VIRUS MANIA : RÉTABLIR LA RÉALITÉ DANS LA CONSCIENCE (2ème partie)
Il est utile de savoir que la théorie matérialiste naïve d’une supposée contagion de personne à personne n’a jamais pu être prouvée malgré tous les essais acharnés des fanatiques du vaccin. L’impossibilité d’une contamination par un coronavirus d’une personne à une autre est confirmée et supportée par un des grands pionniers en virologie, le docteur Etienne de Harven, MD. dans la préface de l’ouvrage de Torsten Engelbrecht intitulé Virus Mania, une étude majeure qui révèle la manière indécente dont les responsables de l’industrie médicale inventent continuellement des pandémies et des épidémies dans le seul but de faire des milliards de dollars aux dépens de la population.
La croyance en la contagion par virus est si tenace que toute la panique planétaire causée par le Covid19 est basée sur cette supposition, un postulat qui n’a pourtant aucune base scientifique. À cause de cette douteuse hypothèse devenue axiomatique, l’humanité a été mise sous occupation technocratique partout dans le monde. La crise que nous traversons n’est-elle donc qu’un projet politique machiavélique? Quoi qu’il en soit, le scandale est à la mesure de l’immensité des contrevérités et nombreux sont les laboratoires et les hôpitaux qui participent à l’imposture. Rappelons les paroles du plus grand représentant de l’approche de la médecine holistique, Claude Bernard (1813-1878) : « Le microbe n’est rien, le terrain est tout ». Pour souligner cette évidence, le chercheur Claude Köhnlein, co-auteur de Virus Mania, nous avertit que les germes, bactéries, microbes ou virus ne sont pas directement la véritable cause des maladies comme on a réussi à nous le faire croire.
En médecine holistique comme en ancienne médecine tibétaine ou chinoise, on sait depuis toujours que la vraie cause de la multiplication des germes est la mauvaise qualité du terrain. Cette toxicité du corps humain est créée par un manque total de prévention, l’extrême pollution électromagnétique des antennes qui pullulent désormais sur l’ensemble du territoire, un art de vivre malsain, le stress chronique et une nutrition qui n’est plus en harmonie avec les lois de la nature (sans parler de la radioactivité, des nouvelles radiofréquences de nos téléphones cellulaires, des effets secondaires des médicaments chimiques, des pesticides, herbicides, des doses neurotoxiques de mercure dans les vaccins, des OGM et des engrais chimiques qui se retrouvent dans la chaîne alimentaire). Ce n’est pas un virus qui nous tue. La vraie cause du génocide est dissimulée sous une fausse propagande.
Dans une célèbre étude sur les limites de la médecine publiée par l’Université de Chicago en 1977, le chercheur Edward Golub reproche aux médecins qui croient encore que les virus sont la cause des maladies d’être des « docteurs fantaisie ». D’après Golub, ces docteurs ne comprennent pas le rapport entre les micro-organismes et le corps humain. Ne le comprennent-ils pas ou ne veulent-ils pas le comprendre pour des raisons financières? Personne n’ignore que le dogme fanatique du « virus-ennemi » est vite devenue une mine d’or pour l’industrie pharmaceutique et pour les fabricants de vaccins et autres pilules-miracles. Nos chirurgiens font des prodiges et sauvent des vies, mais les systèmes de santé en collusion avec le Big Pharma restent encore trop occupés à faire de l’argent plutôt que de vraiment guérir les malades.
La détresse psychologique, les souffrances physiques et les centaines de milliers de morts causées par l’industrie des vaccins ont également été fermement dénoncées par nul autre que Robert F. Kennedy Jr qui a pu établir, avec l’aide de centaines de chercheurs, le lien évident entre l’épouvantable épidémie d’autisme et les doses massives de mercure-thimérosal injectées directement dans les veines de millions de nouveaux-nés. Dans cette investigation majeure originellement publiée en juin 2005 par Rolling Stone magazine et mise à jour en 2006 par Salon.com, le sénateur Kennedy Jr révèle que le CDC (Centre of Disease Control) et la FDA (Food & Drug Administration) ainsi que les responsables de l’industrie pharmaceutique connaissent parfaitement les dangers terribles du mercure contenu dans les vaccins mais les cachent aux mères de famille qui font encore vacciner leurs enfants. Pardonnez-les, Seigneur, parce qu’ils ne savent pas ce qu’ils font. Ou bien le savent-ils?
