Présentation de Marcel Leboeuf
Quel homme extraordinaire, doux, talentueux, chaleureux. Marcel Leboeuf a quelque chose de calme, qui inspire le progrès. Il arrête la dégénération du Québec, à sa manière. Il est inspirant, dans l’action, avec droiture et souplesse. Il aime transmettre. C’est un transmetteur hors pair. La preuve, je n’ai pas fait de montage du tout dans l’entrevue. Il s’exprime bien, clairement, sympathiquement. Je suis contente de le connaître.
Cette entrevue est le résultat d’un lâcher-prise que j’ai fait. J’ai placé ma demande auprès de lui en octobre dernier. C’est en avril que ça s’est concrétisé. J’en suis très reconnaissante! C’est un cadeau de la vie. C’est un être intelligent, avec un sens du cœur développé. Il a une bonne écoute et une bonne action, et tout ça dans l’équilibre. C’est une personne ouverte, bien intentionnée. Il est sage et amusant.
Comme c’est facile de construire, je sais que nos routes vont se recroiser. C’est ça des personnes pleines de projets. Un moment donné, ça s’emboîte tout ça, et ça se concrétise dans la matière. On avance, et tout le monde se réalise. C’est ça le but.
Il est impliqué au niveau culturel dans sa ville, riche en histoire. D’ailleurs, je tiens à remercier le Musée des Beaux-arts de Mont St-Hilaire. Ils nous ont permis d’enregistrer l’entrevue dans leur exposition principale.
Son côté actif environnemental est extraordinaire. Cet homme a planté, jusqu’à date, 30 000 arbres dans sa vie. Il a une connaissance du terrain exceptionnelle. Je suis contente, il veut s’en servir et pousser le programme plus loin avec ses projets futurs. Une co-création. Il a les piliers et la connaissance, en plus des alliés. C’est formidable. C’est un bâtisseur d’évolution. Je lui souhaite vraiment la pleine réalisation de ce qu’il veut entreprendre. C’est clair que je vais contribuer à ma manière.
Je lui ai dit, avant l’entrevue, que dans le rôle de Paul Pouliotte, alias M. Benz, qu’il a joué dans l’épisode du chalet de La petite vie, saison 7, je l’ai trouvé solide. C’est le genre de scène, de popa et moman, avec Marcel Leboeuf qui était vendeur automobile. Popa teste le vendeur au maximum, et moman est saoûle. J’ai ri, j’ai ri, j’ai ri. Il a gardé une maîtrise de son jeu. Je sais que c’est coupé au montage et arrangé sans fous rires pour la version finale, mais je l’ai trouvé vraiment bon comme comédien. Il a pris place avec aisance dans son personnage, il a fait face à deux icônes de l’humour de façon remarquable. C’est un wow !
Toute son histoire est intéressante. Comment il a débuté. Comment il l’a équilibrée. Qu’est-ce qu’il a créé. Il est très humble. Il a gagné plein de prix, il n’en parle presque pas. C’est un homme généreux. Il partage bien son expérience et sa sagesse.
Il a bien des dons : il est comédien, il danse, il chante, fait de l’impro. Il est animateur radio, télégénique, il a eu une rubrique dans un journal, il a la boss des affaires. Il est conférencier et auteur. Il a la reconnaissance de l’énergie dans la matière, le côté humanitaire, environnemental, historique. J’ai l’impression d’avoir rencontré un grand frère. Sa gelée qui m’a offerte en cadeau est délicieuse.
Alors voilà. Bonne entrevue.
Version intégrale :
Version courte :
*Crédit photo pour la page couverture : Daniel Daigneault