Quelques citations de Neale Donald Walsch

 

Nous remercions Édition Ariane de nous autoriser la publication en chroniques de leur livre La trilogie des Conversations avec Dieu. Voici quelques extraits :

« Parce que l’univers n’a pas d’autre choix que de t’offrir la manifestation directe de ta pensée à son égard. Ta pensée est : « Je veux avoir du succès matériel. » Le pouvoir créatif est tel le génie dans la bouteille. Tes paroles sont ses ordres. Tu comprends? J’ai dit que tes paroles sont ses ordres. Puisque tes paroles étaient « Je veux avoir du succès », l’univers répond : « D’accord, tu en veux. »

Le « je » est la clé qui démarre le moteur de la création. Les mots « Je suis » sont extrêmement puissants. Ce sont des affirmations adressées à l’univers, des ordres. Dès lors, tout ce qui suit le mot « je » (qui invoque le Grand Je Suis) a tendance à se manifester dans la réalité physique. Par conséquent, « je » plus « veux du succès » signifie que tu veux du succès. « Je » plus « veux de l’argent » signifie que tu veux de l’argent. Cela ne peut rien produire d’autre, car les pensées, les paroles sont créatives. Les actions aussi. Et si tu agis d’une façon qui dit que tu veux du succès et de l’argent, alors tes pensées, paroles et actions seront en accord, et tu seras certain de faire l’expérience de ce vouloir.

Tu es un créateur très puissant. Mais bon, si tu avais une pensée ou si tu affirmais quelque chose juste une fois, dans la colère, par exemple, ou la frustration, il est peu probable que tu convertisses ces pensées ou ces paroles en réalité. Tu n’as donc pas à t’inquiéter de «Crève ! » ou «Va au diable », ou de toutes les autres choses moins jolies que tu penses ou dis parfois.

Mais si tu répètes sans cesse une pensée ou si tu dis continuellement la même parole – non pas une fois ou deux, mais des dizaines, des centaines, des milliers de fois –, as-tu une idée du pouvoir créatif que cela représente ? Une pensée ou une parole sans cesse exprimée devient précisément exprimée, c’est-à-dire expulsée. Elle se réalise à l’extérieur. Elle devient ta réalité physique.

C’est exactement ce qui se produit très souvent – un renversement. Tu aimes la peine, tu aimes le drame, jusqu’à ce que tu n’aimes plus cela. Au cours de ton évolution, vient un moment où tu cesses d’aimer le drame, d’aimer l’« histoire » telle que tu l’as vécue, et c’est quand tu décides (que tu choisis activement) de changer cela. Cependant, la plupart des gens ne savent pas comment faire. Tu le sais, à présent. Pour changer ta réalité, cesse tout simplement de penser comme tu le fais.

Au lieu de penser « Je veux du succès », pense « J’ai du succès ». Émets une pensée acceptable pour toi : « Le succès s’en vient dans ma direction, à présent » ou « Toutes les choses me conduisent à la réussite ».

Les affirmations ne fonctionnent pas si elles ne sont que l’énoncé de ce que tu veux tenir pour vrai. Elles ne fonctionnent que lorsqu’elles énoncent ce que tu sais être déjà.

La meilleure de ces affirmations est un énoncé de gratitude et d’appréciation : « Merci, Dieu, d’apporter le succès dans ma vie. » Cette idée-là, pensée, dite et mise en action donne lieu à des résultats magnifiques lorsqu’elle provient de la connaissance véritable, c’est-à-dire non pas d’une tentative de produire des résultats, mais d’une conscience que les résultats se sont déjà produits.

Jésus avait cette clarté. Avant chaque miracle, il me remerciait à l’avance de sa délivrance. Il ne lui arrivait jamais de ne pas être reconnaissant, car il ne pensait jamais que ce qu’il déclarait ne se produirait pas. Cette pensée ne lui venait jamais à l’esprit. Il était si certain de qui il était et de sa relation avec moi que chacune de ses pensées, de ses paroles et de ses actions reflétait sa conscience – tout comme tes pensées, tes paroles et tes actions reflètent la tienne… Alors, s’il y a une chose que tu choisis de vivre, ne la « désire » pas – choisis-la.

Choisis-tu le succès matériel ? Choisis-tu d’avoir plus d’argent ? Bien. Alors, choisis cela. Vraiment. Pleinement. Pas à moitié. Mais à ton stade de développement, ne sois pas surpris si le succès matériel  ne te préoccupe plus.

