Régler par la communication (suite)

Le mois dernier, je vous rappelle que j’avais passé une annonce invitant à prendre un moment pour me dire si une personne avait un problème quelconque avec moi. Je l’ai envoyée à chaque personne qui, selon moi, aurait eu avantage à saisir l’opportunité tendue; je l’ai fait de façon ciblée et de façon générale, raclant le passé et le présent. En fait, je l’ai fait à 98% parce qu’il y a deux personnes, dont une que je ne suis pas capable de joindre, et l’autre dont je sais qu’elle n’est pas rendue là, que ça ne s’améliorera pas; en plus que ça allait faire de la chicane dans le couple d’un membre de ma famille. J’ai accepté de laisser ça là comme tel, en bonne pacificatrice que je suis, et de guérir des espaces en mon cœur, en sachant qu’il est impossible que tout le monde avance à la même vitesse, incluant le respect pour ceux qui stagnent ou choisissent de reculer. J’ai béni tout ça, encore une fois de plus.

Je vous avoue que ça n’a pas été un franc succès!

J’en conclue l’hypothèse suivante : les gens s’en foutent! Soit qu’ils ne sont pas conscients de ce qu’ils créent, soit qu’ils sont littéralement bloqués de communiquer le problème, soit qu’ils ont peur tout simplement d’être, soit qu’ils ne me considèrent pas. Ou alors, j’ai tellement bien réussi mon parcours que ç’a laissé moins de marques que je ne l’aurais cru, que le monde pardonne plus facilement que moi, que je suis seule à vouloir régler des choses que les autres ont su laisser couler, mais je reste réaliste. Déjà que ma capacité à mettre ça droit, clair et efficace est supérieurement utilisée dans mon quotidien, moi qui accueille toute occasion pour observer l’amélioration naturelle et son évolution dans la vie, j’aurais plutôt à diagnostiquer que les gens ne savent pas avancer rapidement, se désynchronisent avec les opportunités de la vie, faute de responsabilités à honorer son plan.

Je vous raconte. Il y a une personne, un membre de la famille par alliance, avec qui j’ai pu avoir un échange par écrit. Plusieurs messages qui ont laissé une drôle d’impression, dans le sens qu’elle n’a pas réussi à mettre de la lumière sur ce qu’elle vivait, sur le comment, du moins. Je note que ça a évolué de 2/10.

Une autre, du type amie dans les années 2010, m’a sorti l’argument qu’elle n’était pas prête à me parler, que peut-être un jour ça pourrait marcher, mais pas maintenant. Je lui ai répondu merci pour sa réponse, parce que c’est déjà ça. Cinq minutes plus tard, c’est devenu évident. Elle agit comme si j’avais brûlé sa maison. Je me suis dit : non! Un instant! Je n’ai pas besoin de ça. Je me suis soustraite de son Facebook, avec un merci énergétique, tout en la retirant de mon plan de vie.

Un autre ami maintenant, où je sais pertinemment que ça ne va pas de son côté (et je sais pourquoi parce que je sais lire les énergies). Il a préféré ne pas répondre à mon invitation à discuter. J’ai respecté son évolution, l’ai béni, et me suis également dégagée de son Facebook, et je l’ai confié à des guides, comme quoi je vais accueillir s’il a le courage et la grandeur de son retour, mais que moi, c’est fini et je le bénis. Je ne mets plus de temps sur ses résistances au bonheur.

J’ai une tante qui m’a répondu cinq jours plus tard, pas avec des mots, mais en mettant un émoticône de fleur rose. J’en ai déduit qu’elle laissait une marge à de l’interprétation de ma part, ce que je n’ai pas apprécié. Elle m’a écrit pour donner suite à l’annonce que mon père lui avait faite, concernant un cancer de la peau que j’ai sur la tête, comme si elle bougeait plus vite lorsqu’elle est confrontée à de la maladie et que ses résistances s’évaporaient par amour, tout en restant pognée dans ses blocages de communication. (La semaine passée, il a été enlevé par chirurgie mineure, je suis en convalescence présentement.)

Les autres n’ont pas répondu, d’où le pourquoi que ça n’a pas été un grand succès. Il y a ma mère qui en a profité pour me dire que j’ai tout le temps raison et qu’on ne pouvait jamais rien me dire, et c’est normal parce que je l’assume pleinement. C’est déstabilisant pour les autres, je compatis. Surtout que j’ai une méga suprême écoute, quand on me dit ça, je sais que c’est faux. Parce que je comprends bien et vite, ma position reste quand même en haut, dans le concret. Ça prend de l’argument intelligent pour danser avec moi. C’est ça qui se passe. Je suis flexible, sauf si tu as tort.

J’ai eu des gens qui ont écrit positivement, comme quoi je suis agréable et gentille. En fait c’est égal, autant de retour positif que d’occasions bizarres. Donc, c’est neutre comme expérience, avec l’impression d’avoir avancé 3/10. On m’a d’ailleurs reproché d’avoir une affiche générale dans mon invitation à communiquer, ç’a été vexant pour certains. Je suis d’accord, ça se vexe trop vite des personnes, parfois souvent!

C’est correct! J’accueille comme c’est, et ça m’a permis de faire un autre tour d’horizon, pour bénir encore plus, dégager les cailloux sur le chemin. Ça devait être nécessaire parce que je suis plus en paix, et j’ai l’impression que j’ai pu davantage régler, en quelque part. Ça a dégagé de la place.

Merci! Soyez bénis.

Julie L.

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