La rivière de la petite nation
C’est déjà arrivé dans cette chronique que je passe en entrevue des gens qui ont eu une histoire extraordinaire. J’ai fait aussi le partage de rencontres avec des personnages historiques, en canalisation. Mes aptitudes de médiumnité ont aussi servi à vous présenter des lieux historiques et à vous y décrire les énergies. C’est la première fois que je me lance sur un cours d’eau.
Je connecte relativement bien avec les pierres. C’est une de mes plus grandes passions de ce monde. J’aime les regarder et piger leur essence, leur vécu. J’ai une relation avec les entités de la roche. Je vois en elles le plus beau et le plus long de leur histoire.
Je vous parle d’un moment que j’ai vécu dans les années 2000. Je faisais régulièrement Laurentides-Gatineau régulièrement. L’autoroute 50 n’était pas reliée d’un bout à l’autre. Il fallait circuler sur la route 148. Le paysage y est sublime, surtout quand tu combines une zone particulière, de type agricole avec vue sur la rivière des Outaouais, avec le coucher de soleil par exemple.
Je n’arrêtais pas souvent en route mais une fois, je me suis offert la traite de m’arrêter aux Chutes de Plaisance. J’étais seule, évidemment. Je suis allée me promener dans les bois et suivre la rivière. Je ne me rappelle pas où j’étais exactement mais on m’a guidée instinctivement pour me rendre à un endroit précis, dont j’ignore c’est où. C’était assez tranquille, en début d’automne.
Je me suis assise sur un roc, à 12 pieds de hauteur à partir de la rivière en cascade. J’étais un peu dans mes pensées à l’époque. Ç’a pris un bon moment avant que je décroche. C’est l’intrigue qui a dirigé mon attention et ma concentration sur des éléments précis dans mon environnement immédiat.
J’ai vécu un changement de vibration qui a généré beaucoup d’ouverture, de tous mes sens, de l’être que je suis. Je suis capable d’expliquer maintenant ce que j’ai vécu jadis parce que je suis médium de profession mais à l’époque, je n’avais que 20 ans, étudiante à l’Université du Québec à Hull en communication. Je ne savais rien des énergies. Je vivais l’expérience.
C’est alors que je remarque qu’il y a des gravures dans la plate-forme de rocher devant moi, l’autre bord de la rivière, au plus 15 pieds plus haut que moi. Donc, c’est direct dans mes yeux. Ce ne sont pas des hiéroglyphes mais des dessins que la nature a formés avec ses éléments. On voit les entités dans la forme qu’elles sont ancrées dans la terre et la pierre et ça crée une résonance directe avec d’autres plans de conscience, ailleurs dans d’autres univers.
Quand c’est la première fois que tu vibres ça, c’est assez intense tout ce que tu vis et comment ton corps et ton énergie s’ajustent à tout ça. Ce qui est merveilleux, c’est que c’est la nature et les éléments qui déclenchent ça. Il n’y a pas une drogue qui fait cet effet-là. (Je ne les ai pas essayées, mais c’est clair qu’il y a un buzz, sans la présence de l’ombre cependant).
J’ai compris que j’avais accès à une porte cosmique très puissante, très riche en Unité, gardée par des êtres très vibratoires et sages. Une grande harmonie secrète régnait sur cette région apaisante, comme un fondement de paix sur Terre très béni et important pour son équilibre.
C’est alors que ma fascination pour l’anthropologie et l’archéologie a pris naissance. Je m’étais investiguée, à l’époque, d’enrichir le sens de ma vie pour transmettre ces connaissances et consciences que j’aurais touchées par le biais de ces sites sacrés.
Ça m’a fait des contacts et des entrées de connaissance de haut niveau. Il y a bien des autochtones invisibles, shamans qui sont là. C’est eux-mêmes qui font les gardiens de la place très vibratoire et qui acceptent, ou approuvent, la venue des entités des autres plans qui participent aux connaissances de la Terre dans son unisson. Je vous dirais que c’est hiérarchique et ceux qui sont là depuis des millions d’années, avant nous-mêmes, sont toujours aussi dévoués de leur fréquence pour nous.
Je me suis sentie comme s’ils venaient d’ailleurs mais qui étaient là bien avant que la forme humaine soit. J’ai compris à ce jour que l’humain fait partie d’un tout dont il n’a pas conscience et qui est rien face au temps ressenti dans la matière.
C’est pour cela que je vous parle de ce lieu si cher à mon cœur, car cet endroit est heureusement protégé par un parc national. J’ai amené mes enfants, par la suite, à y faire un pique-nique familial mais ils ne savent pas le potentiel vibratoire de l’endroit.
C’est en plus une belle petite rivière pure où il est très agréable de s’y rafraîchir. Ce qui est le fun, c’est que les gens qui gravitent près de cette rivière ont tous une conscience qui va dans la préservation de cette énergie sacrée, même s’ils ne savent pas nécessairement qu’elle existe.
Je vous invite à aller prendre une marche et à porter attention aux dessins dans les pierres et la terre…Vous pourriez vivre l’occasion de vous unir à plus grand que vous et célébrer une résonance nouvelle en vous. Et désolée pour ne pas avoir pris de photos à cette époque, les cellulaires comme on a aujourd’hui n’existaient pas, parce qu’on aurait pu tripper ensemble encore plus.
Soyez bénis.
Julie L.
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