Célébrité : Morgan Freeman
Comme vous savez, j’ai la compétence de voir la sagesse innée chez les gens, et je suis en admiration avec ceux qui l’ont trouvée. J’ai mis la rubrique Célébrité dans la revue parce qu’il y a beaucoup de gens connus qui ont cette fibre. Quelquefois, je publie des entretiens que j’ai eus avec des âmes, en ma qualité de médium. Qu’elles soient en vie ou décédées, pour moi ça ne change pas. L’âme reste une âme.
Celle de Morgan est spécialement d’un jaune clair, très lumineux, qu’il porte avec beaucoup de blanc. Il a l’espace doré, sacré. Lui, c’est un être illuminé. Il a parcouru son programme d’ascension. Il s’est parfaitement réalisé. Depuis un moment, tout ce qu’il donne c’est du bonbon, de l’extra. C’est du plus qui s’accumule pour lui.
Il est venu apprendre à lâcher-prise sur ce sentiment de vengeance qu’il avait en lui. C’est ce qui explique certains rôles au cinéma qui étaient plus sombres, dans le début de sa carrière. Il a réussi à exprimer ces rôles pour en faire des éléments conscients qui jouent à réanimer sa capacité intérieure et faire fondre le feu ardent d’où il vient.
Son père l’a beaucoup aidé à être droit. À lui montrer l’essence profonde de ce qu’est l’humain. Morgan a toujours été un ange, un être allumé, avec beaucoup de courtoisie.
«Par sa sagesse, il a appris la délicatesse!», dit Marilyn Monroe à travers mon canal.
Il est la douceur réunie. Il a la parfaite fusion consacrée à son cœur, son équilibre ying-yang est presque parfait. Il a une écoute qui vient des profondeurs de la source, qui s’unit à son talent, consacré à être qui il est.
Je vous invite à la représentation de Dieu qu’il porte. Le rôle qu’il a dans le film Bruce le tout puissant (Jim Carey, Jennifer Aniston) et Evan le tout puissant (Steeve Carel). Il est Dieu.
Dans son documentaire Qui est Dieu, Morgan rencontre chaque religion qui existe sur terre. Et nous, on voit ça. On apprend en même temps. Il n’y a pas de jugement. Ça dépasse l’entendement de la personnalité. C’est vraiment bon.
Il a une grande terre. Il fait offrande de ses lieux pour les abeilles, pour les aider à ne pas être en voie d’extinction. C’est tellement un homme généreux et profond. À l’écoute.
Tous les gens qu’il rencontre dans son documentaire le respectent comme une entité divine, impartiale, qui soulève des enjeux cruciaux dans notre société. Il recherche des solutions. C’est définitivement un être hautement évolué.
Puis, il ne l’a pas eu facile. Il est né en 1937 au Tennessee. En choisissant d’être un homme noir, il a travaillé à purifier les égrégores d’esclavage, de punitions corporelles faites à l’homme. Il a nettoyé de vieilles blessures relationnelles amoureuses face au contexte politique, social douteux. Il a mis fin à plusieurs des rébellions intérieures qui se sont propagées plus loin pour mettre fin à des souffrances collectives étalées sur des siècles. Il a façonné ses pieds sur terre en se rapprochant de ses racines ethniques, sous une terre africaine.
Aujourd’hui, il a tout traversé. Il est la Noblesse. L’ultime incarné sur terre. C’est tellement beau à voir. Il a traversé ça. Et il nous inspire de le faire ce cheminement-là en tant que société, et individuellement surtout.
Il est droit. Ses choses sont droites. Il n’y a pas de problèmes chez Morgan. Que de la Sagesse de tout résoudre. Il a bien vieilli. Il a 81 ans et il les porte dans sa lumière.
Dans son jeune temps, il a laissé l’armée pour se mettre à la danse et le chant. Il a intégré la fréquence de Nelson Mandela, il l’a portée, on le voit. Il a brassé beaucoup de choses au niveau politique, des enquêtes policières, il a fait avancer la science, la spiritualité. La discipline, la volonté sont des caractéristiques qu’il nous transmet.
Le reste, c’est du karma avec les femmes. Ça, c’était prévu dans son plan de vie…
Julie L.
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