le livre qui s’appelle Eichmann à Jérusalem (Gallimard, 1997), l’écrivaine Hannah Arendt raconte le procès d’Adolf Eichmann. Eichmann est un dignitaire nazi chargé de la logistique des trains, ceux qui vont vers les camps de la mort. Comme beaucoup de nazis à la fin de la deuxième guerre mondiale, il fuit en Amérique du Sud en espérant y couler des jours heureux. Mais il est rattrapé par Tsahal, l’armée israélienne, dans les années soixante, pour faire un procès retentissant à Jérusalem. Pour Israël, c’est l’occasion rêvée de faire le procès du nazisme, de montrer que le nazisme c’est le mal absolu, et que les agents du nazisme sont des démons. Sauf qu’au fur et à mesure des entretiens, qui sont bien entendu regardés par les journalistes du monde entier et filmés, les juges se rendent compte que Eichmann n’est pas vraiment méchant. C’est juste un abruti, un pauvre gars qui voulait juste que « les trains arrivent à l’heure ». Il voulait juste faire ce qu’on lui demande, suivre les ordres de ses supérieurs sans faire de vagues, se conformer aux instructions de ses patrons pour ne pas perdre sa job, sans regarder, sans questionner où vont les trains et sans se demander s’il y a des familles et des enfants dans les wagons! Hannah Arendt a cette phrase qui sera comme une déflagration dans l’histoire de la philosophie morale : elle parle de « l’extraordinaire banalité du mal ».

Le Docteur Fouché dit que pendant cette crise du Covid, énormément de gens ont été, et sont encore, dans une « extraordinaire banalité du mal ». Ils veulent juste que « les trains arrivent à l’heure », sans jamais regarder où vont les trains ; ils veulent être conformistes et disent souvent : « Je ne veux rien savoir de toutes ces histoires de génocide vaccinal! ».

L’écrivaine existentialiste Simone de Beauvoir nous avait pourtant prévenus : « Le principal fléau de l’humanité n’est pas l’ignorance, mais c’est le refus de faire l’effort de savoir ». En vérité, il semble qu’on se refuse à cet effort de voir la réalité en face non par crainte de l’effort, mais parce que l’on pressent qu’il entraînerait un changement des modes de pensée et d’expression, une révision des valeurs jusqu’ici admises. Il faudrait se rendre compte avec effroi que les médias et le gouvernement nous mentent. C’est une prise de conscience qui demande du courage, c’est-à-dire du cœur.

Au Québec, d’après ce qu’on m’a dit, beaucoup de gens ont même pu ressentir un immense malaise lorsqu’ils ont entendu une comédienne dire en onde à la télévision sans aucune honte : « J’aime les mesures liberticides du gouvernement parce que ça m’empêche de réfléchir! » Là, les gens se sont dit qu’on ne pouvait pas tomber plus bas sur l’échelle de l’irresponsabilité. Nous avons réellement affaire à une grave crise d’intelligence.

Le Docteur Fouché précise qu’il ne s’agit pas ici d’être « anti-vax » ou de perdre son temps en étant complotiste. La question est ailleurs. Nos opinions personnelles sont sans valeur face à ce qui se passe en coulisses; il s’agit donc simplement de faire ses propres recherches et de prendre conscience du nombre hallucinant d’effets secondaires et de mortalités après injection. L’un des enjeux est de regarder en face où vont « ces trains », où vont ces injections saturées d’oxyde de graphène et de protéine spike, où vont ces armes biogéniques faussement appelées médicaments, puis de tout faire pour faire arrêter ces « trains » afin de ne plus être complice du crime contre l’humanité que représentent les vaccins ARNm expérimentaux jusqu’en 2023 ainsi que le reste des mesures anti scientifiques mises en place.

Nous vivons actuellement une guerre psychologique à l’échelle mondiale. Les armes utilisées sont la fabrication de fausses images télévisuelles, la mobilisation de l’opinion publique et la manipulation mentale de masse. Submergé de propagande, tout citoyen a le devoir d’éteindre sa télé et de ne plus se faire dévorer le cerveau par les mensonges médiatiques afin de sortir de l’hypnose. Le réveil de la conscience humaine est absolument nécessaire avant qu’il ne soit trop tard, avant que la solution finale du nouvel ordre mondial se mette en place définitivement.

