Quelques citations de Neale Donald Walsh

Merci à son éditeur francophone Les Éditions Ariane, de nous autoriser à partager quelques passages de l’auteur, dans son livre La trilogie des Conversations avec Dieu.

« Selon les normes d’échange humain les plus élevées que j’ai observées, tuer ne pourra jamais être un moyen justifié d’exprimer de la colère, de libérer de l’hostilité, de « redresser un tort »ou de punir un agresseur. Il est vrai que la guerre est parfois nécessaire pour mettre fin au mal – c’est vous qui l’avez dit. Vous avez déterminé, dans la création du Soi, que le respect de toute vie humaine est, et doit être, une valeur primordiale. Votre décision me plaît, car je n’ai pas créé la vie pour qu’on la détruise. »

« C’est le respect de la vie qui rend parfois la guerre nécessaire. C’est en faisant la guerre à un mal imminent ou immédiat, en vous défendant contre une menace immédiate à l’endroit d’une autre vie, que vous affirmez qui vous êtes. »

« Selon la loi morale la plus élevée, vous avez le droit (en fait, selon cette loi, vous en avez l’obligation) de faire cesser une agression commise sur la personne de quelqu’un d’autre ou sur vous. Cela ne veut pas dire qu’il soit approprié de tuer pour punir, riposter ou pour régler des petits différends. »

« Pour l’amour du ciel! Dans ton passé, tu as tué quelqu’un en duel personnel pour l’affection d’une femme et tu l’as fait pour protéger ton honneur, alors que tu étais ainsi en train de le perdre. Il est absurde de recourir à la force meurtrière pour résoudre une dispute. Bien des humains utilisent encore la force (la force meurtrière) pour résoudre des disputes ridicules, même aujourd’hui. »

« Atteignant le sommet de l’hypocrisie, certains humains tuent même au nom de Dieu – et c’est le plus grand blasphème, car cela ne dit rien de qui tu es. »

« Revenons en arrière. Il n’y a rien de « mal » nulle part. Le « mal » est un terme relatif qui indique le contraire de ce que vous qualifiez de « bien ». »

« Mais qu’est-ce qui est « bien »? Peux-tu être véritablement objectif par rapport à cette question, ou « bien » et « mal » ne sont-ils que de simples descriptions que tu as accolées à des événements et à des circonstances, à partir de tes décisions? »

« Et sur quoi, dis-moi, reposent tes décisions? Sur ta propre expérience ? Non. Dans la plupart des cas, tu as choisi d’accepter les décisions de quelqu’un d’autre qui est venu avant toi et qui, sans doute, s’y connaît mieux. Parmi tes décisions quotidiennes quant à ce qui est « bien » ou « mal », très peu viennent de toi, de ta compréhension des choses. »

« C’est particulièrement vrai en ce qui regarde des questions importantes. En fait, plus la question est importante, moins tu es susceptible d’écouter ta propre expérience et plus tu sembles prêt à t’approprier les idées d’une autre personne. »

« Cela explique pourquoi tu as presque abandonné le contrôle entier de certains domaines de ta vie et certaines questions qui surviennent dans l’expérience humaine. »

« Ces domaines et ces questions touchent très souvent les sujets les plus essentiels à ton âme : la nature de Dieu, de la vraie moralité, la question de l’ultime réalité, les questions de vie et de mort entourant la guerre, la médecine, l’avortement, l’euthanasie, toute l’étendue et la nature des valeurs personnelles, des structures, des jugements. Vous avez abdiqué, pour la plupart, assignant tout cela à d’autres. Vous ne voulez pas prendre vos propres décisions concernant ces questions. »

« Quelqu’un d’autre doit décider ! Je vais suivre ! Quelqu’un d’autre doit me dire ce qui est bien et ce qui est mal! »

