Un retour à soi
Construire un projet est souvent une chose simple lorsqu’on sait bien s’y prendre. Quand on commence, il suffit de mettre en branle la première étape d’une réalisation et les démarches se succèdent et se raffinent par la même occasion. Les difficultés qui font obstacle au bon déroulement, sont importantes dans l’histoire, car elles permettent de préciser la direction que le projet va prendre.
Je suis heureuse de vous présenter la deuxième édition de la Revue MaJulie. Pour arriver jusqu’ici, j’ai dû faire face à diverses situations avec le plus grand discernement. Faire équipe avec des gens demande certains ajustements et ceux qui sont faits à partir du cœur, sont ceux qui résistent jusqu’au résultat final. Mes critères de base sont clairs : j’aime quand c’est naturel. Donc, une personne qui a de la bonne volonté, qui est efficace au niveau de ses actions concentrées et qui est à jour dans ses engagements, constitue un allié agréable pour manifester un dénouement positif dans la matière. Je préfère m’entourer de ce genre de personnes.
J’ai beaucoup médité sur la revue. J’ai même été chercher mes anciennes vies et connaissances pour bâtir ce projet. En fait, je fais toujours mes devoirs spirituels quand je conçois quelque chose, afin de ne pas pédaler dans le vide. J’ai pu réussir à fonder ma famille facilement grâce à ça. Cependant je précise : ça requiert une bonne dose de «lâcher prise» pour que la vie circule fluidement. Ça nous amène à la Foi, un retour à soi-même, une confiance en qui on est et ce qu’on a à faire. Soyez rassurés ! Ça prend une bonne dose d’écoute en son intuition et ça, j’en ai à profusion.
Au début, je voulais du contenu pour du contenu, de la variété. J’ai compris assez rapidement que je choisirais finalement la qualité des gens avec qui je travaillais avant tout. Je regarde d’abord la maturité d’une personne. Quand c’est au point, c’est vraiment agréable de faire équipe. Ça m’a coûté plusieurs chroniqueurs, que j’ai dû laisser aller parce qu’ils n’étaient pas organisés et que ça devenait compliqué à gérer. Être un adulte n’est pas synonyme de sagesse malheureusement. C’est la société qui veut ça et c’est le libre arbitre individuel qui arrive à cette sélection automatique.
Les principes journalistiques de la revue sont maintenant définis. Tout article se doit d’être à mon image, c’est-à-dire : avoir une communication fluide, être énoncé dans la vérité et nourrissant pour l’esprit. Le but, c’est d’harmoniser tout le monde, pour être sur le même bateau et se rendre à la même destination : l’éveil. C’est tout un mandat et il est impossible d’y arriver si les gens ne sont pas à leur affaire. J’ai le privilège de pouvoir choisir les personnes avec qui je m’associe et sachez que je le chéris fortement.
Ça prend énormément de patience et de compassion face aux outils que nous avons, lorsqu’on entreprend ce grand voyage. Il doit être alimenté avec beaucoup de passion et d’idées claires. Par chance, j’ai saisi parfaitement ce qu’est le principe d’une revue et ce que ça prend pour réussir. La flexibilité, cela revient à faire de son mieux avec ce que nous avons maintenant et petit à petit, le résultat va toujours s’améliorer. Quand on prend le temps d’apprendre de nos obstacles, les solutions que l’on trouve pour nous aider à surmonter nos difficultés, nous font vivre une expérience enrichissante et nous fournissent l’occasion d’accomplir quelque chose de sa vie.
Alors, je bénis tous ceux qui respectent leurs engagements et qui ont un savoir être, lorsqu’ils sont en relation avec des gens, car vous m’avez permis de ne sélectionner que le meilleur. Mieux s’entourer, c’est surtout apprécier davantage ce qui fonctionne simplement : une parfaite réalisation d’équipe. Et je remercie tous ces anges humains qui sont sur ma route, pour le cheminement humain en conscience, à partir d’une implication personnelle à ce projet. Je ne pourrais pas faire ce projet-là toute seule, c’est trop grand pour moi. Vous avez toute ma gratitude.
Au plaisir!
Julie L.
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