Quelques citations de Neale Donald Walsch
Merci aux Éditions Ariane pour nous permettre de vous partager la sagesse provenant de La trilogie des Conversations avec Dieu.
Pourquoi as-tu créé deux sexes ? Est-ce la seule façon que tu as trouvée d’imaginer comment nous allions nous recréer ? Comment devrions-nous aborder cette incroyable expérience appelée sexualité?
« Sans honte, c’est certain. Et sans peur ni culpabilité. Car la honte n’est pas une vertu, la culpabilité n’est pas la bonté et la peur n’est pas l’honneur. Sans désir, non plus, car le désir n’est pas la passion. Sans abandon, car l’abandon n’est pas la liberté. Sans agressivité, car l’agressivité n’est pas l’ardeur. Et, à l’évidence, sans idées de contrôle, de pouvoir ou de domination, car ces idées n’ont rien à voir avec l’Amour. »
« Mais… peut-on utiliser le sexe pour la simple gratification personnelle ? Étonnamment, la réponse est oui, car la « gratification personnelle » n’est qu’un synonyme de l’amour de soi. »
« La gratification personnelle a acquis une mauvaise réputation au fil des années, et c’est la raison principale pour laquelle une grande culpabilité est rattachée au sexe. »
« On vous dit de ne pas vous servir, en vue d’une gratification personnelle, d’une chose qui est intensément gratifiante sur le plan personnel ! Cette contradiction évidente vous est apparente, mais vous ne savez pas quelle conclusion en tirer ! Alors, vous décidez que si vous vous sentez coupables d’avoir certaines sensations agréables pendant et après l’activité sexuelle, cela arrangera au moins les choses. »
« Ce n’est pas si différent de la célèbre chanteuse que vous connaissez tous, et que je ne nommerai pas ici, qui reçoit des millions de dollars pour chanter. Lorsqu’on lui a demandé de commenter son incroyable succès et la richesse qu’il lui a rapportée, elle a répondu : « Je me sens presque coupable, car j’aime tellement chanter. » L’implication est claire. S’il s’agit de quelque chose que vous adorez faire, vous ne devez pas, en plus, recevoir une compensation monétaire. La plupart des gens gagnent de l’argent en faisant quelque chose qu’ils détestent ou qui est au moins un dur labeur et non une joie sans fin ! »
« Le message du monde est donc le suivant : si vous avez des sentiments négatifs à l’égard d’une chose, vous pouvez y prendre plaisir ! »
« Vous faites souvent jouer la culpabilité pour essayer de vous sentir mal à propos d’une chose qui vous fait du bien et, ainsi, vous réconcilier avec Dieu, qui, de votre point de vue, ne veut pas que vous vous sentiez bien à propos de quoi que ce soit ! »
« En particulier, vous ne devez pas tirer plaisir des joies du corps. Et absolument pas du « S-E-X-E… », comme votre grand-mère le chuchotait. Eh bien, la bonne nouvelle, c’est qu’il est parfaitement bien d’aimer le sexe ! »
« Il est aussi parfaitement bien d’aimer votre Soi ! En réalité, c’est même une obligation. »
« Ce qui ne vous sert pas, c’est une dépendance par rapport au sexe (ou à quoi que ce soit d’autre). Mais il est « bien » d’en tomber amoureux ! Exerce-toi à répéter dix fois par jour : J’AIME LE SEXE. Exerce-toi à répéter dix fois : J’AIME L’ARGENT. Maintenant, tu veux quelque chose de vraiment difficile ? Essaie de répéter dix fois : JE M’AIME ! »
« Voici certaines autres choses que tu n’es pas censé aimer. Exerce-toi à les aimer : LE POUVOIR. LA GLOIRE. LA RENOMMÉE. LE SUCCÈS. LE GAIN. Tu en veux d’autres ? Tu devrais vraiment te sentir coupable si tu aimes : L’ADULATION DES AUTRES. T’AMÉLIORER. POSSÉDER DAVANTAGE. SAVOIR COMMENT. SAVOIR POURQUOI. »
« Tu en as assez ? Attends ! Voici l’ultime objet de culpabilité. Tu devrais te sentir, en définitive, coupable si tu as le sentiment de CONNAÎTRE DIEU. N’est-ce pas intéressant ? Toute ta vie, on t’a rendu coupable à propos des CHOSES QUE TU DÉSIRES LE PLUS. Mais je te dis ceci : aime, aime, aime les choses que tu désires, car ton amour pour elles les attire vers toi. »