« Voilà pourquoi les religions humaines rassemblent autant d’adeptes. La nature du système de croyances ne compte presque pas, pourvu que ce système soit ferme, cohérent, clair par rapport à ses attentes envers les adeptes et rigide. Selon ces critères, des gens croient en presque n’importe quoi. Le comportement et la croyance la plus étrange peuvent être – ont été – attribués à Dieu. C’est la volonté de Dieu, disent-ils. La parole de Dieu. »

« Et il y a ceux qui acceptent cela. Avec joie. Car, vois-tu, cela élimine la nécessité de penser. »

« Maintenant, parlons du fait de tuer. Peut-il y avoir une raison justifiable de tuer quoi que ce soit? Penses-y. Tu découvriras que tu n’as besoin d’aucune autorité extérieure pour te donner une direction, d’aucune source supérieure pour te fournir des réponses. Si tu y penses, si tu examines tes propres sentiments, les réponses te seront évidentes et tu agiras en fonction de celles-ci. Voilà ce qui s’appelle agir selon ta propre autorité. »

« C’est quand tu agis sur le pouvoir des autres que tu crées des problèmes. Les États et les pays doivent-ils tuer pour atteindre leurs objectifs politiques? Les religions doivent-elles tuer pour renforcer leurs impératifs théologiques? Les sociétés doivent-elles tuer en réaction à ceux qui violent les codes de comportement? »

« Tuer est-il un remède politique approprié, une façon de convaincre spirituellement ou une solution aux problèmes sociaux ? »

« Peux-tu tuer quelqu’un qui essaie de te tuer? Utiliserais-tu la force meurtrière pour défendre la vie d’un proche ou d’un individu que tu ne connais même pas? »

« Tuer est-il une manière convenable de se défendre contre ceux qui tueront si on ne les arrête pas autrement? »

« Y a-t-il une différence entre tuer et commettre un meurtre ? »

« L’État voudrait te faire croire que tuer pour parachever un projet purement politique est un acte parfaitement défendable. En fait, pour exister comme entité de pouvoir, l’État a besoin de ton adhésion totale. »

« Les religions voudraient te faire croire qu’il est parfaitement défendable de tuer pour répandre, faire connaître et imposer leur vérité particulière. En fait, pour exister comme entités de pouvoir, les religions ont besoin de ton adhésion totale. »

« La société voudrait te faire croire qu’il est parfaitement défendable de tuer pour punir ceux qui commettent certaines offenses (différentes au fil des années). En fait, pour exister comme entité de pouvoir, la société a besoin de ton adhésion totale. »

« À ton avis, ces positions sont-elles correctes? As-tu pris la parole de quelqu’un à cet égard ? Qu’en dit ton Soi? »

« Il n’y a ni « bien » ni « mal » à propos de ces questions. Mais tes décisions dressent un portrait de qui tu es. »

« En effet, par leurs décisions, vos États et vos nations ont déjà dressé ces portraits. Par leurs décisions, vos religions ont créé des impressions durables, indélébiles. Par leurs décisions, vos sociétés ont peint leurs autoportraits, aussi. »

« Ces portraits te plaisent-ils? Est-ce là les impressions que tu désires laisser? Ces portraits représentent-ils qui tu es? »

« Sois prudent en ce qui concerne ces questions. Elles exigent parfois que tu réfléchisses. »

« Réfléchir est difficile. Porter des jugements de valeur est difficile. Cela te placera en position de pure création, car tu devras souvent dire : « Je ne sais pas. Je ne sais tout simplement pas. » Mais comme tu devras tout de même prendre une décision, tu devras choisir. Tu devras effectuer un choix arbitraire. »

« Un tel choix (une décision qui ne vient d’aucune connaissance personnelle préalable) est appelé pure création. Et l’individu est conscient, profondément conscient, qu’en prenant de telles décisions, le Soi se crée. »

« Une œuvre aussi importante n’intéresse pas la plupart d’entre vous, qui préfèrent la laisser à d’autres. Ainsi, la plupart d’entre vous ne sont pas leurs propres créateurs, mais des créatures de l’habitude, des créatures des autres. »

 

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