Quelques citations de Neale Donald Walsh
Merci à son éditeur francophone, les Éditions Ariane, qui nous autorise à vous partager certains passages du livre La trilogie des Conversations avec Dieu.
« Tout d’abord, soyons clairs par rapport à une chose : tu aimes ces problèmes, la plupart du moins. Tu les as admirablement utilisés pour te plaindre et pour attirer l’attention. » « L’une des rares fois où tu ne les as pas aimés, ce n’est que parce qu’ils étaient allés trop loin, plus loin que tu ne l’avais prévu en les créant. »
« Alors, comprenons ce que tu sais sans doute déjà : toute maladie est créée par soi-même. Même les docteurs en médecine traditionnelle voient aujourd’hui à quel point les gens se rendent malades. »
« La plupart des gens le font tout à fait inconsciemment. (Ils ne savent même pas ce qu’ils font.) Dès lors, quand ils tombent malades, ils ne savent pas ce qui leur tombe dessus. Ils disent que quelque chose leur est arrivé, non qu’ils se sont fait cette chose. »
« Cela survient parce qu’ils vivent inconsciemment toute leur vie, et pas seulement l’aspect de la santé et ses conséquences. »
« Les gens fument et se demandent pourquoi ils ont le cancer. Les gens ingèrent des animaux et des matières grasses, et se demandent pourquoi leurs artères sont bloquées. Les gens restent en colère toute leur vie et se demandent pourquoi ils ont des crises cardiaques. »
« Les gens sont en concurrence avec d’autres (sans pitié et sous une pression incroyable) et se demandent pourquoi ils subissent des attaques. »
« La vérité, qui n’est pas si évidente, c’est que la plupart des gens se meurent d’inquiétude. L’inquiétude est l’une des pires formes d’activité mentale, à l’exception de la haine, qui est profondément autodestructrice. L’inquiétude est inutile. C’est de l’énergie mentale gaspillée. Elle crée aussi des réactions biochimiques nocives pour le corps et engendre une multitude de problèmes allant de l’indigestion à l’infarctus. »
« La santé s’améliorera presque aussitôt que cessera l’inquiétude. L’inquiétude est l’activité de l’esprit qui ne comprend pas sa relation avec moi. »
« La haine est l’état mental le plus nocif. Elle empoisonne le corps, et ses effets sont en somme irréversibles. »
« La peur est le contraire de tout ce que tu es. Elle a donc un effet antagoniste sur ta santé mentale et physique. La peur est de l’inquiétude amplifiée. L’inquiétude, la haine, la peur – combinées à leurs sous-produits : l’anxiété, l’amertume, l’impatience, l’avarice, le manque de gentillesse, la tendance au jugement et la condamnation – attaquent le corps dans ses cellules mêmes. »
« Dans de telles conditions, il est impossible d’avoir un corps sain. De même, bien qu’à un degré moindre, la dissimulation, l’autogratification et l’avidité mènent à la maladie physique ou au manque de bien-être. »
« Toute maladie est d’abord créée dans le mental. »
« Rien ne survient dans ta vie – rien – qui ne soit d’abord une pensée. Les pensées sont comme des aimants qui attirent des effets vers toi. La pensée n’est peut-être pas toujours évidente, ni clairement causale, comme dans « Je vais contracter une terrible maladie ». La pensée peut être (et est habituellement) beaucoup plus subtile que cela : « Je ne suis pas digne de vivre », « Ma vie est toujours gâchée », « Je suis un perdant », « Dieu va me punir », « Je suis écœuré de la vie ». »
« Les pensées sont des formes d’énergie très subtiles, mais extrêmement puissantes. Les paroles sont moins subtiles, plus denses. Les actions sont les plus denses. L’action, c’est de l’énergie sous une forme physique lourde, en mouvement lourd. Quand tu penses, parles et agis à partir d’un concept négatif du genre « Je suis minable », tu mets en mouvement une incroyable énergie créatrice. Pas étonnant que tu attrapes alors un rhume, la moindre des conséquences. »
« Il est très difficile de renverser les effets d’une pensée négative lorsque ces effets ont adopté une forme physique. Pas impossible, mais très difficile. Il faut un acte de foi extrême. Cela exige une croyance extraordinaire en la force positive de l’univers, peu importe que tu l’appelles Dieu, l’Intouchable Puissance, Celui Qui Fait Bouger Sans Bouger, la Force première, la Cause première. »
« Les guérisseurs ont cette foi qui atteint la Connaissance absolue. Ils savent que tu es fait pour être entier, complet et parfait en ce moment présent. Cette connaissance est également une pensée, d’ailleurs très puissante. Elle a le pouvoir de soulever les montagnes, sans parler des molécules de ton corps. Voilà pourquoi les guérisseurs peuvent guérir, souvent même à distance. »
