Évolution de l’intelligence humaine
D’où vient la base physiologique de l’homme?
Les races se distinguent par plus d’une propriété. La race simienne est une branche qui s’est développée à partir d’un petit animal qui n’a jamais servi de base à une mutation qui conduisait au premier homme. L’homme n’a jamais eu de rapport dans la montée de son évolution avec les ancêtres non seulement de la race simienne, mais aussi de tous les primates, même ceux qui ressemblaient le plus, d’après la paléontologie, au soi-disant premier homme.
La base physiologique de l’homme parfait était une fine bête de la grosseur d’un écureuil qui ressemblait à un castor, comme forme.
Les mutations l’ont transformée, d’étape en étape, jusqu’à la taille d’un enfant moderne de douze ans.
Ces primates n’étaient pas cruels et ne se mangeaient pas entre eux.
Leur cerveau était encore inachevé, mais ils portaient déjà dans le cervelet le plan de l’homme futur.
Les primates inférieurs avaient atteint le sommet de leur évolution. La masse nerveuse logée dans les lobes occipitaux et pariétaux, avec quelques couches de neurones sur le plancher du lobe frontal, en faisait des êtres supérieurs à tous les animaux, mais sans comparaison avec les hommes, même le premier.
Quelle est la phase suivante de l’évolution de l’intelligence?
La mutation continua chez la race évolutive. Les couches de cellules nerveuses se superposaient maintenant au-dessus des yeux, formant peu à peu le lobe frontal.
Ces cellules contiennent tellement d’atomes de grande puissance électrique, que ces milliards de neurones frontaux permettent à l’homme de connaître et de juger la valeur de ce qu’il voit, entend ou touche.
Il est capable d’imaginer, de créer, et de s’élancer par l’esprit dans l’espace intersidéral, en y puisant l’inspiration, et même la science du monde parallèle, vibrant sur une autre longueur d’ondes que la sienne, et de rapporter sur terre les trésors qu’il y a trouvés.
À quel moment l’être humain est-il devenu raisonnable?
Un jour, alors que le lobe frontal n’était encore qu’à demi formé, il y eut mutation dans le sein d’une mère primate, alors que deux jumeaux étaient en gestation. Immédiatement, il y eut dix couches de neurones supplémentaires qui se formèrent dans le cerveau de ces enfants qui naîtraient, garçon et fille, six mois plus tard. Ce supplément de neurones les sortait d’une race inférieure, pour en faire des hommes raisonnables et porteurs d’une âme immortelle.
Cependant, leur cerveau n’était pas encore terminé. Il a fallu d’autres mutations pour arriver aux six races de couleurs différentes, et d’autres encore, pour atteindre la finesse de pensée de l’homme moderne.
À quel moment l’homme a-t-il acquis de la spiritualité?
Lorsque le lobe frontal forma un front légèrement oblique, les neurones recouvrirent le sommet des pariétaux, ajoutant de la spiritualité à l’intelligence logique et créatrice, aux tendances économiques, et de la beauté aux talents constructifs.
À mesure que les neurones se logent au-dessus du front, la spiritualité augmente, rendant l’homme de plus en plus homme, c’est-à-dire un trait d’union plus parfait entre la matière visible, les êtres divins et Dieu.
L’évolution du cerveau est-elle terminée?
Le cerveau ne se mesure pas au volume, mais à la finesse de sa texture, au nombre de ses ramifications et à la localisation de ses cellules. L’évolution du cerveau n’est pas encore terminée dans ses ramifications et ses localisations neuroniques, mais elle l’est dans la quantité de ses neurones.
À quel moment l’intelligence humaine a-t-elle commencé à fonctionner?
L’intelligence humaine a commencé à fonctionner lorsque la matière nerveuse a recouvert la base du lobe frontal, un pouce au-dessus de la racine du nez, verticalement, et s’étendant jusqu’aux tempes, c’est-à-dire aux coins extérieurs des yeux; car ce ne sont que les neurones frontaux qui donnent la conscience d’être, la capacité de penser, de choisir librement et d’analyser les événements et les objets qui l’entourent.
Quel est l’agent le plus important de la haute évolution?
À l’évolution de l’intelligence s’ajoute le modelage de la tête, de la figure, des membres inférieurs et le redressement de la taille.
Les cellules pyramidales du cortex déterminent l’orientation de la croissance des os, les allongent, les raccourcissent, leur donnent une forme longue ou plate. Elles déterminent également le potentiel de ramifications que les neurones peuvent atteindre. Elles sont l’agent le plus important de la haute évolution.
Qu’est-ce qui permet à cette évolution de se transmettre?
Cette évolution atteinte après des centaines de millions d’années se transmet d’un individu à l’autre, car les cellules reproductrices du mâle et de la femelle, de l’homme et de la femme, portent en elles l’histoire du cosmos et des individus qui l’ont véhiculée à travers les âges.
À chaque nouvelle naissance, la chaîne évolutive s’allonge d’un maillon. Chaque maillon construit son histoire propre. Il le greffe à mesure sur le canevas de la mémoire chromosomique qu’il a reçue au premier instant de sa conception.
Cette chaîne vivante, aux innombrables ramifications, forme un filet qui unit non seulement les êtres de la Terre, mais de tout l’univers. L’intelligence, support du psychisme, pointe ses milliards d’antennes dans l’espace et capte des messages que lancent les mondes lointains.
La plus grande merveille de la création est bien cette intelligence qui permet d’unir la matière à la Divinité.
*** Ronald a l’autorisation d’utiliser les enseignements d’Adéla Sergerie tirés de son livre Sciences Cosmiques.
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