Les prédictions versus la radio malbouffe
J’ai un respect pour tout ce qui est médias, bien que je ne les trouve pas nécessairement impartiaux. C’est exigeant de sortir du contenu au quotidien, hebdomadairement ou mensuellement. Télévision ou radio, je sais que nous ne pouvons pas tout contrôler et que l’erreur est courante. Le rythme diffère également quant à la portée de l’auditoire, et la pression est plus forte quand c’est du direct. Je comprends tout ça.
Je vais simplement partager avec vous une expérience que j’ai vécue récemment, lors de mon passage dans une radio commerciale populaire montréalaise, animée par un humoriste.
On est venu me chercher pour un segment concernant les séries du Canadien. J’ai hésité, parce que je vis chaque fois des expériences médiatiques qui ont des conséquences que je dois gérer. Ça m’amène toujours à travailler un petit peu plus sur moi pour améliorer des choses et ainsi retrouver l’équilibre. Je rappelle que je suis dotée d’une vision qui tend à corriger les problèmes. J’ai des contacts, qui selon le plan de l’âme, peuvent réparer l’énergie.
En acceptant de participer à ce segment, j’ai pris soin de préciser clairement au recherchiste comment me présenter : Julie Leblanc, médium multidisciplinaire, www.majulie.ca, www.revuemajulie.com. Un paragraphe de trois simples lignes. En plus, j’ai prié pour que ça arrive comme ça, à la bonne personne, et que ça sorte bien ainsi. Mais ça s’est passé autrement.
On ne m’a rien dit à propos du processus de la chronique. Quand je l’ai écoutée, en même temps que tout le monde, j’ai compris qu’ils en avaient extrait des passages seulement. Pourtant, la façon de livrer un message est tellement importante! Et c’est souvent négligé dans ces radios professionnelles. Si la chroniqueuse m’avait avisée qu’on tirerait des extraits de la conversation, j’aurais répondu différemment. Comme si j’avais participé à la chronique, mais pas vraiment, sans la construire en tout cas. La personne responsable de tout ça ne savait donc pas de quoi elle parlait sur le plan de l’énergie, et ça a généré de la confusion. Elle n’a pas pris le temps de comprendre et de se déposer dans son sujet.
Pourtant, c’est simple. Il y a Julie la médium, et Julie la rédactrice en chef d’une revue Web qui porte sur la conscience. Là, les chakras étaient rendus dans la revue, mon site Web était devenu majulie.com, et je n’étais pas nécessairement d’accord avec les extraits choisis. Elle a fait des erreurs pendant le préenregistrement, et même si j’avais rectifié le tir, elle a refait les mêmes erreurs en ondes.
Quand j’ai dit au recherchiste qu’elle s’était trompée, il m’a dit qu’elle allait arranger cela au retour de la pause, au moins pour orienter les gens à bonne place, mais ce ne fut pas le cas. Les sujets se sont enfilés à une vitesse incroyable et on a sauté par-dessus les erreurs en les glissant sous le tapis. Ce n’est pas grave puisque c’est moi qui assume ça, parce qu’elle a eu son segment.
Pendant cette partie de l’émission, l’animateur humoriste bien connu s’est positionné quant à son indécision spirituelle. Je l’ai vu très fatigué, et malheureusement, dans son équipe, il n’est pas entouré présentement par des gens assez solides pour le ramener à son don de créativité. J’avais essayé dans les négociations avec le recherchiste d’obtenir un moment avec l’animateur comme invité du mois de ma revue, en spécifiant que je pouvais attendre que son horaire se calme. On m’a refusé cette requête en prétextant qu’il n’aurait jamais le temps de faire ça, et qu’en échange on me proposait une visibilité à l’heure de pointe, ce que je n’ai pas eu finalement.
C’est bien de se détacher du résultat, et c’est ce qui s’est passé, même si cela demande beaucoup de compassion. En effet, c’est de la consommation rapide, où on sacrifie la qualité du contenu au seul but d’enchaîner les sujets, tous superficiels, pour rejoindre le plus d’auditeurs possible, en évitant de leur déplaire.
Quand le segment a passé, j’ai vu des gens étourdis, peu enracinés et non déposés en ce qui a trait à la « présence en soi ». C’est exactement le résultat que ça donné dans la chronique. J’étais avec mes jumeaux dans l’auto, en attendant qu’elle corrige l’information, et ça parlait de ce qui met les gens en « califf ». Et ça sacrait à tour de bras. L’énergie était agressive, égotique, alimentant les frustrations inutiles et collectives. Pourtant, n’est-ce pas censé être du divertissement par l’humour? Je ne trouve pas amusant de se défouler en chialant. Ma fille m’a dit : « Il y a trop de sacrage Maman, c’est-tu nécessaire de rester là? » Effectivement non.
Cette expérience me permet de m’améliorer en m’apprivoisant au fonctionnement des médias. Il s’agit d’une très bonne école. En plus, j’ai la satisfaction de très bien faire les choses quand je traite les sujets, dossiers ou entrevues. Surtout, je suis ravie d’être une super créatrice, capable d’aller chercher des sujets ailleurs, ceux qui stimulent l’esprit.
La saveur « junkfood » que les gens consomment dans leur divertissement nous éloigne de ce qui est beau et vrai, nous éloigne de notre évolution.
La transformation par filtre de vision reçue par Carey Price
Concernant la prédiction, j’avais spécifié qu’il y a beaucoup d’éléments qui peuvent modifier les résultats. Quand j’ai pris la lecture avant que la série commence, Toronto gagnait. J’avais identifié le potentiel d’Auston Matthews, mais également une faiblesse à sa cheville droite comme une coupure énergétique. Carey Price portait la même fréquence que ce joueur, de sorte qu’il lui serait donc difficile faire ses arrêts face à un Matthews capable de le déjouer.
L’âme de Carey a accepté d’ajouter un subtil filtre proposé par les guides, très léger et transparent, pour aiguiser sa perception de lynx. J’ignore d’où ça vient, mais c’est le fruit d’un de mes contacts Pléïadiens, qui a trouvé ce qui pouvait aider à corriger ce problème évident. Ça a été très doux et d’une efficacité incroyable. J’ai été surprise de constater à quel point ça a pu évoluer favorablement et contribuer à de spectaculaires arrêts, permettant à Carey d’être plus solide dans Qui Il Est. On m’a dit que ce filtre menait jusqu’à la Coupe Stanley. Je leur ai dit que je ne leur en demandais pas tant, que je n’étais pas rendue là, et j’ai compris que je ne voulais pas bloquer le processus ou interférer dans son déroulement. Je me suis pardonné et j’ai ouvert tout ce que je pouvais pour laisser le plan se réaliser comme il se doit.
Sérieusement, je suis très contente que ma lecture initiale se soit concrétisée au bout du compte, parce que j’ai pu contribuer au résultat positif en changeant les probabilités par une intervention énergétique simple. Si la radio ne m’avait pas demandé de regarder, je n’aurais pas de moi-même visité la situation, ni pu intervenir pour aider un Carey réceptif à ce que nous avions à lui proposer. J’ai contribué à ma façon, et j’en suis ravie. Voilà ce qui compte, non pas qui a raison sur une lecture initiale, qui a pu évoluer. C’est ma spécialité. Cela dit, je ne me mêle plus de la série. Advienne que pourra.
Namasté
Julie L.
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