Vient un moment, dans l’évolution de toute âme, où la préoccupation principale n’est plus la survie du corps physique, mais la croissance de l’âme. Il ne s’agit plus d’atteindre le succès matériel, mais la réalisation du Soi. En un sens, c’est une période très dangereuse, surtout au départ, car l’entité emmagasinée dans le corps sait, à présent, qu’elle n’est que cela : un être dans un corps – non un corps-être.

À ce stade, avant que l’entité en croissance atteigne cette maturité, elle a souvent le sentiment de ne plus se préoccuper, de quelque manière que ce soit, des questions concernant le corps. L’âme est tellement contente d’avoir enfin été « découverte »! Le mental abandonne le corps et tout ce qui a trait à ce dernier. Tout cela tombe dans l’oubli. Les relations sont mises de côté. La famille disparaît. Les emplois deviennent secondaires. Les factures restent impayées. Le corps même n’est plus nourri pendant de longues périodes. L’entité concentre désormais toute son attention sur l’âme et les questions de l’âme.

Bien que le mental ne ressente aucun traumatisme, cela peut mener à une crise personnelle majeure dans la vie quotidienne de l’être. Il est suspendu dans la béatitude. D’autres gens disent qu’il a perdu la tête, et en un sens, c’est bien possible.

La découverte de cette vérité, à savoir que la vie n’a rien à voir avec le corps, peut provoquer un déséquilibre dans l’autre sens. Tandis qu’au départ l’entité agissait comme si le corps était tout, elle agit à présent comme si le corps n’avait aucune espèce d’importance. Bien sûr, ce n’est pas vrai, comme se le rappellera bientôt (et parfois douloureusement) l’entité.

Tu es un être composé de trois parties : le corps, le mental et l’âme. Tu seras toujours un être tripartite, et pas seulement pendant ton séjour sur terre. Certains émettent l’hypothèse qu’à la mort le corps et le mental sont abandonnés. Ils ne le sont pas. Le corps change de forme : il quitte sa partie la plus dense, mais retient toujours son enveloppe extérieure. Le mental (à ne pas confondre avec le cerveau) te suit aussi : il se joint à l’âme et au corps pour former une seule masse d’énergie à trois dimensions ou facettes.

Si tu choisis de retourner dans le monde de l’expérimentation que tu appelles la vie terrestre, ton être divin séparera de nouveau ses dimensions véritables en ce que tu appelles corps, mental et âme. En vérité, tu n’es qu’une seule énergie ayant trois caractéristiques distinctes.

Lorsque tu entreprends d’habiter un nouveau corps physique sur la Terre, ton corps éthérique (ainsi qualifié par certains d’entre vous) abaisse ses vibrations – il ralentit d’une vibration si rapide qu’on ne peut même pas la voir, à une vitesse qui produit de la masse et de la matière. Cette matière réelle est la création de la pensée pure – le travail de ton mental, de l’aspect mental supérieur de ton être tripartite. C’est la coagulation d’un million de milliards de trillions d’unités d’énergie différentes en une seule masse énorme, contrôlable par le mental… Tu es un maître mental!

Lorsque ces minuscules unités d’énergie ont fini de dépenser leur énergie, elles sont rejetées par le corps, et le mental en crée de nouvelles, à partir de l’idée qu’il se fait continuellement de qui tu es. Le corps éthérique « se saisit » de la pensée, pour ainsi dire, et abaisse la vibration d’autres unités d’énergie (en un sens, il les « cristallise »), lesquelles deviennent la nouvelle matière qui te compose. Ainsi, chaque cellule de ton corps change en quelques années. Au sens littéral, tu n’es plus la personne que tu étais il y a quelques années.

Si tu entretiens des pensées de maladie (ou de colère, de haine et de négativité) continuelles, ton corps traduira ces pensées sous forme physique. Les gens verront cette forme négative et malade, demanderont : « Qu’est-ce qu’il y a ? » Ils ne sauront pas à quel point leur question est appropriée.

L’âme observe tout le drame qui se joue, année après année, mois après mois, jour après jour, instant après instant, et entretient toujours la Vérité à ton égard. Elle n’oublie jamais le plan original, la première idée, la pensée créative. Son travail consiste à te rappeler (soit, au sens propre, à te r-appeler) pour que tu puisses te souvenir une fois de plus de qui tu es – et choisir ensuite qui tu souhaites être.

Ainsi, le cycle de la création et de l’expérience, de l’imagerie et de la plénitude, de la connaissance et de la croissance dans l’inconnu se poursuit maintenant et à jamais.

Rappelle-toi seulement ceci : comme l’a dit votre grand maître William Shakespeare, « il y a plus de choses au ciel et sur la Terre, Horatio, que n’en ont rêvé tes philosophes ». »

 

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