« Ces choses sont l’étoffe de la vie. Quand tu les aimes, tu aimes la vie ! Quand tu déclares que tu les désires, tu annonces que tu choisis toutes les bonnes choses que la vie peut offrir ! »
« Alors, choisis autant de sexe que tu peux en vivre ! Et autant de pouvoir que tu peux en rassembler ! Et autant de renommée que tu peux en atteindre ! Et autant de succès que tu peux en avoir ! Et choisis de gagner autant que tu peux ! »
« Cependant, ne choisis pas le sexe plutôt que l’amour. Choisis-le plutôt pour célébrer l’amour. Et ne choisis pas le pouvoir sur, mais le pouvoir avec. Et ne choisis pas la renommée comme une fin en soi, mais comme un moyen d’atteindre un but plus élevé. Et ne choisis pas le succès aux dépens des autres, mais comme moyen de les aider. Et ne choisis pas le fait de gagner à tout prix, mais le gain qui ne coûte rien aux autres et qui leur apporte même un gain supplémentaire. »
« Vas-y, choisis l’adulation des autres, mais considère tous les autres comme des êtres que tu peux combler d’adulation, et fais-le ! Vas-y, choisis le fait d’être meilleur, mais pas meilleur que d’autres ; plutôt meilleur que tu ne l’étais auparavant. Vas-y, choisis le fait d’avoir davantage, mais seulement pour avoir davantage à donner. Eh oui, choisis le fait de « savoir comment » et de « savoir pourquoi », afin de pouvoir partager toute cette connaissance avec d’autres. Et, à tout prix, choisis de CONNAÎTRE DIEU. En fait, CHOISIS D’ABORD CELA et tout le reste s’ensuivra. »
« Toute ta vie, on t’a enseigné qu’il valait mieux donner que recevoir. Mais tu ne peux donner ce que tu n’as pas. Voilà pourquoi l’autogratification est si importante et pourquoi il est si malheureux qu’elle en soit venue à paraître si laide. »
« À l’évidence, nous ne parlons pas ici de l’autogratification aux dépens des autres. Il ne s’agit pas d’ignorer les besoins des autres. De même, la vie ne devrait pas ignorer tes propres besoins. Donne-toi du plaisir en abondance et tu auras un abondant plaisir à donner aux autres. Les maîtres du sexe tantrique savent cela. Voilà pourquoi ils encouragent la masturbation, que certains d’entre vous qualifient de péché. »
« Mais crois-tu vraiment que nous pourrons parler avec sincérité et ouverture de la sexualité humaine sans que quelqu’un choisisse d’être « offensé » ? Non, mais on peut aller trop loin. Je ne crois pas que la plupart des gens soient prêts à entendre Dieu parler de masturbation. »
« Si ce livre doit se limiter à ce que « la plupart des gens » sont prêts à entendre de la bouche de Dieu, ce sera un très petit livre. La plupart des gens ne sont jamais prêts à entendre ce dont Dieu parle au moment où il en parle. Ils attendent habituellement 2 000 ans. »
« Je me servais tout simplement de cette expérience de vie (dans laquelle vous vous êtes tous engagés, en passant, mais dont personne ne veut parler) pour illustrer un argument plus grand. Voici l’argument plus grand, reformulé : donne-toi du plaisir en abondance et tu auras un abondant plaisir à donner aux autres. »
« Les maîtres de ce que vous appelez le sexe tantrique qui, incidemment, est une forme très élevée d’expression sexuelle, savent que si vous vous adonnez au sexe avec une faim de sexe, votre capacité de donner du plaisir à votre partenaire et de faire l’expérience d’une union joyeuse et prolongée des âmes et des corps (qui, à propos, est une raison très élevée de faire l’expérience de la sexualité) sera grandement diminuée. Par conséquent, les amants tantriques se donnent souvent du plaisir à eux-mêmes avant de s’en donner mutuellement. Ils le font souvent en présence de l’autre, et habituellement avec l’encouragement, l’aide et le secours affectueux l’un de l’autre. Puis, lorsque la faim initiale a été satisfaite, la soif plus profonde de l’extase par l’union prolongée peut être satisfaite d’une façon splendide. »
