Quelques citations de Neale Donald Walsch

Grâce aux Éditions Ariane, nous vous partageons les réponses de Dieu tirées du livre La trilogie des Conversations avec Dieu :

« Le temps n’existe pas. Toutes les choses existent simultanément. Tous les événements se déroulent en même temps. Ce livre est en train de s’écrire, mais il est déjà écrit, il existe déjà. En fait, c’est de là que tu tires toute cette information – du livre qui existe déjà. Tu ne fais que le mettre en forme. C’est ce que j’entends par « Avant même que tu ne le demandes, j’aurai répondu. »

« Une véritable compréhension du temps te permettra de vivre beaucoup plus paisiblement ta réalité relative, où le temps est vécu comme un mouvement, un courant, non comme une constante. C’est toi qui te déplaces, non le temps. Dans le temps, il n’y a aucun mouvement. Il n’y a qu’un seul instant. Sur un plan plus profond, tu comprends bien cela. C’est pourquoi tu dis souvent, lorsque tu vis une chose vraiment magnifique ou importante, que c’est comme si « le temps s’arrêtait ». Il s’arrête vraiment. Et quand tu t’arrêtes toi aussi, tu fais souvent l’expérience de l’un de ces instants qui définissent la vie. »

« Ta science l’a déjà démontré mathématiquement. Des formules établissent que si on monte dans un vaisseau spatial et qu’on s’envole assez loin et assez vite, on peut se tourner vers la Terre et se voir décoller. Cela prouve que le temps n’est pas un mouvement, mais un champ dans lequel vous vous déplacez, dans ce cas, sur le vaisseau Terre. »

« Vous dites qu’il faut 365 « jours » pour former une année. Mais qu’est-ce qu’une « journée » ? Vous avez décidé, plutôt arbitrairement, pourrais-je ajouter, qu’une « journée » est le « temps » que prend votre vaisseau Terre pour accomplir une révolution complète sur son axe. Comment savez-vous qu’il a effectué ce tour ? (Vous ne pouvez le sentir bouger !) Vous avez choisi un point de référence dans le ciel : le soleil. Vous dites qu’il faut une « journée » entière à la portion du vaisseau sur laquelle vous vous trouvez pour faire face au soleil, s’en détourner et y faire face de nouveau. »

« Vous avez divisé cette « journée » en 24 « heures », plutôt arbitrairement, encore une fois. Vous auriez tout aussi bien pu la diviser en « 10 » ou « 73 » heures ! »

« Puis, vous avez divisé chaque « heure » en « minutes ». Vous avez dit que chaque unité horaire renfermait 60 unités plus petites, appelées « minutes », et que chacune de ces minutes renfermait 60 unités minuscules, appelées « secondes ». »

« Puis, un jour, vous avez remarqué que non seulement la Terre tournait, mais aussi qu’elle volait ! Vous avez vu qu’elle se déplaçait dans l’espace autour du soleil. Vous avez soigneusement calculé qu’il fallait 365 révolutions terrestres pour que la Terre elle-même tourne autour du soleil. Ce nombre de tours de Terre, vous l’avez appelé une « année ». »

« Toutefois, les choses se sont un peu compliquées lorsque vous avez décidé de diviser une « année » en unités plus petites qu’une « année », mais plus grandes qu’une « journée ». Vous avez créé la « semaine » et le « mois », et vous vous êtes arrangés pour obtenir le même nombre de mois par année, mais pas le même nombre de jours par mois. »

« Comme vous ne pouviez trouver le moyen de diviser un nombre impair de jours (365) par un nombre pair de mois (12), vous avez tout simplement décidé que certains mois auraient un plus grand nombre de jours que d’autres ! »

« Vous croyiez devoir garder le 12 comme dénominateur commun annuel, car c’était le nombre de cycles lunaires dans lesquels vous observiez votre lune passer au cours d’une « année ». Afin de réconcilier ces trois événements spatiaux (révolutions autour du soleil, tour de la Terre sur son axe et cycles lunaires), vous avez tout bonnement ajusté le nombre de « journées » dans chaque « mois ». »

« Même ce stratagème n’a pas résolu tous les problèmes, car vos inventions antérieures continuaient de créer une « accumulation » de « temps » dont vous ne saviez que faire. Alors, vous avez également décidé que, de temps à autre, une année comprendrait une journée entière de plus ! Vous l’avez appelée année bissextile et tournée en dérision, mais vous vivez vraiment selon une telle construction. »

