LE SALUT DES FOUGÈRES

Avez-vous l’impression, en marchant dans un boisé, que certaines plantes,  telles les fougères ou à l’occasion quelques feuilles dans un arbre, frémissent alors que les autres autour ne bronchent même pas ? Elles semblent vouloir attirer votre regard ! Eh bien oui, c’est exactement cela. Comment savoir ? Écoutez Ferielle sur le sujet :

(Ferielle) Tu désires tout savoir, toi ; pourtant, si tu écoutais ton cœur, pas besoin d’autant d’efforts pour comprendre. Vous avez été doté de cinq magnifiques sens physiques et un sens métaphysique : l’intuition. Vous dépensez des fortunes pour mieux voir en vous procurant des lunettes. Des appareils auditifs très coûteux aussi. Qu’as-tu fait pour améliorer ton intuition, ah oui, j’oubliais : des pendules, des cartes, des pentacles, des tarots, des runes, le Yi Jing, etc., une panoplie d’outils physiques pour développer votre sens métaphysique, pas fort, jeune homme.

La forêt est bien plus que les poumons de Gaïa. L’idée que vous êtes de la viande et des patates, dans ton cas plus de la viande, n’est absolument pas réaliste. Due à cette croyance, vous êtes presque rendus à croire que vous êtes des « meat bag », « un paquet de viande », pour reprendre une expression militaire que tu connais bien. C’est tellement bien incrusté en vous que vous vous traitez exactement comme cela avec 22 guerres sur la planète. Résultat : des milliers de victimes collatérales, innocentes.

(RI) Vous avez l’air au courant, Ferielle ; alors, que devrions-nous faire avec cela et développer notre intuition devenue presque impénétrable ?

(Ferielle) La forêt, cher petit, c’est un de ses rôles métaphysiques, d’activer votre sens merveilleux de l’intuition. Non seulement l’activer, mais aussi le raffiner. Vous ne réalisez même pas l’être merveilleux que vous êtes. Aussitôt que vous mettez les pieds dans le boisé, un parc et bien entendu la forêt, l’arbre maître le plus proche avise tous les mondes subtils de votre présence. Tous les êtres des autres dimensions, sauf ceux du bas astral et bien sûr les démons de toutes sortes, s’émerveillent devant le défi que vous avez relevé ici sur terre. Nous voulons vous aider, c’est tellement difficile de vous arrêter quelques instants et d’absorber tout ce qui est là pour vous.

Vos yeux voient les mouvements des feuilles et des plantes que les Gnômes utilisent pour vous saluer. Ne passez pas outre, regardez, remerciez et saluez ces êtres ; les Deva vous frôlent souvent les cheveux, ils adorent la chevelure humaine ; les fées font bouger les fleurs pour vous saluer et vous indiquer où aller pour vous énergiser ; les demoiselles de pierre mettent de jolis cailloux sur votre route et auxquels vous ne pouvez résister, prenez-les et laissez-vous charmer ; de grâce, ne les emportez pas pour les serrer dans un tiroir sombre.

Les six exercices avec les arbres de ton atelier « bain de forêt » devraient être appris à l’école, mais que veux-tu, mieux tard que jamais. Les ondines tentent par tous les moyens de vous rendre plus souple, moins rigide sur certains points ; les Salamandres vous permettent de rêver alors que vous êtes dans la forêt ; les plans mijotent et finissent par se matérialiser ; les Sylphes façonnent les nuages pour vous signaler quelque chose d’important, et tous les arbres s’efforcent pour vous permettre de voir la lumière au bout du tunnel.

Vos défis sont gigantesques et nous voulons absolument participer avec vous à l’ascension de Gaïa. Les libellules vous disent que vous êtes sur la bonne voie. Les senteurs vous énergisent. Les fleurs émerveillent votre enfant intérieur pour que vous réalisiez qu’il est là pour vous ; les mousses vous incitent à vous asseoir et à relaxer quelques instants pour que ces énergies dans lesquelles vous baignez puissent agir sur vous.

Nous voulons que vous réussissiez, chacun à sa façon et avec ses moyens, à accomplir cette mission d’âme, si difficile et si enrichissante aussi. Je t’assure, jeune homme, que vous n’êtes pas un simple sac de viande. Pour nous des autres dimensions, vous êtes uniques et tellement beaux, on vous aime, laissez-vous aimer en retour.

(RI) Wow, merci Ferielle.

 

 

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