Le frémissement d’un réveil collectif
Depuis plusieurs mois, j’ai observé, dans l’énergie ambiante, un mouvement imperceptible s’installer. Ce n’est ni le fruit des astres ni le caprice du hasard, mais une fréquence nouvelle, palpable dans les gestes les plus anodins et les silences les plus profonds. Elle traverse les rues, les regards, les insomnies. Quelque chose nous appelle.
Partout, les gens ressentent un décalage. Un effritement du quotidien. Les rituels familiers perdent leur logique. Les émotions surgissent, brutes, inattendues. On parle moins de fatigue et plus souvent d’alignement, d’élévation, d’une « autre manière d’être ».
Ce changement n’a ni porte-parole, ni programme. Il est organique, désordonné, mais profondément intime. Les intuitions se renforcent, les sensibilités se révèlent. C’est comme si le tissu invisible du réel se détissait pour mieux se recoudre.
Peut-être est-ce le signe d’un éveil, non spectaculaire, mais radical. Un appel à reconsidérer nos priorités, à retisser nos liens, à écouter ce qui bouge en nous — et entre nous. Ce n’est pas une crise. C’est une transition.
Plus qu’un phénomène sociologique ou spirituel, c’est une reconfiguration du vivant. Et si, au lieu de chercher à nommer ce « quelque chose », nous acceptions simplement de le vivre ?
Il y a des signes qui ne s’analysent pas : ils se ressentent. Je parle de changements dans les auras, de doubles énergétiques — comme si l’humain, dépassé par l’intensité émotionnelle du monde, s’inventait un refuge vibratoire. Un mini-moi protecteur, fait non pas de chair, mais de fréquence. Un avatar créé par notre subconscient pour se protéger.
Dans ce contexte, la question n’est pas qui va nous sauver, mais qu’est-ce qu’on essaie de fuir. L’idée d’un sauveur — qu’il soit institutionnel, mystique ou technologique — reflète un malaise profond, un mal de vivre grandissant : celui de ne pas savoir comment évoluer de l’intérieur. Peut-être que nous n’avons pas besoin d’être « sauvés » au sens classique, mais plutôt réveillés, reconnectés, réalignés.
L’évolution dont je parle ne s’attrape pas dans des dogmes. Elle s’apprend dans l’écoute, la présence, le discernement. Il n’existe pas un maître ou un guide universel, mais une multitude de sentiers — méditation, art, communion avec la nature, dialogue intérieur, même les rêves — qui peuvent nous ramener à nous-mêmes.
Quant au phénomène des avatars énergétiques, il fait penser à une scission douce entre le soi social et le soi émotionnel. Peut-être un mécanisme d’adaptation : ne pas laisser l’émotion envahir le corps entier, mais la déléguer à un espace parallèle. Et si ce double était aussi une antenne ? Une version plus fine, plus connectée, qui capte ce que le moi physique ne comprend pas encore. Alors chers amis, comment se retrouver là-dedans ?
Voici une proposition en cinq étapes pour se retrouver intérieurement — un chemin de reconnexion avec soi, inspiré par mon regard sensible et profond sur le monde :
- Écouter le Silence
Commencer par ralentir. Éteint les bruits externes (écrans, obligations, opinions) et prête attention au silence intérieur. C’est là que le vrai soi commence à murmurer. Respire. Observe sans analyser. L’âme parle dans les creux du bruit.
DÉCOUVRIR SA PROPRE RÉALITÉ ; SON DE YANN LIPNICK ; RUDA X 3 FOIS.
Le saule pleureur est tout à fait indiqué pour accomplir cela.
- Identifier le masque
Qu’est-ce que tu présentes au monde ? Fais le tri entre l’avatar social et le vrai ressenti. Demande-toi : Est-ce que je fais cela par habitude ou par vérité ? En nommant les faux rôles, tu les désarmes.
Le merisier est le miroir de votre âme, demandez-lui de vous aider ici.
- Libérer les émotions stockées
Je parlais d’un double dans lequel les surplus émotionnels vont se loger, l’Avatar. Ouvre cet espace. Par l’écriture, le mouvement, ou même les larmes : donne permission aux émotions de circuler. Ce sont des messagères, pas des ennemies. Réintègre ton avatar pour pouvoir le guérir. Ces émotions plus douloureuses sont emmagasinées dans le chakra secondaire pistache entre le chakra du cœur et le plexus. Le Grenat vert aide à défaire ces nœuds énergétiques.
SON DE YAN LIPNICK ; PÛTCHKY X 3 fois.
- Revenir à sa boussole intérieure
Reconnecte avec ce qui te rend vivant : une passion, une sensation, une intuition. Ton « oui » intérieur. C’est ta boussole. Suis ce fil doré même s’il est ténu — il connaît le chemin avant toi. L’essence de sapin peut grandement aider ici.
- S’ancrer dans le présent sacré
Le futur inquiète, le passé pèse, mais le présent est le seul portail vers toi-même. Savoure un thé, mange un hot dog, une crème glacée, regarde le ciel, écoute ton corps. Ces moments sont une rencontre avec ton essence. Libère l’être merveilleux enseveli sous les responsabilités, les échéanciers, les J’aimerais donc qui fermentent en toi.
C’est ici que le point zéro fait son oeuvre : j’ordonne aux émotions et angoisses reliées à … de se mettre au point zéro ici maintenant dans toutes les dimensions et plans même si je ne sais comment le faire.
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