Quand l’énergie permet de solutionner.

Je vous parle d’un sujet que je vis présentement.

Commençons par la qualité. Peu de gens éprouvent la force et l’enthousiasme pour régler les situations qui se présentent dans leur vie. Différents stades de gestion déficitaire entravent le bon fonctionnement, comme la déresponsabilisation d’une personne face à sa vie et les autres. Ceci inclut la fuite, l’orgueil, l’abrutissement, la fermeture, le contrôle, l’attaque, l’émotion mal canalisée et tortueuse.

Mon degré de responsabilité dans la vie s’est développé avec le temps. J’ai pris soin de noter ce qui était favorable, et le plaisir qu’on en retire lorsque c’est équitable, léger. Au niveau du cœur se sont joints la gentillesse, la bienveillance, puis ça s’est couplé à une sorte de passion. Régler une situation problématique me rend heureuse, et je n’aime pas quand ça traîne.

Habiter cette force signifie habiter pleinement son moment présent, cela veut dire qu’on est capable d’amour véritable, et qu’il y a une maîtrise sur le plan de l’écoute, ce qui conduit à une compréhension supérieure. De là vient la possibilité de trouver d’autres types de solutions, plus lumineuses et satisfaisantes pour tous. C’est une forme de diplomatie qui fait naître la volonté de faire preuve de bonne foi, de souplesse, de transparence, et surtout qui active la psyché. Cette synchronicité solutionne très rapidement, même si on ne sait pas comment, et laisse le taux vibratoire à une haute fréquence, ce qui permet de recevoir l’aide de sa guidance bienfaisante.

L’ennui, c’est que ce n’est pas tout le monde qui est rendu à la même place, ce qui crée des décalages dans le temps et augmente le niveau de complexité. J’aime moins ça, parce que ça fait travailler ma droiture et ma patience, et que j’ai l’impression de progresser avec un vent de face. Le sentiment de mettre de la pression sur ma compassion parce que parfois, ça crée de la tristesse et de l’angoisse. Je trouve toutefois le réconfort dans la communication, et tout redevient ainsi plus clair.

Voici deux exemples. En février 2019, j’ai entamé des démarches auprès de la Régie du logement pour mettre au pas mon propriétaire, qui est de mauvaise foi et beaucoup trop « à l’argent » comme on dit, ce qui l’amène à être négligent et à agir en mauvais gestionnaire. Il m’a donc poussée à entreprendre des procédures juridiques parce que mes droits ne sont pas respectés. Le dossier a avancé difficilement entretemps, mais j’au eu une surprise par la poste. J’ai enfin l’occasion, la date est tombée, en novembre. Après ça, je vais pouvoir retirer le bâton dans mon plexus et retrouver la paix. Je porte à votre attention que j’ai été sereine, gentille et respectueuse malgré tout, et que j’ai toujours fait preuve d’ouverture et de bonne foi pour régler les choses. C’est juste que ça n’a pas été réciproque. Quand la communication ne suffit plus à faire avancer les choses, le recours légal demeure un moyen permettant de rétablir une situation.

Deuxième exemple. J’aide une dame venue me consulter. Elle reçoit mon service, et me promet de payer. Mais le temps passe, et l’argent de notre échange ne rentre pas. Me voici donc en train de courir après mon dû, d’autant plus que j’en ai besoin. Si j’avais les coudées plus franches en matière financière, j’aurais eu les moyens d’être plus patiente, mais tel n’est pas le cas. J’ai donc dénoncé sur Facebook avec une mise en garde à l’intention des autres thérapeutes, et cette initiative a porté fruit. En effet, la belle-fille de la dame en a eu vent et m’a payée. J’ai enlevé l’annonce. La cliente m’a appelée peu de temps après, et je l’ai informée qu’une autre personne avait acquitté le montant à sa place. J’ai eu droit à des bêtises parce que c’est moi qui ai dû être pro-active pour retirer une épine que je portais. Je l’ai bénie, et je lui souhaite d’être heureuse. Surtout qu’elle comprenne le sens de son test de droiture.

Ha! C’est exigeant de ne pas tomber dans la procrastination et toujours remettre au lendemain. Exigeant de régler les dossiers au fur et à mesure qu’ils se présentent à nous. Je comprends donc les personnes qui se déresponsabilisent. Mais ce qui est fâchant, c’est que la déresponsabilisation des uns force une sur-responsabilisation chez les autres, qui compensent en mettant les bouchées doubles pour aplanir les obstacles sur leur propre chemin.

Namasté. Soyez bénis.

Julie L.

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