Quelques citations de Neale Donald Walsch
Grâce aux Éditions Ariane, nous vous partageons des extraits de La trilogie des Conversations avec Dieu. Nous avons soustrait les questions de Neale pour nous concentrer seulement sur les réponses de Dieu, et cela fait suite aux chroniques précédentes.
« Bien que cela soit difficile à comprendre pour des êtres véritablement éclairés, la plupart des gens, sur votre planète, soutiennent cette philosophie. C’est pourquoi ils ne se soucient pas des masses souffrantes, de l’oppression des minorités, de la colère de la classe inférieure, ni des besoins de survie de quiconque, sauf d’eux-mêmes et de leur famille immédiate. »
« La plupart des gens ne voient pas qu’ils sont en train de détruire leur Terre, la planète même qui leur donne la Vie, par leurs actions qui ne visent qu’à améliorer leur propre qualité de vie. Curieusement, ils ne voient pas assez loin pour observer que les gains à court terme peuvent engendrer des pertes à long terme, comme c’est souvent le cas et ça le sera encore souvent. »
« La plupart des gens se sentent menacés par la conscience de groupe, par un concept comme le bien collectif, par l’idée générale d’un monde unique, ou par un Dieu en union avec toute la création plutôt que séparé d’elle. »
« Cette peur de tout ce qui mène à l’unification, en plus du fait que votre planète glorifie tout ce qui sépare, laisse place à la division, à la disharmonie, à la discorde, mais vous ne semblez même pas capables de tirer des leçons de votre propre expérience. Vous maintenez donc vos comportements et obtenez les mêmes résultats. »
« L’incapacité de ressentir la souffrance d’un autre comme étant la sienne propre, voilà ce qui permet à une telle souffrance de perdurer. La séparation engendre l’indifférence, la fausse supériorité. L’unité appelle la compassion, l’égalité authentique. »
« Les événements qui ont lieu sur votre planète, régulièrement, depuis 3 000 ans, sont, comme je l’ai dit, un reflet de la conscience collective de « votre groupe », de tout le groupe de votre planète. Ce niveau de conscience est carrément primitif. »
« L’expérience Hitler a été rendue possible en conséquence de la conscience de groupe. Bien des gens disent que cet homme a manipulé un groupe (dans ce cas, ses compatriotes) par la ruse et la maîtrise de sa rhétorique. Mais cela jette un blâme facile sur Hitler, exactement comme le veut la masse des gens. Mais Hitler ne pouvait rien faire sans la coopération, l’appui et la soumission volontaire de millions de gens. Le sous-groupe appelé les Allemands doit assumer un énorme fardeau de responsabilité pour l’Holocauste. Tout comme, à un certain degré, le groupe plus grand des humains qui, même s’il n’a rien fait d’autre, s’est permis de rester indifférent et apathique devant la souffrance en Allemagne, jusqu’à ce qu’elle atteigne une échelle si énorme que même les isolationnistes les plus impitoyables ne pouvaient plus l’ignorer. »
« Tu vois, c’est une conscience collective qui a fourni un sol fertile à la croissance du mouvement nazi. Hitler a saisi l’occasion ; il ne l’a pas créée. »
« Il est important, ici, de comprendre la leçon. Une conscience de groupe qui parle constamment de séparation et de supériorité crée une perte de compassion à une échelle massive, laquelle perte entraîne inévitablement une perte de conscience morale. »
« Un concept collectif enraciné dans le nationalisme strict ignore les épreuves des autres, mais rend ces derniers responsables des vôtres, justifiant ainsi les représailles, le « redressement » et la guerre. »
« Auschwitz était la solution nazie, une tentative de « redressement » du « problème juif ». L’horreur de l’expérience Hitler n’est pas qu’il l’ait perpétrée sur la race humaine, mais que la race humaine lui ait permis de le faire. Ce qui est étonnant, ce n’est pas seulement qu’un Hitler se soit manifesté, mais aussi que tant d’autres lui aient donné leur appui. »
« La honte, ce n’est pas seulement que Hitler ait tué des millions de Juifs, mais aussi que des millions de Juifs aient dû mourir avant qu’on arrête cet homme. Le but de l’expérience Hitler était de montrer l’humanité à elle-même. »
« Tout au long de l’histoire, vous avez eu des maîtres remarquables, et chacun vous présentait d’extraordinaires occasions de vous rappeler qui vous êtes vraiment. Ces maîtres vous ont montré le point le plus élevé et le point le plus bas du potentiel humain. »
« Ils ont fourni des exemples vivants et stupéfiants de ce que peut vouloir dire être humain, jusqu’où il est possible de mener l’expérience et jusqu’où vous tous pouvez aller et irez, en fonction de votre conscience. »
« Ce qu’il faut se rappeler, c’est que la conscience est partout et crée votre expérience. La conscience de groupe est puissante ; elle donne des résultats d’une beauté ou d’une laideur indicibles. Le choix vous appartient toujours. »
« Si vous n’êtes pas satisfaits de la conscience de votre groupe, essayez de la changer. Et la meilleure façon d’y parvenir, c’est par l’exemple. Si ton exemple ne suffit pas, forme ton propre groupe, sois toi-même la source de la conscience que tu veux que les autres vivent. Ils la vivront quand tu la vivras. »
« Tout, vraiment tout, commence par toi. Tu veux que le monde change ? Change les choses dans ton propre monde. »
