PARLONS GÉANTS

Mon dernier post semble avoir généré de l’intérêt pour ces étranges créatures.

À l’époque, mon livre sur les arbres n’était qu’un amoncellement de notes dans une boîte. Je conduisais et je travaillais à mon compte alors je pouvais mieux contrôler mon temps. Presque toutes mes observations sur l’influence des arbres, sur mes copains, étaient en Allemagne, en Alaska et au Nouveau-Brunswick. Je voulais tout mettre ça dans un contexte local.

Toutes les semaines, je prenais une journée pour explorer les Laurentides et j’ai eu la chance de rencontrer deux êtres merveilleux, au lac Masson, qui possédaient une terre avec ruisseau et forêt où vivaient plusieurs élémentaux. J’y allais avec une amie de Rosemère et nous explorions le territoire ensemble.

J’ai noté qu’à Sainte-Adèle et au lac Masson il y avait des géants qui déambulaient dans la forêt. C’est à cette époque que j’ai trouvé ce livre formidable sur les Fées au Canada publié en 1932. Ce livre m’a fasciné, des géants, wow! où ça ?

Premièrement, faut savoir que ces êtres-là, comme tous les élémentaux, vibrent à des fréquences différentes. Je ne sais pas pourquoi, ou même comment, se fait-il que je les voie ? Selon la littérature, il y a plusieurs types de géants; dans la Bible on parle des Néphilims, croisement entre les fils d’Adam et des femmes humaines. D’autres géants sont issus d’unions entre des anges déchus et des humains. Et puis n’oublions pas les Annunakis, décrits en détails dans Les chroniques du Ğirkú par Anton Parks. Moi, ce ne sont pas ceux-la que je vois, ce sont des êtres issus de Gaïa et reliés aux phénomènes climatiques, par exemple les sept géants de nos montagnes qui sont le Grêleur, l’Assommeur, l’Ébranleur, le Noyeur, le Foudroyeur, le Brûleur et le Glaceur. Je n’ai jamais su à quoi ils servaient, mystère et boule de gomme, faut croire. J’en ai même vu un la semaine dernière dans le coin de Châteauguay près de Montréal.

DIMENSIONS VIBRATOIRES

Première dimension :

Élémentaux du bas astral, pierres, et tous ceux qui ont une conscience collective terrestre. Géants, Ogres.

Deuxième dimension :

Fées, dryades, elfes, ceux qui partagent une conscience de groupe, collectivités, villages; sirènes, ondines, demoiselles de pierres, etc.

Troisième dimension :

Humains, êtres reliés à une âme par des chakras dans un cycle de réincarnations.

Quatrième dimension :

Humains et autres dont la conscience s’est élevée hors du 3D, exemple lors d’un voyage astral. Dévas, arbres maîtres.

Cinquième dimension :

Humains lors de méditation intense, certains guides et enseignants cosmiques et la bibliothèque Akashique. Dragons. Pléadiens, Arcturiens, etc.

Sixième dimension :

Maîtres ascensionnés, comme Jésus, Bouddha et d’autres qui ont terminé avec le cycle des incarnations physiques. Anges et archanges.

Septième dimension :

Père, Créateur, Dieux de l’Antiquité, Déesses.

Bien sûr, il y a toujours des exceptions, mais pour cet article, les géants font partie de cette première dimension. En 2012, lorsque Gaïa a commencé son ascension vers la cinquième dimension, les êtres de la première et deuxième dimension telle Attis, la gargouille qui vivait chez moi, et bien d’autres sont retournés dans la terre, principalement à Val D’or. La vallée de l’or, très importante dans l’avenir multivers du Québec, on verra bien.

Aux environs du lac Masson, il y a beaucoup d’énergies insolites et c’est ce qui m’attirait là. Par exemple au lac Carré, les OVNIS passaient sous notre chaloupe, c’était vraiment merveilleux tout cela. À l’occasion, on voyait des lumières scintiller dans les profondeurs du lac.

La première rencontre avec les géants fut le long d’un ruisseau qui se faufilait à travers d’énormes roches. Magnifique! À l’époque, j’écrivais presque exclusivement des conversations avec Joseph; une amie m’avait montré comment faire l’écriture automatique et j’ai écrit plus de 400 pages de questions et réponses de cet être merveilleux. Peut-être un autre bouquin? Qui sait.

Lorsque je communiquais avec lui aux abords du ruisseau, j’ai remarqué que si j’étais assis sur certaines grosses roches, il se passait des choses étranges, par exemple des portails sur d’autres dimensions et d’autres époques, particulièrement au Moyen-Âge, et dans la forêt j’entendais courir des chevaux et des diligences, puis souvent, quelque chose me tapait légèrement sur la tête. Avec le temps, j’ai fini par le voir : c’était le gréeur, mon premier Géant. Il en restait six autres à découvrir selon le magnifique livre Les fées du Canada, publié en 1932. Le livre parle des Géants des Rocheuses, je n’étais pas certain que ceux-ci se retrouveraient aussi dans les Laurentides.

La dryade d’un magnifique hêtre me l’a confirmé où il y a des montagnes, ici ce sont les Laurentides qui sont parmi les plus vieilles au monde; imaginons tout ce qu’elles peuvent dissimuler. Des géants, des licornes, etc. Il ne m’en fallait pas plus, j’y suis retourné des douzaines de fois pour écrire.

Au début, le grêleur n’était pas très bavard. Je voulais savoir d’où il venait, qui l’avait créé, à quoi servait-il? Il a fallu beaucoup de temps pour l’apprivoiser et être capable d’avoir une simple conversation avec lui. Voici un résumé de quelques notes que j’avais prises durant quelques visites au lac Masson et à Châteauguay plus récemment :

– Comment vous nommez-vous?

– « Je suis le grêleur! »

– Comme la grêle, l’hiver?

– « Oui, un peu comme les sigils que tu aimes tant; les sigils sont une représentation graphique d’une intention, d’une prière ou même d’un mot important pour toi. Nous sommes la représentation physique de l’énergie atmosphérique activée par Gaïa. Lorsque l’énergie tellurique se combine à l’énergie atmosphérique, nous prenons forme. Nous sommes sept géants ainsi créés par la force de Gaïa :

  1. Le Grêleur = tempête de grêle
  2. L’Ébranleur = tremblements de terre et ouragans
  3. Le Foudroyeur = la foudre
  4. L’Assommeur = les éboulis et glissements de terrain
  5. Le Noyeur = les inondations et la crue des eaux
  6. Le Brûleur = feux de forêt et éruption volcanique
  7. Le Glaceur = le froid Arctique

À Châteauguay, je t’ai vu marcher dans le boisé à l’érablière de Jolane. Pourquoi la nommes-tu  »acétylène »? »

La première fois que j’ai écrit son nom, le correcteur le changeait pour acétylène, et c’est resté une joke.

– « Il y a quelques jours, j’allais à ta rencontre pour que tu puisses écrire à notre sujet. Lorsque la température est clémente, nous nous réfugions dans les dédales de l’intraterre et dans les montagnes; il y a beaucoup de choses à découvrir sur le terrain de Jolane, quelques portes vers d’autres royaumes, des vortex. Tu sais, l’Ébranleur pourrait te guider vers l’intraterre, et moi, à ton retour cet été, je t’indiquerai tous les endroits pertinents. »

– Super, merci beaucoup. Superbe, merci grêleur!

 

 

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