Que pouvons-nous faire pour sortir de ce marasme? Il est prouvé qu’en psychoneuro-immunologie (soit l’action thérapeutique de l’esprit sur le corps) l’intention humaine peut être utilisée comme une force de guérison extraordinairement puissante. Il est criminel de la part du Big Pharma (et des médias qui sont à la solde de cette vaste organisation) de ne pas divulguer cette information extrêmement importante, de la taire et de l’étouffer dans le seul but de faire plus de profits. Les recherches en épidémiologie holistique montrent clairement que la seule chose qui soit vraiment « contagieuse » est la contamination des intentions toxiques de la conscience individuelle. La peur est aussi excessivement transmissible et se trouve être l’arme favorite des mondialistes. Pour nous aider à nous en libérer, nombreux sont les chercheurs qui nous éclairent sur l’existence d’un champ universel d’intelligence réagissant à nos pensées et à nos intentions. Émerveillés et surpris de ce qu’ils découvrent dans leurs laboratoires, ils constatent que les pensées et les prières peuvent façonner le monde.
Les recherches de pointe en immunologie confirment ainsi ce que les maîtres spirituels affirment depuis des millénaires : la prière guérit. À contre courant de tout l’obscurantisme relié à cette lamentable histoire du Covid19, il existe un point de vue scientifique basé sur des données probantes et inattaquables qui prouve définitivement que notre conscience et notre corps communiquent avec l’univers d’une manière qui transcende toute la matière. La conscience n’est pas un vulgaire sous-produit du cerveau. Ceux qui le croient encore sont mal documentés ou sont pétris de vieux schèmes de pensée complètement dépassés. Pour ne citer qu’une seule référence parmi des milliers, le cardiologue hollandais Pim Van Lommel a apporté la preuve clinique que la conscience persiste en l’absence totale d’activité cérébrale. Lorsque cette communication devient effective, elle nous donne accès à un afflux de lumière transformationnelle hautement thérapeutique.
Il suffirait de voir les événements de notre vie quotidienne à partir d’une nouvelle fenêtre de conscience. Notre sort en dépend. Il va falloir faire un saut quantique si nous voulons nous sortir de toute cette saga. Il va falloir comprendre que la trame narrative officielle est essentiellement antiscientifique. Pourquoi n’accepterions-nous pas désormais la physique du troisième millénaire malgré les résistances et le manque de volonté politique? Qu’est-ce qui nous en empêche? Cela va nous demander du courage et de l’audace. Des membres de notre famille, des proches, des amis pourront se retourner contre nous. Tout le monde n’est pas disposé ou préparé à se libérer de ses vieilles croyances. Les résistances au changement sont toujours fortes quand on touche au médical à cause du fantôme de la peur qui hante ce domaine. Il nous faut quand même aller de l’avant. Il s’agit de découvrir la manière dont nos états de conscience touchent la vie de chaque personne sur terre. Il s’agit de rétablir le pouvoir causal de transformation et de guérison planétaire de la conscience humaine.
Nous sommes réellement tous reliés les uns aux autres. Le plus grand défi de ce siècle sera d’agir sur la base de ce savoir et de changer le monde en changeant d’abord et avant tout nos propres fausses croyances. La force est en nous parce que nous sommes constitués d’un fragment de la force suprême reliée à la totalité divine. Quelle que soit notre conception de Dieu ou quelle que soit l’étendue de nos connaissances transpsychologiques ou théologiques, notre position constitutionnelle est divine. Ontologiquement, nous sommes tous des filles et des fils de l’Être originel. Nous avons besoin d’un objectif supérieur orienté vers l’autotranscendance. Nous avons besoin d’explorer notre intérieur afin de ne plus adhérer à des notions périmées, que ces notions soient prétendument scientifiques ou pseudo-religieuses. Quel que soit l’état dans lequel la société se trouve, nous avons besoin de contacter individuellement en nous-mêmes une réalité intuitive extraneuronale qui nous rapproche de la nature spirituelle de notre existence. N’hésitons plus à frapper à la porte de notre divinité intérieure car il se pourrait bien qu’elle s’ouvre d’un seul coup sous l’action de la grâce.
