Quelques citations de Neale Donald Walsh

Merci à son Éditeur francophone, les Éditions Ariane de nous autoriser à partager le contenu de La trilogie des Conversations avec Dieu.

« Vous ne mourez jamais. La vie est éternelle. Vous êtes immortels. Vous changez tout simplement de forme. Vous n’aviez même pas à le faire. Vous seuls en avez décidé autrement. Le corps que je vous ai fait est censé durer à jamais. »

« Crois-tu vraiment que le mieux que Dieu puisse faire, que je puisse créer, était un corps capable d’atteindre l’âge de 60, 70, peut-être 80 ans avant de s’effondrer? Est-ce là, à ton avis, la limite de ma capacité? »

« Je vous ai tous conçu un corps magnifique pour qu’il dure à jamais! Et les premiers humains ont vraiment vécu dans un corps presque sans douleur et sans la peur de ce que vous appelez aujourd’hui la mort. »

« Dans votre mythologie religieuse, Adam et Ève symbolisent la mémoire cellulaire de ces humains, première version. En réalité, bien entendu, ils étaient plus de deux. »

« L’idée de départ, c’était que votre âme merveilleuse ait une chance de connaître votre Soi en tant que qui vous êtes vraiment, par des expériences acquises dans le corps physique et le monde du relatif, comme je l’ai expliqué à maintes reprises. »

« Cela s’est fait en ralentissant la vitesse incommensurable de toute vibration (forme-pensée) pour produire de la matière, y compris celle que vous appelez le corps physique. »

« La vie a évolué, par une série d’étapes, en un clin d’œil que vous mesurez en milliards d’années. Et en cet instant sacré, vous êtes tous venus de la mer, l’eau de vie, jusque sur terre, sous la forme que vous entretenez à ce jour. »

« Je trouve amusant (c’est une source d’amusement continuel, en fait) que vous autres, humains, ayez un tel besoin de tout séparer en deux catégories : le vrai et le faux. Il ne vous vient jamais à l’esprit que vous avez inventé ces étiquettes pour vous aider à définir la matière – et votre Soi? »

« Il ne vous vient jamais à l’esprit (sauf aux esprits les plus raffinés parmi les vôtres) qu’une chose peut être à la fois vraie et fausse, que les choses ne sont l’une l’autre que dans le monde du relatif? Dans le monde de l’absolu, celui du temps-non-temps, toutes les choses sont tout. »

« Il n’y a ni mâle ni femelle, ni avant ni après, ni vite ni lent, ni ici ni là, ni haut ni bas, ni gauche ni droite, ni vrai ni faux. »

« Vos astronautes et cosmonautes ont acquis ce sentiment. Ils ont imaginé avoir été lancés vers le haut pour atteindre l’espace, puis ils ont découvert en arrivant là qu’ils levaient les yeux vers la Terre. Mais était-ce vraiment le cas? Peut-être baissaient-ils les yeux vers la Terre ! Mais alors, où était le soleil? En haut? En bas? Non ! Là-bas, à gauche. Soudainement, une chose ne se trouvait ni en haut ni en bas, mais de côté… et, par conséquent, toutes les définitions disparaissaient. »

« Ainsi en est-il dans mon monde – notre monde –, notre vrai royaume. Toutes les définitions disparaissent, et il est difficile de parler, même de ce royaume-ci, en termes définitifs. »

« La religion est une tentative de votre part de parler de l’indicible. Cependant, elle n’est pas très efficace. Non, mon fils, les évolutionnistes n’ont pas raison. J’ai créé tout cela en un clin d’œil, en un seul instant, comme l’ont dit les créationnistes. Et… tout cela a suivi un processus d’évolution étalé sur des milliards et des milliards de vos années, comme le prétendent les évolutionnistes. »

« Ils ont tous les deux raison. Comme l’ont découvert les cosmonautes, tout dépend de la manière dont vous regardez tout cela. »

« Mais la véritable question est la suivante : Entre un seul instant sacré et des milliards d’années, quelle est la différence? Peux-tu tout simplement reconnaître que sur certaines des questions de la vie, le mystère est trop grand pour que même toi tu le résolves? Pourquoi ne pas considérer le mystère comme sacré? Et pourquoi ne pas laisser le sacré être sacré, et le laisser en paix? »

