Quelques citations de Neale Donald Walsch
Grâce à son éditeur francophone, Les Éditions Ariane, nous vous partageons des extraits du livre La trilogie des Conversations avec Dieu. Nous avons soustrait les questions de Neale, pour nous concentrer sur les réponses de Dieu :
« Ce que je m’apprête à te dire dans les passages qui suivent sera peut-être très difficile à comprendre et à accepter pour certaines personnes, car cela va à l’encontre d’une grande part de ce qui est tenu pour vrai dans votre système de pensée actuel. Cependant, pour que ce dialogue vous soit utile, je ne peux vous laisser vivre davantage avec ces structures de pensée. Nous devons donc, dans ce deuxième livre, affronter quelques-uns de ces concepts. Et durant un certain temps, ce sera cahoteux. Es-tu prêt ? »
« Il n’y a pas de « pommes pourries ». Il n’y a que des gens qui sont en désaccord avec ton point de vue, qui construisent un modèle du monde différent. Personne ne fait rien de mauvais, compte tenu de son modèle du monde. »
« Que les idées que les gens se font du « bien » et du « mal » changent, et ont changé, continuellement d’une culture à une autre, d’une période à une autre, d’une religion à une autre, d’un endroit à un autre… et même d’une famille à une autre et d’une personne à une autre. Tu pourrais leur rappeler que ce qu’une foule de gens trouvaient « bien » à une époque – brûler les gens sur le bûcher pour cause de sorcellerie, par exemple – est aujourd’hui considéré comme « mauvais ». »
« Tu pourrais leur dire qu’une définition du « bien » et du « mal » est une définition fondée non seulement sur le temps, mais aussi sur la simple géographie. Tu pourrais leur faire remarquer que certaines activités sur votre planète (la prostitution, par exemple) sont illégales à un endroit, mais légales ailleurs, à seulement quelques kilomètres. Ainsi, quand une personne est jugée pour avoir fait quelque chose de « mal », ce n’est pas tellement en fonction de ce qu’elle a fait, mais de l’endroit où elle l’a fait. »
« Je vais maintenant répéter une chose que j’ai dite dans le tome 1 et que certains ont eu beaucoup de mal à saisir. Hitler est allé au ciel. »
« Le but de ce livre, comme de tous les livres de la trilogie que nous sommes en train de créer, est de susciter une ouverture d’esprit pour un nouveau paradigme, une nouvelle compréhension, et une vision plus vaste, plus grandiose. »
«Tout d’abord, il ne pouvait aller en enfer puisque l’enfer n’existe pas. Par conséquent, il ne pouvait aller qu’à un seul endroit. Mais cela soulève une véritable question : Les gestes d’Hitler étaient-ils « mauvais » ? Toutefois, j’ai dit et répété qu’il n’y a ni « bien » ni « mal » dans l’univers. En soi, une chose n’est ni bonne ni mauvaise. Une chose est, tout simplement. »
« L’idée selon laquelle Hitler était un monstre est fondée sur le fait qu’il a ordonné le meurtre de millions de gens, n’est-ce pas ? »
« Mais si je te disais que ce que tu appelles la « mort » est la chose la plus belle qui puisse arriver à quiconque, qu’en dirais-tu ?
« Tu crois que la vie sur terre est meilleure que la vie au ciel ? Je te dis ceci : à l’instant de ta mort, tu auras la liberté la plus grande, tu connaîtras la paix la plus grande, la joie la plus grande et l’amour le plus grand que tu aies jamais connu. Par conséquent, punirons-nous le renard qui aura poussé le lapin dans les ronces ? »
« Tout d’abord, vous n’êtes pas ici pour apprendre quoi que ce soit. (Relis le tome 1.) La vie n’est pas une école, et ton but ici n’est pas d’apprendre, mais de te rappeler, de te souvenir. Quant à ton argument principal, j’ajouterai que la vie est souvent « interrompue » par bien des choses… un ouragan, un tremblement de terre…»
« Chaque événement est un acte de Dieu. T’imagines-tu qu’un événement peut survenir contre ma volonté ? Penses-tu pouvoir même lever le petit doigt, si je décide du contraire ? Tu ne peux rien faire, si je suis contre. »
« Mais continuons à explorer ensemble cette idée que la mort est « mauvaise ». Est-il « mauvais » qu’une vie soit interrompue par la maladie ? Les accidents, c’est pareil. »
« Le fait que tu ne le comprennes pas est la preuve de la Volonté de Dieu, mais le fait que cela arrive n’est pas la preuve de la Volonté de Dieu. Hum… »
« Crois-tu à la Volonté de Dieu, que Dieu est tout-puissant ? »
« Comment aurait-il pu faire cela, selon toi, si ma Volonté est toute puissante ? »
« Si je Iui ai permis de le faire, ma Volonté était donc qu’il le fasse. »
« Ma Volonté était que Hitler, comme vous tous, ait le libre choix. Mais ma Volonté n’était pas que vous soyez sans cesse punis, à l’infini, à défaut de faire ce que je veux. Si c’était le cas, quel degré de « liberté » aurais-je donné à votre choix ? Êtes-vous vraiment libres de faire ce que vous voulez, si vous savez qu’on vous fera souffrir de manière indescriptible si vous ne faites pas ce que je veux ? Quel genre de choix est-ce là ? »
« Je vois qu’on t’a bien appris toutes les constructions théologiques qui te permettent de me considérer comme un Dieu vengeur, sans m’en rendre responsable. »
« Mais qui a créé ces lois naturelles ? Et si nous nous entendons sur le fait que je les ai mises en place, pourquoi mettrais-je en place de telles lois pour vous donner ensuite le pouvoir de les enfreindre ? »
« Si je n’avais pas voulu qu’elles vous affectent, si ma Volonté avait été que mes merveilleux humains ne souffrent jamais, pourquoi en aurais-je créé la possibilité ? »
« Et pourquoi continuerais-je de vous inciter jour et nuit à enfreindre les lois que j’ai établies ? »
« Te revoilà en train de m’enlever la responsabilité. Ne vois-tu pas que ta seule façon de justifier ta théologie est de me rendre impuissant ? Ne comprends-tu pas que la seule manière pour tes constructions d’avoir un sens, c’est que les miennes n’en aient pas ? Cela ne t’inquiète-t-il pas de penser qu’un Dieu ait créé un être dont il ne peut contrôler les actions ? »
« Mais pourquoi ? Pourquoi ferais-je cela si je veux que vous reveniez vers moi ? »
« Comme c’est ainsi que j’ai établi les règles de votre monde, tu crois qu’il doit en être de même dans le mien. »
« Dans ta réalité, le bon ne peut exister sans le mauvais. Par conséquent, tu crois qu’il doit en être ainsi dans la mienne. Mais je te le dis : là où je suis, il n’y a rien de « mauvais ». Et il n’y a pas de mal. Il n’y a que le Grand Tout. L’Unité. Et la conscience, l’expérience de cela. »
« Mon royaume est celui de l’Absolu, où une chose n’existe pas en relation avec une autre, mais de manière complètement indépendante de tout. »
« Mon espace est là où tout ce qui est est amour. »
Suite au prochain numéro
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