On rapporte que partout dans le monde, de nombreux scientifiques non corrompus par le Big Pharma disent que si le réveil de la morale, de l’empathie et de l’éthique sociale ne se manifeste pas dans la conscience des populations, il n’y aura pas assez de résistance au mal absolu et le totalitarisme sera là pour rester. Si l’identité numérique se met en place, l’humanité aura perdu la partie et ce sera alors le plan cosmique qui décidera d’activer les réactions du karma collectif de la planète Terre. Mais il ne faut pas trop compter sur Dieu, c’est plutôt Dieu qui compte sur nous.

Nous avons le choix. Ne cherchons pas le point d’appui dans les événements actuels ou dans la cupidité des corporations. De l’extérieur, ce point d’appui se dérobe sans cesse. Cherchons-le en nous-mêmes en trouvant le courage de voir la vérité en face. Je ne sais pas pour vous, mais pour ma part il m’a semblé que cette histoire vécue illustre parfaitement « l’extraordinaire banalité du mal » qui se joue sous nos yeux. Le grand Einstein disait aussi que ce n’est pas ceux qui font le mal qui font le plus de mal; d’après lui, ceux qui font le plus de mal sont ceux qui laissent faire le mal sans se renseigner et sans réagir. En y réfléchissant bien, peut-être qu’il n’avait pas complètement tort.

Alors que partout dans le monde, ainsi que dans plusieurs provinces canadiennes, toutes les restrictions de la fausse pandémie sont finalement tombées devant les évidences de la fraude et le retour du bon sens, nous voyons qu’au Québec les pauvres gens se croient encore obligés de porter une muselière pour aller faire leurs courses! Cette histoire d’Eichmann peut nous expliquer pourquoi il y a tant de gens qui sont hypnotisés, endormis, hébétés dans les commerces, les médias, les hôpitaux, les postes de police, les mairies, les arénas, les écoles, les collèges, les transports en commun, etc. Le procès d’Eichmann peut nous faire comprendre par quel horrible mécanisme inconscient des êtres supposément humains encouragent de nos jours une forme de dictature faussement sanitaire et d’un faux vaccin sans réfléchir aux désastreuses conséquences que leur complicité peut entraîner pour eux-mêmes et leur famille, leurs enfants, leurs aînés, leurs voisins et l’avenir de leur pays. Sans réfléchir aux tragiques conséquences de leur comportement, ils veulent juste que « les trains arrivent à l’heure », conformément à ce que les élus leur dictent. Et quand on leur demande de résister à la dictature « des trains », ils disent et font comme Adolf Eichmann qui ne faisait que suivre aveuglément les ordres d’Hitler : « On ne peut pas, tu ne peux pas, il faut suivre les ordres sans se poser de questions ».

Le Docteur Fouché dit qu’il voudrait que cette histoire soit comme un appel à la résistance. Un appel à ce que les gens éveillés s’autonomisent, se prennent en main, se reprennent en souveraineté, se mettent en lien les uns avec les autres, reconstruisent une protection collective positive et fassent « dérailler » le train qui est, selon le Professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, ainsi que selon le Professeur Didier Raoult, microbiologiste spécialiste des maladies infectieuses, « le plus grand scandale sanitaire du XXIème siècle ». Mais en réalité, il s’agit surtout d’un appel à la compassion, d’un appel à la lumière de l’âme humaine.

Alors, demande Louis Fouché, quelle voie pour s’en sortir? Il y a une grande responsabilité pour ceux qui se réveillent et qui prennent conscience de ce qui se passe aujourd’hui, une écrasante responsabilité : faisons nos propres recherches, posons-nous les bonnes questions, cherchons les vraies réponses. Si nous ne le faisons pas pour nous, faisons-le au moins pour tous ceux et celles qui sont déjà dans « les trains ». Regardons ce qui se passe en coulisses et prenons la décision de dire non au mal et oui à la bienveillance de l’humanité.

Patrick Bernard

 

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