Le Chi spontané

Pour faciliter ces sensations, nous vous proposons un exercice intéressant de connexion avec l’énergie, intérieure et extérieure. Le Chi spontané est une technique millénaire de libération des tensions physiques, psychiques et énergétiques par le biais de l’énergie consciente, tant à l’intérieur de l’être qu’autour de lui. Le Chi est une force vitale circulant dans les canaux du corps. Le Chi spontané est l’expression libre de cette force, permettant de dégager les différents canaux qui peuvent être relativement obstrués ou noués.

Cette technique consiste en un abandon total de l’individu à la libre circulation de l’énergie. Son rôle se limite alors à être présent, sans aucune pensée, se laissant guider par l’œuvre autonome de l’énergie. Celle-ci, investie de pure conscience, génère des sensations et des mouvements subtils et corporels, permettant ainsi de libérer les tensions et de favoriser un assouplissement à tous les niveaux. Les mouvements ne sont pas initiés par l’individu ; ils se manifestent spontanément, sans intervention physique ou mentale, créant un état d’équilibre et d’harmonie naturelle propre à chaque personne. Plusieurs séances peuvent être nécessaires pour parvenir à une libération plus globale.

L’exercice invite la personne à se tenir debout, les yeux fermés, au centre d’un espace suffisamment grand pour permettre à son corps de se mouvoir sans obstacle. Les pieds sont naturellement écartés et les mains reposent de chaque côté du corps. Les mouvements surviennent spontanément ; ils peuvent être très subtils ou très amples, lents ou rapides, parfois même brusques. Quel que soit le mouvement, l’individu ne pense à rien et n’en fait aucune interprétation, celle-ci étant presque inévitablement erronée. Si une pensée émerge, il convient de la laisser passer sans s’y attarder. Des émotions peuvent également ressurgir au cours du processus. Sans les analyser, la personne ne résiste ni aux pleurs ni aux rires qui se manifestent spontanément.

Des kriyas peuvent survenir, c’est-à-dire de véritables relâchements de nœuds énergétiques, ou encore des positions qui favorisent le mouvement de l’énergie. Votre corps peut se déplacer doucement, très lentement, puis plus rapidement. Si un spasme survient, il survient. Une de vos mains pourrait se lever très lentement… puis revenir, et l’autre main pourrait se lever à son tour… Votre corps peut également se contorsionner complètement. À ce moment, le rythme peut s’accélérer. En abandonnant votre corps à l’énergie, vous permettez à celle-ci de rééquilibrer votre corps, de dénouer certains axes trop tendus. Vous pourriez, par exemple, vous retrouver à genoux, ou rester debout, mais contorsionné, avant que votre corps ne se repositionne.

Parfois, de longues minutes peuvent s’écouler sans mouvement apparent, que ce soit au début de la séance ou à n’importe quel moment. Puis, le corps peut effectuer un mouvement ou une série de mouvements soudains, ou encore adopter une position inusitée, se contorsionner pendant quelques secondes ou même plusieurs minutes. Il est conseillé de pratiquer sur une surface coussinée au cas où le corps viendrait au sol. En abandonnant ainsi son corps, l’individu permet à l’énergie de dénouer certains axes trop tendus et de favoriser le flux énergétique dans certains canaux.

Chaque séance est unique pour chacun et permet une réponse naturelle de tout l’organisme. Le Chi spontané repose sur une expression entièrement autonome de l’énergie, rendue possible par un lâcher-prise total de l’individu. Il permet un rééquilibrage global du corps, ainsi qu’un soin immédiat en cas de douleur due à un incident.

En fin de séance, vous ressentez à la fois une détente profonde et une vivification. Vous avez permis au Chi, à l’énergie, de circuler spontanément en vous et d’agir. C’est la conscience de l’énergie, du corps, et de vos corps de lumière environnants qui rééquilibre et harmonise votre énergie et votre corps. En somme, cet exercice facilite l’abandon dans l’état de conscience de deuxième dimension.

L’humain est un être multidimensionnel, et chacune de ses dimensions possède son propre registre fréquentiel. Certaines dimensions disposent de registres plus élevés, plus précis dans ce qu’elles permettent, tandis que d’autres offrent des amplitudes plus larges dans leurs bandes de fréquences. Vous aurez probablement vos préférences, mais toutes les dimensions sont importantes. Il n’existe aucune hiérarchie entre elles, et aucune dimension n’est supérieure à une autre. Les chiffres utilisés ne font pas référence à une quelconque forme de supériorité de l’une par rapport à l’autre. Nous commençons par les deuxième et troisième dimensions, car elles servent de base au développement des autres, ce qui est logique pour des êtres vivants dans la troisième dimension.

Chaque dimension favorise votre relation à vous-même ainsi qu’à votre Source, de manière comparable à votre système de chakras. Certains aiment classer les chakras en inférieurs et supérieurs. Par exemple, on pourrait penser que le chakra racine est moins important que le chakra du troisième œil. Cependant, en tant qu’être incarné, si votre chakra racine ne fonctionne pas correctement, votre incarnation sera déséquilibrée. Il en va de même pour les dimensions de vos facultés. Elles forment un cercle interactif.

Aussi, il ne s’agit pas de tenter de maîtriser totalement la deuxième dimension, puis la troisième, et ainsi de suite. La dynamique est différente, car les dimensions se stimulent mutuellement. Certes, il est nécessaire de travailler sérieusement et avec assiduité sur les premières dimensions pour atteindre un seuil minimal d’interactivité. Par exemple, dès que vous atteignez 33 % de capacité à ressentir la deuxième dimension, cela contribuera au développement de la sensibilité liée à la troisième dimension. À son tour, cette dernière permettra d’aller plus loin dans le développement des facultés de la quatrième dimension.

Lorsque vous prendrez conscience des douze dimensions de vos facultés et commencerez à vivre ces états de conscience, vous constaterez que le développement de l’une à 20 % de son potentiel stimulera une autre à 40 %, et celle-ci en stimulera une autre à 33 %. De cette manière, vous augmentez votre maîtrise de chaque dimension dans un mouvement interdynamique et interstimulant.

Il existe tout de même un chemin optimal, et c’est là que les ressentis des deuxième et troisième dimensions vous aideront grandement à le découvrir. Dans la deuxième dimension, qui possède un registre très étendu matière/lumière, il n’y a ni pensées ni interprétations, ni émotions. Pourtant, cette dimension est d’une importance cruciale.

 

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