Depuis le début de l’opération psychologique de la contagion et de la dictature sanitaire qui tyrannise le globe, nous apprenons que le taux de suicide a augmenté de plus de 600 % aux États-Unis et que le nombre de prescriptions pour les antidépresseurs vedettes du Big Pharma a atteint 6 millions de plus que l’an dernier à la même époque. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. La guerre spirituelle qui se joue entre les forces cabalistiques du mal et celles de la lumière est une source de dépression majeure pour des millions d’individus.  Comme bien des gens que je connais, je suis las d’entendre parler de fraude électorale et d’injections expérimentales neurotoxiques qui passent pour être des vaccins. N’y aurait-il pas une manière différente de concevoir toute cette triste mascarade? En réalité, tout ce qui se trame transcende tout parti politique et toute opinion personnelle. Les vrais enjeux sont ailleurs. C’est pourquoi j’aimerais partager quelques réflexions à partir d’un autre niveau d’actualité afin de prendre du recul et de percevoir les événements sous un éclairage différent.

Nous savons intuitivement que nous sommes nés pour vivre une aventure extraordinaire. Nous savons intérieurement que des séries de merveilles inouïes nous attendent au cours des quelques décennies de notre passage dans la matière et au-delà. La crise actuelle n’est pas différente des crises qui ont secoué l’ancien monde. De millénaire en millénaire, de la destruction des Atlantes à la chute des civilisations sumérienne, védique ou égyptienne, le problème est toujours le même : nous croyons n’être qu’un corps physique et nous sommes donc facilement contrôlés par la peur d’être malade, d’être contaminé, de vieillir et de mourir. Cette sarabande de menaces et d’illusions kaléidoscopiques trouble les esprits et nous rend malheureux.

Qui sommes-nous? On est ce qu’on mange, dit-on. Pour être plus précis, il faudrait plutôt dire que nous sommes ce que nous digérons. Pareillement, nos pensées ne sont pas construites par ce que nous recevons comme information, mais par ce que nous parvenons à intégrer dans notre esprit. Nous sommes ce que nous croyons, nous devenons ce qu’on nous a appris à croire. Nous sommes irrémédiablement façonnés par des programmes d’éducation qui ressemblent à de véritables lavages de cerveau. C’est pourquoi, quelle que soit l’époque dans laquelle nous vivons, il est crucial d’arrêter de remplir notre mental du fatras de fausses nouvelles propagées par des cartels médiatiques corporatifs. La diffusion à grande échelle de fausses informations nous maintient dans un état de peur et devient à coup sûr une arme de propagande. D’âge en âge, des moyens identiques sont mis en place par ceux qui veulent nous forcer à penser comme eux. On cherche à nous faire le plus grand mal en nous faisant croire que c’est pour notre plus grand bien.

Une marionnette du gouvernement avouait candidement, il y a quelques jours, je cite : « On a hâte de vacciner pour éliminer nos personnes les plus vulnérables ». C’est tout dire. Le directeur d’une des grandes fondations multinationales affirmait au début de l’année, je cite à nouveau : « Avec quelques  campagnes de vaccination, nous pouvons espérer éliminer environ 35 % de la population mondiale ». L’esclavage n’est jamais aussi réussi que lorsque l’esclave est heureux de l’être sans en être conscient. La méthode est intemporelle. Les dictateurs inversent les valeurs afin que les bonnes personnes paraissent mauvaises et que les mauvaises personnes paraissent bonnes, et les masses, hypnotisées par les chaînes de télévision, avalent ces fréquences nocives sans se rendre compte de rien. Il y a deux mille ans, le démoniaque Hérode payait déjà ses laquais afin qu’ils colportent des calomnies et salissent l’image des Esséniens.

Il s’agit toujours d’une guerre d’informations et les choses n’ont pas changé. Se gaver de fake news subliminales est un acte extrêmement insidieux qui revient à s’auto-soumettre à un grave conditionnement mental. Il faut savoir que ceux qui contrôlent les grands médias ont fait passer des lois qui leur permettent de diffuser toutes sortes de mensonges pour garder les masses sous une hypnose de peur et d’angoisse ; tout cela est fait dans le seul but de nous induire en erreur et de réduire à néant tout espoir de liberté. C’est pourtant nous, le peuple, qui avons le vrai pouvoir puisque nous faisons fonctionner l’économie. C’est pourquoi la petite caste qui s’est accaparé le système du capital cherche à tout prix à détruire l’économie. Un élément de solution serait de nous unir au-delà de nos religions, de nos croyances, de nos egos et de tout ce qui nous divise. Si ce qui nous sépare n’a plus lieu d’être, alors nous pouvons sauver la planète et l’humanité de la destruction qui les menace. Mais cette solution est une utopie, le citoyen moyen s’étant transformé en délateur, à la fois victime et complice des forces sombres qui le manipulent à son insu.

Quoi qu’il en soit, cette phase de destruction systématique des classes moyennes n’est qu’une étape dans l’immense processus de l’évolution des êtres et peut éventuellement devenir un épisode riche d’enseignements. Le fait d’être mis en cage, ou en confinement, d’être forcé de porter une muselière et de servir de cobaye pour des expérimentations médicales aux effets secondaires funestes peut nous pousser à apprécier la vraie liberté à sa juste valeur. On est même en droit de se demander si l’esclavage social et l’intense désir de s’en dégager ne constitueraient pas tous deux la préparation indispensable à l’expérience parfaite de la liberté de l’âme. Ce serait faire le meilleur usage spirituel d’une très mauvaise affaire matérielle. Par analogie, c’est sur le sol que nous tombons mais c’est ce même sol qui nous permet de nous relever.