L’illustre philosophe et mystique Simone Weil disait que « Dieu vient seulement à ceux qui lui demandent de venir » et il ne peut refuser de venir à ceux qui l’implorent longtemps, souvent et ardemment. Il s’agit de retrouver la matrice de la création, l’intelligence omniprésente, intemporelle et sans limite, la fontaine immortelle de l’harmonie cosmique, incluant tout, absolument tout, sans exception aucune.
La controverse entre athéisme évolutionniste et mysticisme créationniste est aujourd’hui caduque. Ces deux concepts sont désormais complémentaires. L’évolution n’exclut pas la présence d’une pensée créatrice divine. Pour être en phase avec les recherches de pointe en sciences connexes, il faut savoir qu’il n’est plus question d’évolution ou de création. Il est maintenant question d’une évolution « pour » la création. Cette certitude doit dès à présent se frayer une voie de libération dans le labyrinthe de nos vieilles et légitimes méfiances. Il n’est plus douteux de penser que l’univers a un dessein intelligent dirigé par un Cerveau Infini. Parallèlement, la controverse entre l’Âme Absolue de Dieu et l’âme distincte des êtres vivants est elle aussi désuète. L’un ne peut pas exister sans l’autre. Le tout ne peut pas s’accomplir sans ses parties. Sans vouloir faire de peine à personne et avec tout le respect que je dois aux croyants du monde entier, je dois dire que les concepts poussiéreux de nos catéchismes d’école sont définitivement périmés.
Il n’est plus question d’un Dieu existant séparément ou d’un non Dieu qui n’existerait pas. Ces deux axiomes sont révolus. Dieu merci, nous ne vivons plus à l’époque du Discours de la Méthode publié en 1637 par le philosophe français René Descartes. De nos jours, il est question de la partie « pour » le tout. Comme la main est « pour » le corps. Plus intelligemment, le philosophe allemand Hegel (1770-1831), avançait déjà au 18ème siècle que l’ultime vérité est « pour » elle-même, par elle-même et provient d’elle-même. Le tout infini et le fragment infinitésimal sont unifiés et sont simultanément distincts. Nous retrouvons ici la sublime vision du grand saint de l’Inde médiévale Sri Krishna Caitanya pour qui tout est un en qualité « et » différent en quantité, y compris l’Être divin et l’être humain (concept de l’inconcevable simultanéité de l’unité dans la multiplicité).
Selon le principe des variables cachées du physicien David Bohm, il existe effectivement une « onde pilote », une source primordiale d’énergie au potentiel infini qui émerge d’une zone profonde et non observable de l’univers. En tant que l’un des physiciens majeurs du 20ème siècle, David Bohm a réalisé d’importantes contributions à la physique et est l’auteur de La Conscience de l’Univers. La source cachée dont il parle dirige le comportement observé de la matière. Le côté aléatoire de la vie nous paraît donc étrange et indéterminé seulement de façon superficielle puisque plus en profondeur toutes les circonstances et toutes les épreuves que nous traversons sont déterminées par le potentiel suprêmement informé d’une invisible source infinie. David Bohm nomme ce niveau profond de réalité « l’ordre implicite », ou inexprimé, où tous les états de l’existence sont déjà engrammés en permanence. Ce que nous observons dans notre vie quotidienne émerge de cette onde pilote originelle dans un déploiement constant et devient « l’ordre explicite », ou exprimé, de notre existence. La conscience cosmique n’a pas besoin de notre appréciation pour informer l’énergie matérielle et lui transmettre son énergie originelle. Cela se passe de toute façon, que l’on soit profondément religieux, agnostique ou catégoriquement athée. Nous devons en conclure que l’univers possède une configuration de pensée primordiale qui est la source divine qui enfante notre conscience, et avec laquelle celle-ci reste naturellement reliée, comme nos yeux restent naturellement reliés à notre cerveau.
Tout ce qui se passe, l’agréable comme le désagréable, le merveilleux comme l’horrible, fait partie d’un plan infini qui dépasse les limites de la compréhension et de la raison. Cela signifie que tout se joue sur des niveaux de conscience qui sont ignorés et cachés à l’existence humaine. En se souvenant de la nature mentale de l’univers, nous pouvons connecter notre esprit avec une unité, une dimension ultime non perceptible par les sens ordinaires. Au-delà du théâtre tragi-comique qui se déroule sous nos yeux, nous pouvons sortir du rêve cauchemardesque du monde actuel et nous unir à un plan supérieur où ni les sens, ni le mental, ni la raison ni même la logique ne peuvent avoir accès. Impénétrable à l’intellect humain, ce plan se situe au-delà du mensonge et de la vérité. C’est une dimension supra logique et super-subjective que seul le principe de la foi peut atteindre.