« Et tu trouves « incroyable » mon explication du temps ! »

« Vous avez tout aussi arbitrairement créé les « décennies » et les « siècles » (basés, il est intéressant de le noter, sur le 10, non sur le 12) pour mesurer davantage le passage du « temps ». Cependant, en cours de route, vous n’avez fait que trouver un moyen de mesurer des mouvements dans l’espace. »

« Nous voyons ainsi que ce n’est pas le temps qui « passe », mais des objets qui se déplacent dans un champ statique que vous appelez espace. Le « temps » n’est que votre façon de compter les mouvements ! »

« Ayant une profonde compréhension de ce rapport, les scientifiques parlent donc de « continuum espace-temps ». Albert Einstein, entre autres, a réalisé que le temps était une construction mentale, un concept relationnel. Le « temps » était ce qui était relatif à l’espace existant entre les objets. (Si l’univers est en expansion, ce qui est le cas, alors il faut à la Terre « plus de temps » pour tourner autour du soleil aujourd’hui qu’il y a un milliard d’années. Il y a plus d’« espace » à couvrir.) »

« Ainsi, il a fallu plus de minutes, d’heures, de jours, de semaines, de mois, d’années, de décennies et de siècles à tous ces événements cycliques pour arriver récemment qu’en 1492 ! (Quand est-ce qu’une « journée » n’est pas une journée ? Quand est-ce qu’une « année » n’est pas une année ?) »

« Vos instruments de mesure du temps, nouveaux et hautement sophistiqués, enregistrent maintenant cette différence de « temps » et, chaque année dans le monde, on ajuste les horloges pour arranger un univers qui ne tient pas en place ! Cela s’appelle l’heure de Greenwich ou GMT, pour gestion médiocre du temps… »

« Selon une théorie d’Einstein, puisque ce n’est pas le « temps » qui se déplace, mais l’homme dans l’espace, à un rythme donné, celui-ci n’a qu’à augmenter ou à diminuer l’espace entre les objets, ou sa propre vitesse de déplacement dans l’espace, d’un objet à un autre, pour « modifier » le temps. C’est sa théorie de la relativité générale qui a élargi votre compréhension moderne de la corrélation entre le temps et l’espace. »

« Tu peux maintenant commencer à comprendre. En effet, si tu effectues un long voyage aller-retour dans l’espace, tu n’auras peut-être vieilli que de dix ans, tandis que tes amis restés sur la Terre auront vieilli de trente ans ! Plus tu iras loin, plus tu déformeras le continuum espace temps et moins grandes seront tes chances, à ton retour, de trouver vivant quiconque se trouvait sur la Terre au moment de ton départ. »

« Si, toutefois, dans le « futur », des scientifiques développaient sur la Terre un moyen de se propulser plus rapidement, ils pourraient « tromper » l’univers, rester en phase avec le « temps réel » terrestre et découvrir, au retour, qu’il s’était écoulé le même temps sur la Terre qu’à bord du vaisseau. »

« De toute évidence, si on disposait d’une forme de propulsion encore plus grande, on pourrait même retourner sur la Terre avant même d’avoir décollé ! Autrement dit, le temps sur terre passerait plus lentement que le temps sur le vaisseau. On pourrait revenir dans dix de nos « années », et la Terre n’aurait « vieilli » que de quatre ans! Et si on augmentait la vitesse, dix années dans l’espace équivaudraient à dix minutes sur la Terre. »

« Alors, si tu rencontres un « pli » dans le tissu spatial (Einstein et d’autres croyaient à l’existence de tels « plis », et ils avaient raison !), te voilà soudainement propulsé dans « l’espace » en un seul « instant » infinitésimal. Un tel phénomène spatio-temporel pourrait-il réellement te « renvoyer » dans le « temps » ? »

« Tu ne devrais pas avoir autant de difficulté, à présent, à voir que le « temps » n’est rien d’autre qu’une construction de ton esprit. Tout ce qui est jamais arrivé, et tout ce qui va arriver, est en train d’arriver maintenant, et ta capacité de l’observer dépend tout simplement de ton point de vue, de ta « place dans l’espace ». Si tu étais à ma place, tu pourrais tout voir maintenant ! Comprends-tu? »

« Tu es toujours dans un espace de libre arbitre et de choix intégral. Le fait de pouvoir voir l’« avenir » (ou de demander à des gens de le faire pour toi) devrait augmenter ta capacité de vivre l’existence que tu veux, et non la limiter. »

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