« Mais tu sais déjà! Je viens de te le dire! Néanmoins, tu ne veux pas connaître la Vérité. Tu veux juste connaître la vérité telle que tu la comprends. C’est le plus grand obstacle à ton illumination. Tu crois déjà connaître la vérité! Tu crois déjà la comprendre. Dès lors, tu es d’accord avec tout ce que tu vois, entends ou lis et qui tombe dans le paradigme de ta compréhension, et tu rejettes tout ce qui n’y entre pas. Et tu qualifies cela d’apprentissage, d’ouverture aux enseignements. Hélas, tu ne pourras jamais être ouvert aux enseignements tant que tu seras fermé à tout, sauf à ta propre vérité. »

« Ainsi, certains diront que ce livre même est un blasphème – l’œuvre du diable. Mais que ceux qui ont des oreilles écoutent. Je te dis ceci : tu n’étais pas supposé mourir. Ta forme physique a été créée comme un magnifique instrument, un merveilleux outil, un glorieux véhicule te permettant de vivre la réalité que tu as créée avec ton mental, afin de connaître le Soi que tu as créé dans ton âme. »

« L’âme conçoit, le mental crée, le corps ressent. Le cercle est complet. L’âme se connaît alors dans sa propre expérience. Si elle n’aime pas ce qu’elle éprouve (ressent) ou souhaite, pour une raison quelconque, une expérience différente, elle conçoit tout simplement une nouvelle expérience du Soi et change littéralement d’idée. »

« Le corps se trouve bientôt à faire une nouvelle expérience. (« Je suis la résurrection et la Vie » en était un exemple magnifique. Comment, à ton avis, Jésus l’a-t-il fait? Tu ne crois peut-être pas que ce soit vraiment arrivé? Crois-le. C’est arrivé!) »

« Mais c’est ainsi : l’âme ne passe jamais outre au corps ou au mental. Je t’ai créé sous la forme d’un être triple-en-un. Tu es trois êtres en un seul, à mon image et à ma ressemblance. »

« Les trois aspects du Soi ne sont aucunement inégaux entre eux. Chacun a une fonction, mais aucune fonction n’est supérieure à l’autre et n’en précède vraiment une autre. Toutes sont reliées les unes aux autres de manière rigoureusement équivalente. »

« Conçois, crée, ressens. Ce que tu conçois, tu le crées. Ce que tu crées, tu le ressens. Ce que tu ressens, tu le conçois. »

« Voilà pourquoi il est dit que si tu peux amener ton corps à faire l’expérience de quelque chose (l’abondance, par exemple), tu en auras bientôt le sentiment dans l’âme, laquelle aura une nouvelle conception d’elle-même (à savoir, abondante) et présentera à ton esprit une nouvelle pensée à son égard. De cette nouvelle pensée naît alors une autre expérience, et le corps se met à vivre cette nouvelle réalité comme un état d’être permanent. »

« Ton corps, ton mental et ton âme ne font qu’un, désormais. En cela, tu es un microcosme du Divin Tout, du Tout sacré, de la Somme et de la Substance que je suis. À présent, tu vois de quelle façon je suis le commencement et la fin de tout, l’alpha et l’oméga. »

« À présent, laisse-moi t’expliquer le mystère ultime, ta relation exacte et véritable avec moi. »

« TU ES MON CORPS. »

« Tu es à mon mental et à mon âme ce que ton corps est à ton mental et à ton âme. Par conséquent : tout ce dont je fais l’expérience, j’en fais l’expérience par toi. Tout comme ton corps, ton mental et ton âme ne font qu’un, les miens ne font qu’un. »

« Ainsi, Jésus de Nazareth, l’un des nombreux êtres qui ont compris ce mystère, a prononcé une vérité immuable : « Le Père et moi ne faisons qu’un. »

« Je te dirai donc ceci : des vérités encore plus grandes que celle-ci te seront un jour révélées, car même si tu es mon corps, je suis le corps d’un autre. »

« Oui, je suis Dieu, tel que tu le comprends à présent. Je suis Déesse, telle que tu la comprends maintenant. Je suis le Concepteur et le Créateur de Tout ce que tu connais et ressens maintenant, et vous êtes mes enfants… même si je suis l’enfant d’un autre. »

« Je suis en train de te dire que ta perception de l’ultime réalité est plus limitée que tu ne le crois et que la Vérité est plus illimitée que tu ne l’imagines. »

« Je suis en train de te donner un aperçu, même tout petit, de l’infini – et de l’amour infini. (Si c’était un aperçu beaucoup plus grand, tu ne pourrais pas le contenir dans ta réalité. Tu peux à peine comprendre ceci). »

« Je te l’ai dit, si tu imagines que Dieu est ton créateur et maître (même si tu es le créateur et le maître de ton propre corps), je suis ce Dieu. Et tu es en train de me parler, oui. Ce fut une délicieuse conversation, non? »