La foi est une substance intuitive, ce n’est pas une croyance dogmatique. Les croyances ou non croyances ne nous aideront pas; les dogmes religieux ne nous seront d’aucun secours à ce niveau. Ils peuvent même représenter de sérieux obstacles. Ce plan de conscience n’a pas grand chose à voir avec ce qu’on appelle la religion ou l’athéisme. En 2020, nous devrions être en mesure de réaliser que l’esprit de religiosité, de même que l’athéisme, ne servent qu’à stabiliser des conventions sociales particulières et ne sont en fin de compte rien d’autre qu’une suite de thèses, de doctrines et de pratiques collectives dotées de certaines forces d’influence. L’athéisme est aussi une forme de religion qui a pour Dieu le néant et comme apôtres les existentialistes ou les anarchistes.
On ne peut pas échapper à sa propre conscience. Un grand nombre de gens souhaitent développer leur partie divine mais se demandent si elle est réelle. Il existe bel et bien une conscience de l’unité avec l’Absolu mais il est nécessaire de lui permettre de se développer. La première chose à faire pour s’élever au-dessus de la confusion actuelle serait de commencer à réduire le bruit mental et chercher à se libérer des contenus et des préjugés de la conscience cérébrale ordinaire. Le plan de conscience que nous cherchons se trouve au-delà des thèses et des antithèses.
Nous cherchons une synthèse, un nouvel angle de vision qui se situerait au-delà du mensonge médiatisé et de la vérité conventionnelle. Cela peut paraître paradoxal mais lorsque des gouvernements mettent en place des mesures drastiques de contrôle absolu et que des élus corrompus créent des conditions de vie extrêmement pénibles, le désespoir et le malheur que cela apporte à la société ont pour conséquence qu’un grand nombre de gens commencent à ressentir avec plus d’intensité l’appel du mystère infini qui veille au centre de toutes choses. Il n’y a qu’un seul pouvoir dans l’univers et il est bienveillant : sans qu’il s’en doute un seul instant, le mal est donc toujours au service du bien d’une manière ou d’une autre. Il devient ainsi possible d’éprouver avec plus de clarté la présence subtile d’une intelligence divine qui sous-tend et compose l’univers.
La prochaine étape serait de se libérer de la norme rationnelle en réalisant que le monde ordinaire n’est pas toute la réalité. Il y a autre chose, et cette « chose » est souriante, enjouée, accueillante, remplie d’amour et d’indulgence. Toutefois, les lois galactiques sont strictes et sévères pour les civilisations qui les transgressent. Il est impossible de percevoir l’existence de cette autre dimension si nous restons hypnotisés par les événements qui se déroulent sans cesse avec plus ou moins de démesure à la surface du globe. S’élever au-dessus des mensonges et des demi-vérités revient à transcender les attractions et répulsions qui surgissent dans le mental.
Le détachement de nos attachements fait toujours le plus grand bien au corps comme à l’esprit. Il est bon de tolérer les inévitables épreuves causées par la fructification de nos vieux karmas, traumatismes, complexes, mémoires, etc. Nous sommes les seuls responsables de ce qui nous arrive. Pandémie ou pas, nous avons attiré vers nous les conditions d’existence qui sont les nôtres. Cette pilule est particulièrement dure à avaler, je sais. Il est inutile et contreproductif de blâmer les autres ou d’en vouloir à Dieu, ou d’accuser les étoiles sous lesquelles nous sommes apparus sur cette planète. Nous créons nos réalités karmiques, quelle que soit la nature agréable ou désagréable des réactions de nos actions.
Les mystiques de toutes les traditions nous le disent depuis la nuit des temps: il existe une puissance personnelle dans une dimension non physique qui se trouve en nous mais aussi en totalité au-delà du soi individuel et au-delà de ce que nous analysons comme étant le bien ou le mal. Cette présence divine dont nous sommes une particule infinitésimale, surveille, témoigne et dirige nos actes depuis le centre de notre cœur. En bibliothécaire ultime des mémoires akashiques de toutes nos vies passées, cette présence nous permet de récolter le fruit de nos désirs vertueux, passionnels ou léthargiques. Le terme akasha (â kâ\sha) est un mot sanskrit qui signifie « espace éthérique dans tout ». Avec une remarquable clarté intellectuelle, le professeur de théorie systémique Ervin Laszlo, détenteur du plus prestigieux diplôme de la Sorbonne (un doctorat d’État), confirme ce que les transcendantalistes savent depuis toujours : il existe un champ cosmique d’énergies mentales qui conserve et transmet toute l’information universelle au plus profond de la réalité.