Il existe un moyen pacifique de nous libérer de toute tyrannie. Posons-nous la question suivante : à qui profite l’information? Nous avons encore le choix de créer du temps pour faire nos propres recherches. Prenons du recul. Changeons de culture et nous nous changerons nous-mêmes. Toute notre connaissance repose sur ce que nous savons de l’univers. Or, l’univers fonctionne comme un gigantesque mental cosmique. Le regard que nous portons sur l’état des choses et sur tout ce qui nous arrive agit sur nous comme un miroir. Ce miroir mental reflète et détermine les croyances qui se sont installées en nous. Les croyances qui nous sont imposées dirigent notre existence. Tout vient de l’intérieur. Extérieurement, vous pouvez dire tout ce que vous voulez, mais les gens vous jugent par l’impression que fait sur eux le rayonnement de votre personnalité interne. Changer de croyance revient à changer d’individualité.

Pour mieux comprendre les crises aux multiples facettes qui se passent sur la terre depuis l’aube des temps, il nous faut disposer d’une vision spirituelle que la pensée matérialiste cartésienne ne peut pas nous offrir. En adoptant un point de vue plus large, nous parviendrons à considérer notre position dans le cadre de l’évolution du savoir. Ce savoir ne doit plus ignorer l’influence de l’esprit sur la matière. Cela implique une mutation profonde dans les pensées. Si nous ne dirigeons pas notre conscience par la puissance innée de notre pensée créatrice, il se passe en nous quelque chose de déplorable : nous nous retrouvons en train de suivre les directives données par des dirigeants qui nous mènent tout droit vers notre propre annihilation.

Aucune pensée ne demeure secrète bien longtemps. Nous ressemblons physiquement à ce que nous pensons spirituellement. En outre, ce que nous pensons est ressenti par les gens qui nous entourent. Si nous ne sommes pas heureux dans les conditions de vie dans lesquelles nous vivons, il existe une méthode que chacun peut pratiquer immédiatement. Il suffit d’avoir une vision claire de ce que nous voulons et de nourrir le modèle de pensée correspondant à travers lequel la puissance de notre pensée créatrice apportera la manifestation de son expression physique. Mais il y a un prérequis. Pour que ce processus fonctionne, il est nécessaire que notre attitude mentale émerge du Point-Dieu en nous, c’est-à-dire d’un espace indifférencié où la règle d’or intemporelle est activée. Quelle est cette règle ? Simplement ne pas faire aux autres ce qu’on ne voudrait pas que les autres nous fassent. Ce serait déjà un départ dans la bonne direction.

Si grands soient-ils, les guides de tous les temps et de tous les temples ne font que nous montrer le chemin qui est le leur et en lequel ils croient. C’est à nous de le suivre ou pas. Ils ne peuvent pas faire le chemin pour nous. Nous devons le faire nous-mêmes et ne plus nous attendre à ce qu’un sauveur le fasse pour nous. Les guides sont des accompagnateurs ; ils ne tenteront pas de solutionner nos problèmes, mais ils nous donneront certains moyens spirituels pour soulager nos tribulations durant notre séjour dans la matière. Leur rôle est d’éveiller en nous une conscience qui nous permettra une meilleure compréhension de notre habileté à solutionner nos difficultés. Ils nous diront qu’il est artificiel et inutile de vouloir renoncer au monde matériel. La seule chose à laquelle nous devons renoncer est notre attachement viscéral à la conception matérialiste de l’existence, mais pas de renoncer à l’existence elle-même. Notre vie présente est l’exact reflet de ce que nous avons choisi d’être dans le passé. Nous ne pouvons donc blâmer personne. Notre vie future sera l’exact reflet de ce que nous choisissons d’être dans le présent. Nous sommes pétris par les vibrations de nos opinions qui sont elles-mêmes formatées et façonnées par la fibre des informations que nous recevons jour après jour à travers les médias, la famille, les Églises, les livres que nous lisons, la sorte de nourriture que nous absorbons, les musiques que nous écoutons, les films que nous regardons, etc. Les influences karmiques venant de nos vies antérieures ont aussi un rôle à jouer. Le premier pas vers la maîtrise de notre vie serait donc de prendre conscience de la manière dont l’environnement informationnel nous conditionne. Ensuite, il est possible de sélectionner ce qui est vraiment dans l’intérêt de notre âme immortelle et pas uniquement dans l’intérêt des corps éphémères que nous empruntons et animons pour un temps plus ou moins long, entre naissance et mort d’une incarnation à l’autre.

Les maîtres de la science de la réalisation du soi, de même que les Prix Nobel de physique, sont tous en adéquation sur une chose étonnante: la réalité du monde se trouve dans la conscience et nulle part ailleurs. Là-dessus, il n’y a aucun doute de part et d’autre. La réalité des particules élémentaires de la matière dont est constitué le monde à trois dimensions dans lequel nous vivons se comporte exactement de la manière dont nous sommes conscients de lui. C’est pourquoi la réalité potentielle du monde se situe dans le mental.

(suite et fin du texte au prochain numéro)

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