« Nous tentons présentement de faire l’impossible, soit de parler de l’indicible. Comme je l’ai dit, c’est ce que la religion cherche à faire. Laisse-moi voir si je peux trouver une manière de résumer cela. »

« Le Toujours est plus long que tu ne le crois. L’Éternel est plus long que le Toujours. Dieu est plus que tu ne l’imagines. Dieu est l’énergie appelée imagination. Dieu est création. Dieu est la première pensée et la dernière expérience. Et Dieu est tout ce qu’il y a entre les deux. »

« As-tu jamais regardé dans un microscope puissant, ou vu des images ou des films d’action moléculaire, et dit : « Bon sang, il y a tout un univers là-dedans. Et pour cet univers, moi, l’observateur présent, je dois avoir l’air de Dieu! » As-tu déjà dit cela ou vécu ce genre d’expérience? »

« Tu t’es donné toi-même un aperçu de ce que je suis en train de te montrer ici. Et que ferais-tu si j’ajoutais que cette réalité dont tu t’es donné un aperçu ne finit jamais? »

« Prends la plus petite partie de l’univers que tu puisses imaginer. Imagine cette minuscule particule de matière. Qu’est-ce que tu obtiens? Deux moitiés plus petites. À présent, coupe-les aussi en deux. Qu’as-tu alors? J’ai deux moitiés plus petites. Divise, encore et encore ! Que reste-t-il? Des particules de plus en plus petites. Oui, mais quand cela s’arrête-t-il? Combien de fois peux-tu diviser la matière jusqu’à ce qu’elle cesse d’exister? »

« Tu veux dire que tu ne peux jamais la détruire complètement? Que tout ce que tu peux faire, c’est d’en changer la forme? Il me semble. Tu viens d’apprendre le secret de toute la vie et tu as vu l’infini. Qu’est-ce qui te laisse croire que l’infini ne va que dans une direction? Ainsi, il n’y a pas de fin vers le haut, pas plus qu’il n’y en a vers le bas. Il n’existe ni haut ni bas, mais je comprends le sens de tes propos. Si le petit est sans fin, cela signifie que le grand est sans fin aussi. »

« Je te dis ceci : JE SUIS CE QUE JE SUIS. Et TU ES CE QUE TU ES. Tu ne peux pas ne pas l’être. Tu peux changer de forme selon ton désir, mais tu ne peux cesser d’être. Cependant, tu peux échouer à connaître qui tu es et, dans cet échec, n’en faire l’expérience qu’à moitié. »

« Tu n’y es pas relégué à jamais. Tout ce qu’il faut pour sortir du fait de ne pas connaître, c’est de connaître à nouveau. Il y a bien des façons d’y arriver et bien des endroits (dimensions) où tu peux le faire. Tu es dans l’une de ces dimensions, à présent, et tu la qualifies, selon ta compréhension, de troisième dimension. »

« Ne t’ai-je pas dit qu’il y a bien des maisons dans mon royaume ? Je ne te l’aurais pas dit si ce n’était pas le cas. Alors, il n’y a pas d’enfer, pas vraiment. Il n’y a pas d’endroit ni de dimension où nous sommes condamnés à jamais! Quel en serait le but? Mais tu es toujours limité par ta connaissance, car tu es un être qui s’est créé lui-même. Vous l’êtes tous. Tu ne peux être ce que tu ne sais pas qu’est ton Soi.»

« Voilà pourquoi tu as reçu cette vie – pour te connaître à partir de ta propre expérience. Dès lors, tu pourras te concevoir comme étant qui tu es vraiment et te créer sous cette forme dans ton expérience, et le cercle sera de nouveau complet… mais plus grand. »

« Ainsi, tu es en processus de croissance ou, comme je l’ai énoncé ailleurs dans ce livre, de devenir. Il n’y a pas de limites à ce que tu peux devenir. »

« Rappelle-toi le triangle, la Sainte Trinité : âme-mental-corps, concevoir-créer-ressentir. Rappelle-toi, en utilisant ton symbolisme : ESPRIT SAINT = INSPIRATION = CONCEVOIR PÈRE = ÉLEVER UN ENFANT = CRÉER FILS = PROGÉNITURE = EXPÉRIENCE Le Fils fait l’expérience de la création de la pensée qui l’engendre, laquelle est conçue par le Saint-Esprit. Peux-tu t’imaginer un jour être un Dieu? Dans mes moments les plus fous. Laisse-moi te dire ceci : tu es déjà un Dieu. Tu ne le sais tout simplement pas. N’ai-je pas dit : « Vous êtes des dieux » »

 

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