« Se donner du plaisir à soi dans un cadre mutuel fait partie de la joie, du jeu, de l’amour propre à une sexualité pleinement exprimée. Cela fait partie d’un ensemble. L’expérience appelée le coït, ou rapport sexuel, peut survenir à la fin d’une rencontre amoureuse de deux heures. Mais vous pouvez ne pas y arriver. Pour la plupart d’entre vous, elle est à peu de choses près la seule raison d’être d’un exercice de vingt minutes. À vrai dire, vingt minutes avec un peu de chance ! »
« Ce n’en est pas un. Mais ce ne serait pas si mal. La plupart des gens ont bien des choses à apprendre au sujet de la sexualité et de son expression si merveilleuse et si bénéfique. Néanmoins, je cherchais ici à illustrer un argument plus grand. Plus tu te donnes de plaisir, plus tu peux en donner à quelqu’un d’autre. De même, si tu te donnes le plaisir du pouvoir, tu as plus de pouvoir à partager avec d’autres. Il en va de même pour la renommée, la richesse, la gloire, le succès, tout ce qui te fait du bien. »
« À propos, je crois que le moment est venu d’examiner pourquoi telle ou telle chose fait vraiment « du bien ». Pourquoi ? « Te sentir bien », c’est le moyen, pour ton âme, de proclamer : « Voici qui je suis ! » T’es-tu déjà trouvé dans une salle de classe où l’enseignant notait les présences et où, lorsqu’il te nommait, tu devais dire « présent » ? « Bien te sentir » représente donc le moyen, pour ton âme, de dire « présente ! ». Donc, beaucoup de gens ridiculisent l’idée qu’il faut « faire ce qui fait du bien ». Ils affirment que c’est plutôt le chemin de l’enfer. Mais je dis que c’est le chemin du paradis! Tout dépend, bien sûr, de ce que tu appelles « faire du bien ». Autrement dit, quels genres d’expériences te font du bien ? Mais je te le dis : aucune évolution n’a jamais été fondée sur le déni. Si tu évolues, ce ne sera pas parce que tu as pu te refuser les choses qui, tu le savais, te « faisaient du bien », mais parce que tu t’es accordé ces plaisirs et que tu as trouvé quelque chose d’encore plus magnifique. Car, comment peux-tu savoir qu’une chose est « plus grande » si tu n’as jamais goûté à celle qui est « moindre » ? »
« La religion aimerait que tu la croies sur parole à ce propos. C’est pourquoi toutes les religions finissent par échouer. La spiritualité, par contre, réussit toujours. La religion te demande de tirer des leçons de l’expérience des autres. La spiritualité te presse de chercher la tienne. La religion ne peut endurer la spiritualité. Elle ne le peut vraiment pas, car la spiritualité peut t’apporter une conclusion différente de celle d’une religion en particulier. Et cela, aucune religion connue ne peut le tolérer. La religion t’encourage à explorer les pensées des autres et à les adopter. La spiritualité t’invite à écarter les pensées des autres et à trouver les tiennes. »
« « Te sentir bien », c’est ta façon de te dire que ta dernière pensée était vérité, que ta dernière parole était sagesse, que ta dernière action était amour. »
« Pour remarquer jusqu’à quel point tu as progressé, pour mesurer ton degré d’évolution, examine tout simplement ce qui te « fait du bien ». Mais ne cherche pas à forcer ton évolution, à évoluer davantage, plus vite, en niant ce qui te fait du bien ou en t’en détournant. Se nier, c’est se détruire. »
« Sache également ceci : l’autorégulation n’est pas la négation de soi. Réguler son propre comportement représente le choix actif de faire ou non une chose à partir de ce qu’on décide soi-même d’être. Si tu déclares être une personne qui respecte les droits des autres, ta décision de ne pas les voler, de ne pas violer ni piller n’est guère de la « négation de soi ». C’est une affirmation de soi. Voilà pourquoi il est dit que l’évolution personnelle se mesure à partir de ce qui « fait du bien ». Si ce qui te « fait du bien », c’est d’agir de manière irresponsable, de te comporter d’une façon qui, tu le sais, pourrait causer du tort à autrui, provoquer des difficultés ou entraîner de la peine, tu n’as pas beaucoup évolué. »
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