Novembre : La conscience en saison, le mieux-être en mouvement

Novembre s’installe. Avec ses brumes, ses silences, ses feuilles tombées comme des lettres non lues. C’est un mois de transition, de dépouillement, de vérité nue. Et dans ce climat, la conscience devient plus audible. Elle se glisse entre les interstices du quotidien, elle nous invite à ralentir, à écouter, à ressentir. Elle nous demande : qu’est-ce qui est encore vivant en moi ? Qu’est-ce qui mérite d’être honoré, transformé, libéré ?

Dans cette édition de novembre, nous avons choisi de porter notre regard sur le mieux-être. Non pas comme une injonction à être parfait, zen ou toujours aligné. Mais comme une exploration vivante, imparfaite, incarnée. Le mieux-être, c’est ce que nous cherchons tous, chacun à notre manière. C’est ce qui nous relie, ce qui nous anime, ce qui nous pousse à créer, à partager, à témoigner.

Et c’est aussi ce qui rend possible, chaque mois, la réalisation de cette revue.

Gratitude vibratoire

Avant d’entrer dans le cœur des réflexions, je tiens à exprimer une gratitude profonde à tous ceux et celles qui rendent ce projet vivant. À nos collaborateurs, chroniqueurs, artistes, correcteurs, énergéticiens, et gardiens de la fréquence. À ceux qui offrent leur voix, leur plume, leur regard, leur vibration. À ceux qui répondent à l’appel, même dans le tumulte de leur propre vie.

Merci à vous. Merci pour votre constance, votre générosité, votre courage. Merci de croire en ce projet, de le nourrir, de le faire grandir. Merci de faire de cette revue un espace de conscience, de beauté, de vérité.

Et merci à vous, chers auditeurs, lecteurs, abonnés. Vous êtes le souffle qui nous porte. Vous êtes les témoins, les récepteurs, les amplificateurs. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la revue, dans la section accueil de notre site web, pour la recevoir par courriel à chaque numéro. C’est simple, c’est vivant, c’est offert.

Le mieux-être : une danse entre l’intérieur et l’extérieur

Le mieux-être ne se décrète pas. Il se ressent, il se construit, il se module. Il ne dépend pas uniquement de nos routines, de nos choix alimentaires, de nos pratiques spirituelles. Il dépend aussi de notre capacité à nous écouter, à nous respecter, à nous entourer de ce qui nous élève.

En novembre, le corps ralentit. Le système nerveux demande du repos. Les émotions remontent. Les mémoires s’activent. C’est un mois propice à l’introspection, à la réévaluation, à la réconciliation. C’est le moment idéal pour se poser la question : qu’est-ce que je veux vraiment honorer dans ma vie ? Qu’est-ce que je suis prêt(e) à laisser aller ?

Le mieux-être, c’est aussi reconnaître ce qui ne va pas. Ce qui fatigue. Ce qui pèse. Ce qui ne résonne plus. C’est avoir le courage de dire non. De mettre des limites. De choisir la paix plutôt que la performance. De choisir la vérité plutôt que le confort.

La conscience : une lumière dans le brouillard

La conscience, en novembre, devient une alliée précieuse. Elle nous aide à traverser les zones floues, les deuils invisibles, les transitions silencieuses. Elle nous rappelle que nous ne sommes pas seuls. Que chaque expérience, chaque émotion, chaque tension peut devenir une porte vers plus de présence.

Être conscient, ce n’est pas être parfait. C’est être vivant. C’est être capable de nommer ce qui est là, sans jugement. C’est être capable de se regarder avec tendresse, même dans les moments de chaos. C’est être capable de reconnaître les autres dans leur humanité, leur complexité, leur beauté.

La conscience nous invite à ralentir. À respirer. À écouter. À créer des espaces de vérité dans nos relations, dans nos projets, dans nos maisons. Elle nous invite à faire de chaque geste un rituel. De chaque parole, une offrande. De chaque silence, une prière.

Novembre : un mois pour se déposer

Ce mois-ci, je vous invite à vous déposer. À vous offrir des moments de douceur, de lenteur, de présence. À marcher dans la nature, à écrire, à méditer, à danser, à pleurer si nécessaire. À vous entourer de ce qui vous nourrit vraiment.

Je vous invite aussi à célébrer vos victoires. Même les plus petites. À reconnaître votre courage, votre résilience, votre lumière. À vous rappeler que vous êtes en chemin. Que vous êtes en train de guérir. Que vous êtes en train de vous retrouver.

Et si vous traversez des zones d’ombre, sachez que vous n’êtes pas seul(e). Que cette revue est là pour vous. Que nous sommes là pour vous. Que chaque mot, chaque image, chaque fréquence est une main tendue, une présence, une invitation à revenir à vous.

Une revue, un sanctuaire

Chaque mois, cette revue est un sanctuaire. Un espace de parole, de guérison, de création. Un lieu où les voix se rencontrent, où les vérités se tissent, où les âmes se reconnaissent. C’est un projet vivant, mouvant, évolutif. C’est une œuvre collective, une offrande vibratoire.

Et vous en faites partie. En lisant. En partageant. En vous abonnant. En écrivant. En témoignant. En étant là.

Alors merci. Merci pour votre présence. Merci pour votre écoute. Merci pour votre engagement.

En conclusion : vivre en conscience, c’est choisir la paix

Vivre en conscience, ce n’est pas fuir le monde. C’est le traverser avec lucidité, avec amour, avec courage. C’est choisir la paix, même quand tout semble nous pousser vers le conflit. C’est choisir la vérité, même quand elle dérange. C’est choisir l’amour, même quand il fait peur.

En novembre, je vous souhaite de choisir la paix. De choisir le mieux-être. De choisir la conscience. De vous choisir, vous.

Et je vous remercie, du fond du cœur, de faire partie de cette aventure.

Avec gratitude,

Julie Leblanc, rédactrice en chef

 

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