Top 10 pour être un bon parent

Ça d’lair à être une évidence pour tout le monde! Mais non! Ce ne l’est pas. Je constate bien des choses autour de moi. Je capote parce que les gens ne sont pas conscients et qu’il y a bien des éléments qui leur passent sous le radar. Fait que je fais une mise en forme pour rendre des évidences claires à quelque part.

10- S’habiller selon la température :

Les bébés pieds nus à côté du frigidaire ouvert à l’épicerie, pas de caprine sur la tête à l’air climatisé. Pas de mitaines à -20 dans le carrosse, j’ai déjà vu ça. Ça laisse jouer les enfants dehors à 11 degrés en t-shirt. Après ça, c’est dans le trouble et c’est la faute de l’autre, du virus pogné à quelque part. J’ai pour principe que c’est mieux d’avoir une couche de plus et de l’enlever si tu as trop chaud. Et quand ça sort, je sors mon nez dehors aussi, voir s’ils ont conscientisé la température et s’ils se sont harmonisés avec. Sinon j’interviens : viens mettre ton manteau.

9- Les politesses de base :

Tenir sa fourchette proprement, bien mastiquer ses portions, fermer sa bouche, attendre qu’il n’y en ait plus avant de parler, parler quand c’est son tour, ne pas interrompre l’autre, dire merci naturellement, être dans sa gratitude, la reconnaissance que tu es privilégié, apprécier l’aide qu’on t’apporte. Écouter l’autre quand il nous parle. Mieux gérer ses émotions pour résoudre un conflit, pas l’envenimer. On ne crie pas, on ne mord pas, on ne donne pas de coup, même si tu es fâché. On s’excuse de nos erreurs. Bien se présenter quand on salue quelqu’un. Et tout ça, on reprend et reprend ces petits détails, jusqu’à temps que ça soit bien rentré. Comment créer l’harmonie relationnelle. Voilà!

8- Choix de consommation :

Un match de boxe, des films violents, le sucre, tout ce qui est cochonneries énergétiques détraquées qui passent dans les médias, dans nos conversations entre adultes, le sacrage, l’humour de mauvais genre, les armes à la maison, la drogue, l’alcool démesuré, la chicane, les stress de l’horaire et des conséquences qui en découlent, autant alimentaires ou autres, les jeux vidéos violents, la musique perturbée… J’ai pour mon dire: attends que ton enfant soit couché pour consommer tes niaiseries, pis permets-toi après d’enlever ces énergies-là de chez vous parce qu’il absorbe les fréquences de son environnement ainsi que vos déséquilibres. Par exemple, moi, quand ils sont là, c’est eux qui gèrent la télé. J’écoute mes affaires après. Je passe en arrière d’eux et les expose aux conséquences de choisir une telle énergie plutôt qu’une autre. Ils sont conscients de leur choix.

7- Ils veulent qu’on s’occupe d’eux :

Je regarde les enfants dont les parents sont concentrés sur leurs préférences: ça joue avec des haches dehors, ou du feu, des chaînes rouillées, ça brise des arbres, ça mange et ça jette par terre, il y a des poubelles partout. Il est tard et les enfants sont encore dehors. Ils brisent du matériel, ça se frappe, ça projette de tuer les animaux, ça prend de la drogue, ça se dit des bêtises, ça joue avec des médicaments, et j’en passe okay!

Moi, je m’adapte à ce qu’ils vivent et je les accompagne. Quand ils sont là, je suis là aussi, avec eux. Exemple : il commence à pleuvoir l’après-midi. Ils arrivent de l’autobus. Je suis à l’arrêt avec quatre parapluies pour que leur retour à la maison soit agréable. Mes enfants sont couchés en fonction de leur discipline de vie. On fait des choses ensemble. Tout le monde participe. Ils ont quelque chose à faire et ils développent leurs talents parce qu’on leur donne le moyen de le réaliser ou de le construire. Ça laisse les enfants dehors pour avoir la paix, ça ne marche pas.

6- La sécurité :

C’est une catégorie qui inclut les précédentes. Il ne faut pas aller à l’extrême non plus. Juste d’amener une vue d’ensemble, à se responsabiliser de ses choix. Tu veux faire du patin à roues alignées. Les chutes possibles, l’équipement pensé en fonction (le casque, les poignets/mains, coudes, genoux). Un cours sur comment fonctionne les électroménagers, les étapes à suivre quand on se cuisine quelque chose. L’explication des produits dans la maison, qu’ils touchent seulement à ce dont ils ont besoin. Le but d’un parent c’est de les amener à être autonomes. Une personne médicale me disait qu’il y avait bien des cas dûs à la négligence des parents qui n’insistent pas sur les règles de sécurité.

5- La responsabilité physique :

On déjeune avec une protéine, on boit beaucoup d’eau, on amène son eau quand on sort, on prend son bain, on mange beaucoup de légumes, des fruits. Je passe encore pour demander à mes enfants s’ils ont été à la selle aujourd’hui parce que c’est important d’y aller pour sûr. D’honorer son temple en le respectant et de lui offrir équilibre pour toutes les prouesses qu’il doit accomplir. Bien le soigner, le protéger, le reposer, l’aligner, l’accompagner dans ses transformations, lui donner de la douceur.

4- Être à l’écoute :

Les enfants vivent des choses, les parents d’autres. Se positionner dans son moment présent est la meilleure des choses. Seuls ces moments apporteront des solutions véritables, vous dégageant ainsi par la suite. Une écoute compatissante, ne pas imposer vos peurs, croyances ou directions quelconques par votre système mental désaligné. Accompagnez votre enfant à accueillir ses émotions et de les transmuter avec la lumière. Offrez-lui seulement vos directions du cœur, s’il vous les demande, sage conseil uniquement. Gardez vos préférences pour vous. N’interférez pas dans leur dessein qu’ils essaient d’entreprendre.

3- Gérer son corps émotionnel :

Essayez d’être aussi neutre que possible. Vous êtes un exemple pour vos enfants. Sont croches parce que vous êtes croche. Regardez comment vous parlez au monde, comment vous êtes respectueux envers la vie. Tout part de là. Choisissez la bienveillance comme mode d’éducation, un mélange d’amour, de droiture et de compassion. Vous allez voir que rapidement vous allez être testé par les «tout croches». Arrêtez d’envoyer chier tout le monde, ça va donner un break à la planète aussi.

2- La responsabilité énergétique :

Déjà là, ça commence par l’éveil et je ne serais pas en train d’écrire cette chronique si c’était le cas. Le respect de la vie, l’amour, sont à la base notre responsabilité de les réintégrer dans notre manière d’être et de vivre sur Terre. De l’ordre, de la suite dans les idées. C’est important, de la structure. Ça s’apprend.

1- Concevoir nos enfants dans la lumière :

Trop de personnes ne s’aiment pas lors de la conception ou sont sur l’effet physique de perturbateurs de fréquences. Ceux qui ont fait vivre trop d’abus sur leur métabolisme, ou psyché, et qui se reproduisent… ça ne fait pas des enfants forts et ils tombent vite dans l’ombre. Aime-toi, aime l’autre, aimez-vous. Laissez l’âme être. C’est comme ça qu’on fait venir des êtres évolués sur la terre et qu’on change le monde.

Julie L.

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