« La pensée ne connaît pas la distance. Elle fait le tour du monde et traverse l’univers plus vite que tu ne peux le dire. »
« Une parole de toi, et mon serviteur sera guéri. » Et il en fut ainsi, sur-le-champ, avant même que sa phrase ne soit achevée. Telle était la foi du centurion. »
« Mais vous, vous êtes tous lépreux dans le mental. Votre mental est dévoré par les pensées négatives. Certaines d’entre elles vous sont imposées, mais vous en fabriquez (faites apparaître) vous-mêmes un grand nombre que vous hébergez et entretenez ensuite pendant des heures, des jours, des semaines, des mois, voire des années… »
« … et vous vous demandez pourquoi vous êtes malades. Tu peux « résoudre certains problèmes de santé », comme tu le dis, en résolvant les problèmes qui affligent ta pensée. Oui, tu peux guérir certaines des maladies que tu as déjà développées (que tu t’es données), comme tu peux empêcher le développement de nouveaux problèmes. Et tu peux faire tout cela en changeant ta manière de penser. »
« »e déteste dire une telle chose, car cela paraît tellement insignifiant de la part de Dieu, mais, pour l’amour, prends mieux soin de toi-même. »
« Tu ne prends pas bien soin de ton corps, lui accordant peu d’attention, jusqu’à ce que tu soupçonnes que quelque chose va mal. Tu ne prends presque aucune mesure préventive. Tu t’occupes davantage de ta voiture que de ton corps, et c’est peu dire. »
« Tu n’arrives pas à prévenir les « pannes » par des examens de routine annuels, des thérapies et des médicaments. Et pourquoi irais-tu voir le médecin pour lui demander son aide, si tu n’utilises pas les remèdes qu’il suggère, peux-tu bien me le dire ? De plus, entre ces visites qui ne te font rien changer à ta manière de vivre, tu maltraites ton corps! »
« Comme tu ne l’entraînes pas à l’exercice, il devient flasque et, pis encore, il s’affaiblit à force de ne pas bouger. »
« Comme tu ne le nourris pas convenablement, il s’affaiblit davantage encore. »
« Puis, tu le remplis de toxines et de poisons, de substances hautement absurdes, déguisées en nourriture. Et ce merveilleux engin fonctionne tout de même pour toi, avançant en haletant et en persévérant bravement sous la charge. »
« C’est horrible ! Les conditions dans lesquelles tu demandes à ton corps de survivre sont horribles. Mais tu n’y feras pas grand-chose. Tu vas lire ça, hocher la tête en signe d’accord et de regret, et retourner tout droit à tes mauvais traitements. Et tu sais pourquoi? Parce que tu n’as aucune volonté de vivre. »
« Cela ne se veut ni dur ni condamnable. « Dur » est un terme relatif, un jugement que tu as accolé à ces mots. « Condamnation » a une connotation de culpabilité, et « culpabilité » a une connotation de méfait. Aucun méfait n’est pourtant en cause ici et, par conséquent, il n’y a ni culpabilité ni condamnation. »
« J’ai simplement énoncé la vérité. Comme tous les énoncés de vérité, celui-ci a le mérite de te réveiller. Certaines personnes n’aiment pas se faire réveiller. La plupart préfèrent rester endormies. »
« Le monde est dans l’état où il se trouve parce qu’il est plein de somnambules. »
« En ce qui concerne mon affirmation, qu’est-ce qui semble faux ? Tu n’as vraiment aucune volonté de vivre. Du moins, tu n’en as eu aucune jusqu’à présent. »
« Si tu me dis que tu as vécu une « conversion instantanée », je réévaluerai ma prédiction de ce que tu feras à partir de maintenant. Je reconnais que ma prédiction est fondée sur l’expérience passée, mais elle était également destinée à te réveiller. Parfois, lorsqu’une personne est vraiment profondément endormie, il faut la secouer un peu. »
« J’ai déjà constaté que tu avais eu une faible volonté de vivre. Tu peux le nier, mais dans ce cas tes actions en disent plus long que tes paroles. Si, dans ta vie, tu n’as jamais allumé une cigarette (sans parler de fumer un paquet par jour pendant vingt ans, comme tu l’as fait), c’est que tu as très peu de volonté de vivre, que tu ne te soucies guère de ton corps. »
« Et si tu as jamais pris de l’alcool, tu as encore très peu de volonté de vivre. Le corps n’était pas destiné à ingurgiter de l’alcool, lequel affaiblit l’esprit. »
« Mais considère ceci. Actuellement, vous, les humains, usez votre corps en une période de cinquante à quatre-vingts ans en général. Certains restent plus longtemps en forme, mais ils sont peu nombreux. Certains cessent de fonctionner plus tôt, mais ce n’est pas le cas de la majorité. »
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