Tannée de travailler pour rien
Je planche sur un sujet aujourd’hui, qui a touché une accélération de ma conscience. Le travail, tout comme le logis, concerne toutes les incarnations quand on vient sur Terre. Ce sont de grosses thématiques comportant plein de karmas. Malgré l’éventail des mémoires qui résident en nous, on doit se persécuter quelques fois à aller explorer le sujet, puis d’illuminer tout ça au passage.
Je suis dedans cette semaine! Ce sont des vagues, des cycles, qui nous amènent à une introspection pour mieux bouger dans la matière. Un changement de domicile ou de travail crée un mouvement d’insécurité pendant que ça bouge (les énergies qui préparent le changement se placent tranquillement pour se fixer et amener la stabilité nécessaire, pour permettre la transition d’un état à un autre).
Ça m’est venu la semaine dernière, une constatation à partir d’une réalité observée et mesurée. Comme un sentiment de découragement, profond et sérieux, m’accable le cœur : tout ce que je crée ne mène pas à grand-chose! Il me semble que j’y mets beaucoup d’efforts et de patience. Les résultats sont là. Il faut accueillir tout ça avec beaucoup de sérénité. J’accepte un nouveau départ sur le plan de ma conscience, parce que je suis encore acculée au pied du mur.
Qu’est-ce qui fait que ça ne fonctionne pas? Que ce soit difficile? Que le courant soit obstrué et que ça ne passe pas? Pourtant, mes intentions sont bonnes, les moyens pour y arriver aussi! C’est tout de même harmonieux et solide à la fois. Pourquoi il n’y a personne au rendez-vous? Tout cela est source de fatigue. Et lorsque cela s’étire sur une longue période de temps, le découragement nous guette. Projet 1 : réussi! Mais il devient un produit créé qui dort. Projet 2 : réussi lui aussi, mais en dormance également. Même chose pour le projet 3; mais son effet de levier n’est pas celui qui devrait se produire, même s’il est bien ancré et défini, matérialisé. C’est palpable, on y touche.
Je pourrais vous parler également de la liste — longue et réalisable — de rêves qui tardent pourtant à se manifester. Le temps passe, la liste ne raccourcit pas. Les bonnes occasions ne se présentent pas. Pourtant je suis à l’affût, mieux que quiconque même, pour les occasions de lumière à saisir. Je suis très prête à accueillir la manifestation de toutes mes semences de courage et de détermination à intégrer mes rêves dans une bonne fondation. Prête à accueillir l’Incroyable et le Grandiose que mon cœur a entrevus pour cette croissance illimitée, de Ce Qui en Est. Je veux que ça se place partout dans ma vie comme je le désire, mais ça ne se manifeste pas. Rien et tout. Facile de constater qu’on est dans le manque d’accomplissement. Le bonheur, on n’y a pas touché encore. Comme une impression de solitude…
J’ai donc mis tout cela en lumière par la méditation. Puis j’ai répété l’exercice avec une amie, ma chirurgienne énergétique, dans une sorte d’échange de nos spécialités médiumniques. J’ai porté toute mon attention sur la thématique du travail : je m’investis comme une forcenée, et ça ne rapporte pas en termes de contrats sonnants. Bref, je donne beaucoup, mais le retour se fait attendre.
On a ensuite examiné le karma. On l’a désossé et décortiqué, fouillé dans des racoins, épluché les mémoires, éventré le problème. Le défi consiste à illuminer tout cela, et je n’ai plus de résistance à avancer, je pardonne tout instantanément.
On a exploré plusieurs vies où je travaillais trop, sans être payée. On a également découvert que j’avais été punie pour un mandat que j’avais trop bien rempli, ce qui avait mis en colère mon employeur et valu la torture. En contrepartie, j’ai aussi vécu l’inverse en étant généreusement rémunérée pour un travail bâclé. Évidemment, ceux que j’avais maltraités dans le cadre de mes fonctions patronales ont également vu leur karma adouci.
Ensuite, nous avons dégagé la nuisance accumulée dans la lignée familiale, ainsi que dans les mémoires des chakras, les cellules des organes, et jusqu’à l’ADN.
Il est évidemment très difficile de résumer une heure trente de canalisation compte tenu du manque d’espace dont je dispose pour vous le partager. Mais je suis sincère dans mon désir de faire en sorte que le pouvoir créatif de la lumière que je partage avec foi tous les jours générera toute la détermination nécessaire pour m’ouvrir les bonnes portes afin que ce que j’aime faire me procure l’apport financier auquel j’ai pleinement droit. Tel est mon désir profond. En effet, depuis presque 30 ans, mon salaire est resté inchangé. Vous connaissez sans doute ma couleur et vous conviendrez que ce que j’ai à offrir n’entre pas dans un moule conventionnel, ce qui n’empêche pas que je sois très professionnelle! La chance d’Être, voilà mon objectif. Je l’apprécierais tellement! Heureusement, j’ai appris à éviter l’auto-sabotage, je vais prendre garde lorsque ça va se produire, car j’ai longtemps attendu. Je dois vous dire en terminant que j’ai la plus grande considération pour tout le processus, jusque dans les moindres détails.
C’est ça préparer son chemin du bonheur.
Julie L.
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