Êtes-vous sur la bonne piste ?

Êtes-vous sur la bonne piste ?

Où en êtes-vous avec votre contrat d’âme ?

Comment savoir si nous respectons les clauses de notre contrat d’âme ? Il y a plusieurs signes que vous n’êtes pas tout à fait sur le bon sentier. Cette partie-là du casse-tête est facile, c’est plus difficile de revenir sur le bon sentier.

Voici les symptômes que j’ai pu remarquer lors des lectures de l’aura :

Des lundis matin infernaux : c’est le premier signe que votre boulot ne correspond pas à vos aspirations. Après une fin de semaine plutôt agréable, le retour au travail, quel qu’il soit, vous donne la nausée, alors il y a anguille sous roche. En fait, c’est le début du questionnement « qu’est-ce que je fous ici ? ».
De plus en plus irritable : tout me tombe sur les nerfs. La circulation, les piétons et cyclistes qui se foutent des règles de la circulation, mon ordinateur qui est de plus en plus lent (ou bien c’est moi qui ai de moins en moins de patience), je suis exaspéré presque tout le temps.
Le vide total : je me sens vide à l’intérieur, pas grand chose m’émeut, tout devient graduellement plus moche, rien ne me satisfait. Ma phrase favorite est « pas pire ! »
Tant de questions : aussitôt arrêté, je me mets à ruminer de vieilles affaires, je remets tout en question. Mon rôle, si même j’en ai un, mes relations tant personnelles que professionnelles, enfin tout est sur la planche. Où j’habite, où je travaille, où je me divertis !
Fatigue chronique. Parlons fatigue, pas compliqué, c’est constant. Je n’ai pas l’énergie pour presque ne rien faire, tout requiert un effort gigantesque. Pas d’énergie, pas d’inspiration et pas de motivation.
Peu d’estime de soi : un fléau celui-là, on dirait que plus les gens travaillent à élever leur taux vibratoire, plus ils doutent d’eux. C’est ce doute qui paralyse. Les occasions ne cessent de cogner à nos portes de sorte que l’on se demande ce que nous allons perdre en changeant, au lieu de nous demander ce que je vais gagner en relevant ce nouveau défi.
Merde, je suis devenu un robot : je suis sur le pilote automatique, la vie se déroule autour de moi, comme si je regardais une parade passer sans y participer, sans émotion, sans intérêt! Bla, bla, bla.

Je les ai toutes vécues, ces étapes d’écœurantite aiguë ; j’ai cherché longtemps comment sortir de ces états végétatifs. La bonne nouvelle, avec quelques outils, c’est possible.

QUE FAIRE MAINTENANT

La première chose à faire, c’est de comprendre ce que votre âme vous demande pour respecter ce fichu contrat. Plus vous vous éloignez de votre contrat d’âme ou mission d’âme, plus vous vous lancez dans les activités effrénées. C’est souvent le boulet accroché à une cheville lors de lecture de l’aura. C’est pour compenser pour ce vide intérieur que votre subconscient vous pousse vers cette frénésie diabolique.

Deuxièmement, vivez les émotions du moment, ne les « pitchez » pas à votre avatar ou justement dans le boulet pour entretenir la frénésie. Laissez les larmes couler, laissez passer le « motton » dans la gorge, faites vraiment l’effort de la vivre cette émotion-là ; les émotions sont un carburant et une fois vécues, elles expirent éventuellement et le calme revient.

Troisièmement, votre subconscient se manifeste occasionnellement à travers la curiosité ; ce n’est pas un défaut comme ça, c’est un outil fabuleux, c’est elle qui vous permet de découvrir de nouveaux points d’intérêt que vous ignoriez peut-être. Des opportunités, des synchronicités, etc. Si la chose ne vous convient pas, alors cherchez autre chose. Une fois trouvée, ça ne chambardera pas nécessairement votre vie. Le pouvoir de nos jours, c’est l’information, alors encouragez votre curiosité.

Quatrièmement, faites l’effort de rester optimiste. C’est fou comment nous pouvons créer des égrégores facilement dans notre maison, notre voiture et certainement dans nos lieux de travail. Rester optimiste est un outil presque magique contre la formation de voiles gris autour de nos demeures, dans notre chambre à coucher. Pas facile, j’en conviens, mais tellement puissant.

Cinquièmement, rayonnez l’amour, la joie, l’optimisme. Je ne le dirai jamais suffisamment : le contrat d’âme n’est pas une tâche, un boulot et certainement pas la frénésie de tout faire pour tout le monde.

Sixièmement, célébrez vos bons coups. Nous négligeons cet aspect de notre quotidien, tous les bons coups, aussi petits soient-ils, devraient être mis en valeur. Encore une fois, nous ne prenons pas le temps de célébrer régulièrement nos petites victoires, aussi simples soient-elles. C’est une marque de gratitude.

Septièmement, expérimentez la tranquillité. Votre âme en a grandement besoin pour s’ajuster continuellement aux conditions changeantes autour de vous. Écoutez votre corps et allez dans la nature. Pas besoin d’une forêt, un parc suffit, votre cour avec un seul arbre suffit. Écoutez attentivement les sons autour de vous et sur votre corps. De quoi mon corps a-t-il besoin à ce moment-ci ?

Dans nos vies, nous devons vraiment apprendre à écouter. L’écoute nous ouvre à un monde de compréhension et, dans le silence, nous pouvons sentir le grand lien entre notre âme et notre sagesse. C’est pourquoi la méditation, particulièrement au milieu de la nature, nous amène à trouver notre propre silence. Nous avons d’innombrables occasions de nous connecter avec qui nous sommes. Nous avons juste besoin d’écouter.

Huitièmement, soyez reconnaissant, quotidiennement ! La gratitude va de pair avec l’optimisme. La gratitude nous replace au point zéro. La gratitude a le pouvoir de changer le négatif en positif, essayez-la aujourd’hui.

COMMENT SAVOIR QUE VOTRE TAUX VIBRATOIRE EST SUFFISAMMENT ÉLEVÉ, ENTRE 6 ET 8 :

Cochez les énoncés que vous maîtrisez déjà :