Dans les deux tomes de Science et Champ Akashique (Éditions Ariane, 2005), Laszlo décrit les fondements scientifiques de la mémoire constante et éternelle de l’univers. Cette mémoire multi-galactique détient les données de tout ce qui s’est jamais produit sur la terre et dans le cosmos. Pensez-y un instant… Dans cet océan subtil d’énergies fluctuantes, toutes les données de nos vies sont contenues et mises en corrélation avec tout ce qui doit nous arriver. Fruit de ses recherches de pointe sur la conscience, le professeur Ervin Laszlo nous offre une conclusion dont le monde a besoin de toute urgence en cette époque de fausse science, de faux rapports médicaux, de fraudes ministérielles authentifiées dépassant l’imagination, de fausse pandémie, de fausses nouvelles et de désorientation croissante. Et quelle est cette conclusion? Les impressions karmiques de nos vies passées ont désormais un socle physique et biologique. Nous ne pouvons plus douter du fait que les annales akashiques gardent perpétuellement en mémoire tout ce que nous avons fait, tout ce que nous faisons et ferons dans le futur.
Ainsi, rien n’arrive par hasard. Sous la direction d’un infaillible Mental Divin, nous co-créons le monde dans lequel nous nous agitons entre le berceau et la tombe à chaque réincarnation. Sachant cela, nous pouvons laisser aller la lutte pour l’existence et simplement nous abandonner au dessein supérieur de notre véritable ami, l’Éternel accompagné de sa contrepartie féminine, la Nature Maternelle Divine, qui forment à eux deux le Couple Absolu : l’Être Vivant Total. Lorsqu’il devient possible par la grâce des guides de faire l’expérience directe de la divinité, le soulagement est durable; la détente intérieure est réelle. Le monde matériel duel qui oscille constamment entre mensonge et vérité, guerre et paix, santé et maladie, abondance et pénurie, bonheur et malheur, etc. fait partie d’un univers spirituel non-duel qui l’inclut en totalité et duquel il tire le sens de son existence. En arrière-plan du chaos apparent, tout a sa place et tout est en place dans l’univers. Il peut être intéressant de comprendre en détail les neurones, les synapses et le génome humain, mais si on ne comprend pas la force motrice, originelle et spirituelle, qui anime la mécanique complexe des corps matériels, on ignore encore le mystère le plus essentiel qui donne vie à la nature et qui vient l’étayer.
Dieu ne vit pas uniquement dans l’imagination fertile de quelques fanatiques religieux. Il n’est plus invraisemblable de concevoir que le génome humain est guidé de manière cohérente par un dessein qui échappe à l’observation ordinaire. Qui plus est, ce dessein touche l’ensemble de la manifestation cosmique et correspond à un projet. La détermination divine est une action programmée qui est désormais ressentie comme une volonté transcendante et hautement spirituelle. Cette action se situe dans la totalité et c’est pourquoi nous disons qu’elle est lumière transpersonnelle infinie. Ce programme divin fait intégralement partie de nous. Jamais ne fut le temps où nous en étions séparés et jamais sera le temps où nous en serons désunis. Nous pouvons et devons en être partie prenante si nous espérons sortir sain et sauf de la crise du monde moderne. La première marche de cette éternelle ascension est de se relier au champ de conscience qui survit à la destruction des corps physiques. La non identification au corps que nous avons acquis ainsi qu’à tout ce qui s’y rattache (peur d’un virus, impressions du passé, race, nationalité, statut social, religion, possessions, prestige, convictions politiques, etc.) peut produire en chacun de nous une conscience d’informations indestructibles et en constante évolution. Quand ce retournement intérieur devient manifeste, quelque chose de merveilleux se passe : toute connaissance, toute sagesse et tout amour inconditionnel font naturellement leur apparition et deviennent éternellement disponibles.
Suite et fin du texte au prochain numéro …
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