« Hitler vous a donné une occasion en or de le faire. L’expérience Hitler, à l’instar de l’expérience christique, a des implications et des vérités profondes qu’elle vous a révélées à propos de vous. Mais ces consciences plus grandes ne vivent, dans le cas de Hitler ou de Bouddha, de Gengis Khan ou de Krishna, d’Attila le roi des Huns ou de Jésus-Christ, qu’aussi longtemps que vous en gardez le souvenir. »
« Voilà pourquoi les Juifs élèvent des monuments à l’Holocauste en vous demandant de ne jamais l’oublier, car il y a un peu de ce Hitler en chacun de vous – ce n’est qu’une question de degré. Effacer un peuple, c’est effacer un peuple, que ce soit à Auschwitz ou à Wounded Knee. »
« Hitler ne vous a pas été envoyé. Il a été créé par vous. Il a surgi de votre conscience collective. Il n’aurait pu exister sans elle. Voilà la leçon. La conscience de la séparation, de la ségrégation, de la supériorité, celle du « nous » contre « eux », du « nous » et « eux », voilà ce qui a créé l’expérience Hitler. »
« La conscience de la Divine Fraternité, de l’Unité, du Un, du « nous » plutôt que du « vôtre / mien », voilà ce qui crée l’expérience christique. Lorsque la douleur est « nôtre » et non seulement « vôtre », lorsque la joie est « nôtre » et non seulement « mienne », lorsque toute l’expérience de la vie est nôtre, c’est enfin vraiment cela : une expérience de vie intégrale. »
Pourquoi Hitler est-il allé au ciel ? « Parce qu’il n’a rien fait de « mal ». Hitler a fait ce qu’il a fait, c’est tout. Je te rappelle encore une fois que, pendant des années, des millions de gens croyaient qu’il avait « raison ». Comment, alors, pouvait-il ne pas le croire lui-même ? »
« Si tu lances une idée stupide et que dix millions de gens sont d’accord avec toi, tu ne te croiras peut-être pas si fou. Le monde a décidé, finalement, que Hitler avait « tort ». Autrement dit, la population du monde entier a procédé à une nouvelle évaluation de qui elle était et de qui elle choisissait d’être, en relation avec l’expérience Hitler. Cet homme a fourni un barème ! Il a établi un paramètre, une frontière par rapport à laquelle nous pouvions mesurer et limiter nos idées à propos de nous-mêmes. Le Christ a fait la même chose, à l’autre bout du spectre. »
« Il y a eu d’autres êtres à l’image du Christ et de Hitler. Et il y en aura d’autres encore. Alors, reste toujours vigilant, car il y a parmi vous des gens de conscience élevée ou inférieure, même lorsque tu te trouves parmi d’autres. Quelle conscience as-tu ? »
Je ne comprends toujours pas comment Hitler aurait pu aller au ciel. Comment il aurait pu être récompensé pour ses actions ? « D’abord, tu dois comprendre que la mort n’est pas une fin, mais un commencement. Non pas une horreur, mais une joie. Non pas une fermeture, mais une ouverture. L’instant le plus heureux de ta vie sera celui où elle prendra fin. Car elle ne finit pas. Elle ne fait que continuer de façon si magnifique, si remplie de paix, de sagesse et de joie, qu’il est difficile de décrire cela et qu’il vous est impossible de le comprendre. Par conséquent, la première chose que tu dois comprendre, comme je te l’ai déjà expliqué, c’est que Hitler n’a fait de mal à personne. En un sens, il n’a pas infligé ces souffrances, il y a mis fin. N’est-ce pas le Bouddha qui disait que « la vie est souffrance » ? Il avait raison. Non, il ne croyait pas faire le « mal ». En réalité, il croyait aider son peuple. C’est ce que tu ne comprends pas. »
« Personne ne fait rien de « mal » en fonction de son modèle du monde. Si tu crois que Hitler a agi de façon malsaine et que tout ce temps-là, il se savait fou, alors tu ne comprends rien à la complexité de l’expérience humaine. Hitler croyait faire le bien pour son peuple. Et son peuple le croyait également! C’était là toute la folie de la situation ! La majorité de la nation était d’accord avec lui! »
« Tu as dit que Hitler avait « tort ». Bien. Selon ce critère, tu as pu te définir, te connaître davantage. Mais ne condamne pas Hitler pour t’avoir montré cela. Il fallait que quelqu’un le fasse. »
« Tu ne peux connaître le froid sans le chaud, le haut sans le bas, la gauche sans la droite. Ne condamne pas l’un pour rendre grâce à l’autre. Si tu fais cela, c’est que tu ne comprends pas. »
« Depuis des siècles, on condamne Adam et Ève en disant qu’ils ont commis le péché originel. Je te dis ceci : c’était la grâce originelle, car sans cet événement, le partage de la connaissance du bien et du mal, tu ne saurais même pas que les deux possibilités existent ! En effet, avant la prétendue chute d’Adam, ces deux possibilités n’existaient pas. Le « mal » n’existait pas. Chaque personne, chaque chose, était dans un état de perfection constante. C’était littéralement le paradis, mais on ne le savait pas. Cela étant, on ne pouvait donc faire l’expérience de sa perfection, car on ne connaissait rien d’autre. »
« Alors, préfères-tu condamner Adam et Ève, ou les remercier ? Et que devrais-je faire d’Hitler ? »
« Je te le dis : l’amour de Dieu et la compassion de Dieu, la sagesse de Dieu et le pardon de Dieu, l’intention de Dieu et le dessein de Dieu sont assez grands pour inclure le crime le plus haineux et le criminel le plus haineux. »
« Tu n’es peut-être pas d’accord, mais c’est sans importance. Tu viens d’apprendre ce que tu es venu découvrir ici. »
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