Quelques citations de Neale Donald Walsh
Nous remercions Les Éditions Ariane qui nous permet le partage de certains passages de La trilogie des Conversations avec Dieu.
« Réfléchir est difficile. Porter des jugements de valeur est difficile. Cela te placera en position de pure création, car tu devras souvent dire : « Je ne sais pas. Je ne sais tout simplement pas. » Mais comme tu devras tout de même prendre une décision, tu devras choisir. Tu devras effectuer un choix arbitraire. »
« Un tel choix (une décision qui ne vient d’aucune connaissance personnelle préalable) est appelé pure création. Et l’individu est conscient, profondément conscient, qu’en prenant de telles décisions, le Soi se crée. »
« Une œuvre aussi importante n’intéresse pas la plupart d’entre vous, qui préfèrent la laisser à d’autres. Ainsi, la plupart d’entre vous ne sont pas leurs propres créateurs, mais des créatures de l’habitude, des créatures des autres. »
« Quand d’autres te disent comment tu devrais te sentir et que cela contredit directement la manière dont tu te sens vraiment, tu éprouves un profond conflit intérieur. Quelque chose de profond en toi te dit alors que les affirmations des autres ne correspondent pas à qui tu es. Dans ce cas, où aller? Que faire ? »
« Tu te rends d’abord chez tes spécialistes de la religion, les gens qui t’ont amené là au départ – tes prêtres, tes rabbins, tes pasteurs et tes maîtres, lesquels te demandent de cesser d’écouter ton Soi. Les pires d’entre eux tenteront même de t’en détourner par la peur, de t’éloigner, par la peur, de ce que tu connais intuitivement. »
« Ils te parleront du diable, de Satan, des démons et des esprits maléfiques, de l’enfer, de la damnation et de toutes les choses effrayantes qu’ils peuvent imaginer pour t’amener à voir à quel point ce que tu savais et sentais intuitivement était mauvais, que tu ne trouveras le réconfort que dans leurs pensées, leurs idées, leurs théologies, leurs définitions du bien et du mal, et leur conception de qui tu es. »
« La séduction ne tient qu’à une chose : pour obtenir leur approbation instantanée, tu n’as qu’à être d’accord avec eux. Si tu l’es, tu recevras instantanément leur approbation. Certains vont même chanter, crier, danser et agiter les bras en chantant alléluia ! »
« Il est difficile de résister. Tant d’approbation, une telle réjouissance parce que tu as vu la lumière, que tu es sauvé ! »
« Les approbations et les démonstrations accompagnent rarement les décisions intérieures. On célèbre rarement celui qui choisit de suivre sa vérité personnelle. En fait, c’est tout le contraire. Non seulement les autres oublieront-ils peut-être de te célébrer, mais ils vont peut-être te soumettre au ridicule. Quoi ? Tu penses tout seul ? Tu décides par toi-même ? Tu appliques tes propres critères, tes propres jugements, tes propres valeurs? D’ailleurs, pour qui te prends-tu ? »
« En vérité, c’est précisément la question à laquelle tu es en train de répondre. »
« Mais tu dois accomplir ce travail dans une grande solitude. Sans récompense, sans approbation, peut-être même sans que personne le remarque. »
« Alors, tu poses une très bonne question. Pourquoi continuer? Pourquoi même te lancer sur une telle voie ? Qu’y a-t-il à gagner en entreprenant un tel voyage ? Quel en est le motif? Quelle en est la raison ? »
« La raison en est ridiculement simple. IL N’Y A RIEN D’AUTRE À FAIRE. »
« Je veux dire que c’est tout. Qu’il n’y a rien d’autre à faire. En fait, il n’y a rien d’autre à faire pour toi. Toute ta vie, tu feras ce que tu fais maintenant – tout comme tu l’as fait depuis ta naissance. La seule question est de savoir si tu le feras consciemment ou inconsciemment. »
« Tu vois, tu ne peux décrocher du voyage. Tu t’y es embarqué avant de naître. Ta naissance n’est qu’un signe que le voyage a commencé. »
« La question n’est donc pas de savoir pourquoi te lancer dans un tel voyage, puisque tu l’as déjà commencé dès ton premier battement de cœur. Il s’agit plutôt de savoir si tu veux parcourir cette voie consciemment ou inconsciemment. Avec ou sans vigilance ? En tant que cause ou en tant qu’effet de mon expérience ? »
« Pour la plus grande part de ta vie, tu as vécu les effets de tes expériences. À présent, tu es invité à en être la cause. C’est ce qu’on entend par vivre consciemment, marcher dans la conscience. »
« Comme je l’ai dit, nombre d’entre vous ont parcouru une certaine distance et accompli un progrès non négligeable. Ils ne devraient pas avoir l’impression, après toutes ces vies, de n’être arrivés « qu’à » cela. Certains d’entre vous sont des créatures hautement évoluées, dotées d’un très solide sentiment du Soi. Ils savent qui ils sont et ce qu’ils aimeraient devenir. Ils savent même comment y parvenir. C’est un grand signe, une indication certaine. »
« Il n’y a pas longtemps, tu as tué des choses – des bestioles, des plantes, des arbres, des animaux, des gens. À présent, tu ne peux tuer quelque chose sans savoir exactement ce que tu fais, et pourquoi. C’est là un très bon signe. »
« Il n’y a pas longtemps, tu vivais ton existence comme si elle n’avait aucun but. À présent, tu sais qu’elle n’a aucun but, sinon celui que tu lui donnes. C’est là un très bon signe. Il n’y a pas longtemps, tu suppliais l’univers de t’apporter la Vérité. À présent, tu dis ta vérité à l’univers, et c’est là un très bon signe. »
« Il n’y a pas longtemps, tu cherchais à être riche et célèbre. À présent, tu cherches à être tout simplement et merveilleusement ton Soi. Et il n’y a pas très longtemps, tu me craignais. À présent, tu m’aimes assez pour faire de moi ton égal. Tout cela est un très, très bon signe. »
« C’est à l’évidence beaucoup plus facile pour toi maintenant qu’il y a trois vies. Oui, ça devient plus facile. Plus tu te rappelles, plus tu es à même de ressentir et plus tu en sais, pour ainsi dire. Et plus tu en sais, plus tu te rappelles. C’est un cercle. Alors oui, cela devient plus facile, cela s’améliore, cela devient même plus joyeux. »
« Mais souviens-toi que rien de cela n’a été tout à fait pénible. Écoute, tu as adoré tout cela ! Chaque minute ! Cette chose appelée la vie est une expérience délicieuse, non ? »
« Ressentir moins de douleur sans développer plus de sagesse va à l’encontre de ton but. Cela ne te permet pas de ressentir une joie infinie, qui est ce que je suis. »
« Sois patient. Tu acquiers vraiment de la sagesse. Et tes joies sont à présent de plus en plus disponibles, sans douleur. Cela aussi est un très bon signe. Tu apprends à (te rappeler comment) aimer sans douleur, à lâcher prise sans douleur, à créer sans douleur, et même à pleurer sans douleur. Oui, tu es même capable de sentir ta douleur sans douleur, si tu vois ce que j’entends par là. »
« Continue donc de grandir, mon fils. Continue de devenir. Et continue de choisir ce que tu veux être, la prochaine version supérieure de ton Soi. Continue dans cette direction. Encore et encore. C’est l’œuvre de Dieu que nous accomplissons ainsi, toi et moi. »
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