CERTITUDE OU FICTION ? (14e partie)
En 2010, je publiais chez Québec-Livres un ouvrage intitulé Certitude ou fiction ? faisant allusion au phénomène ufologique. Ayant récupéré mes droits, j’ai accepté de le confier à Julie afin qu’elle en publie le contenu ici sous forme de chroniques.
J’ai révisé quelques passages, mais essentiellement tout ce qui est là demeure contemporain au niveau de ma pensée.
Après bientôt six décennies d’étude et d’enquêtes minutieuses auprès des faits rapportés par de nombreux témoins de différentes anomalies, je vous invite à découvrir le fascinant processus de réflexion qui amène les gens à prendre une position ferme sur tout sujet et particulièrement sur tout sujet qui… n’existe pas.
Sur la piste d’un agenda
Procédons de la manière suivante. Si effectivement des centaines de milliers de gens, sinon plus encore, sont kidnappés par des supra-humains d’origine inconnue, il doit bien y avoir quelque part dans le récit de ces gens, une série d’indices, une piste pouvant nous permettre de déterminer ce qu’est leur agenda. La seule et unique façon de trouver cette piste est de tenir compte de ces récits et de les comparer afin d’y découvrir les éléments qu’ils ont en commun.
Évidemment, nous allons devoir travailler avec des récits, des histoires et des témoignages qui n’ont jamais été prouvés. Eh bien oui ! C’est en réalité un travail d’enquêteur de la division des crimes contre la personne dont il s’agit. Après tout, c’est un peu de cela dont il est question, n’est-ce pas ? Un témoignage peut être douteux, mais l’enquêteur l’écoutera quand même. Il n’a pas le choix ! Il n’a que cela entre les mains. Nous ferons de même[1]. Ce n’est pas rigoureusement scientifique, mais la méthode rigoureusement scientifique ne peut s’appliquer ici et nous allons démontrer pourquoi.
Il faut analyser cette question avec une très large ouverture d’esprit et ne pas hésiter à s’élever très haut au-dessus de cette mêlée grouillante d’hésitations, de contraintes et de mépris. Nous allons donc nous adresser à vous en supposant que vous croyez profondément que quelque chose se passe. Certains d’entre vous ont bien une idée, mais vous n’osez la formuler tout haut, de peur d’être pointés du doigt comme étant les fous du village.
Ce phénomène se situe à un niveau qui échappe complètement à notre réalité : on ne voit pas d’ovnis dans le ciel du quotidien, c’est à la fois aussi fréquent qu’un orage, mais de les voir est aussi rare que d’être frappé par la foudre. Quant aux enlèvements, c’est un circuit hermétiquement fermé. Pourtant, bien que isolée, quasi invisible, cette réalité existe.
Alors oui, quelque chose de très gros se passe et personne ne sait vraiment ce qui en est. C’est donc toutes voiles dehors, le vent en poupe, que nous allons explorer les hypothèses les plus extrêmes. Tout doit être envisagé à la lumière de ces récits. Sans exception. Un crime a été commis, il ne peut demeurer impunisous prétexte que le coupablese révèle furtif !
In terra incognita
Notre quotidien et le vôtre, lecteur, est une réalité bien concrète, farcie de problèmes avec lesquels nous sommes très familiers. Nous entrevoyons des solutions qui nous sont tout autant familières. Or, notre expédition in terra incognita n’offre plus cette sécurité, bien au contraire. Nous allons plonger dans un univers à ce point exotique, que certains voudront s’en retirer dès le tout début. Nous allons examiner des faits dont l’abord est totalement irrationnel selon les paramètres reconnus par la pensée dite réaliste : des objets et des gens qui traversent les murs, des expériences à caractère médical qui rappellent la torture, des mères porteuses dans une alliance aussi folle qu’étrange, des endroits, des lieux quasi indescriptibles, et surtout des êtres, des créatures qui ne correspondent en rien au connu familier de l’espèce humaine. Mais simultanément, nous apprendrons qu’il existe dans cette autre dimension, une réalité tout aussi tangible que la nôtre, et si fabuleuse qu’elle efface tout désarroi.
On peut déjà entendre hurler les autres : « Rien de tout cela ne résiste à l’analyse réaliste du mode scientifique qu’exigent les esprits pragmatiques. C’est de la folie pure, de l’imagination malsaine, du délire mystico-spatial, une forme d’hérésie scientifique inacceptable, un monstrueux amalgame de récits loufoques sans aucune substance et destinés aux esprits les plus faibles et les plus vulnérables.» C’est ce qu’on entend depuis toujours. Qu’à cela ne tienne, nous composons avec des données qui exaspèrent peut-être les rationnalistes, mais ces données sont du domaine du vivant, elles agissent et interagissent avec une intelligence, une volonté et une intention qui obligent le chercheur, mais également le lecteur, à modifier ses paramètres. Ce ne sont pas des réactions chimiques !
De toute évidence, ces anomalies ne sont justement pas de véritables phénomènes, mais des comportements, des agissements, hors de notre contrôle. Rien encore n’a pu être fait pour éviter, détourner ou modifier ces comportements, nous les subissons. Le parallèle, que certains vont estimer douteux et que nous effectuons avec une enquête criminelle, est pourtant le seul véritable qui puisse exister. Ce ne sont pas des virus, des bacilles, des animaux enragés avec lesquels nous composons, mais selon tous les récits, par centaines de milliers qui s’accumulent, ce sont des entités bien réelles, des êtres de chair. Avec une intelligence et un agenda !
Ils proviennent et évoluent possiblement dans d’autres dimensions, mais lorsque les humains sont mis en contact avec eux, le rapport est très physique. Si notre bagage de connaissances scientifiques, tout aussi diversifié et impeccable soit-il, est insuffisant pour nous aider à comprendre ce qui se passe, alors nous nous en passerons. Il sera toujours le bienvenu, lorsque les porteurs de ces bagages daigneront bien se manifester, comme déjà plusieurs l’ont fait d’ailleurs. Avec courage ! Quant aux autres, eh bien tant pis. Une enquête nous attend, un voyage en terrain très marécageux nous attend et c’est ce voyage que nous vous proposons. Qu’on se le dise !
La question génétique
Une très grande majorité de cas d’enlèvements fait ressortir une intervention de type médical sur les sujets, soit l’introduction d’appareils sondeurs dans les orifices du corps incluant l’anus et parfois le nombril. Plus tard, grâce aux travaux des chercheurs spécialisés, dont surtout Budd Hopkins et le docteur John E. Mack, on apprendra que de fréquentes collectes de semence mâle surviennent, sur une base régulière, sur le même individu et ce depuis l’âge de la puberté. On finira par apprendre également que des femmes sont inséminées et deviennent des mères porteuses. On leur enlève le fœtus qu’elles sont ensuite appelées à cajoler pendant quelque temps, puis tout s’arrête ou à tout le moins, tout semble s’arrêter !
Ce qui est remarquable cependant, c’est que peu de cas font état d’une révélation claire et précise de la part des visiteurs sur le pourquoi de ces procédures. De toute évidence, ils cherchent à créer un être hybride à partir de la semence humaine. Certains dossiers plus élaborés font ressortir que des humains ont vu ces créatures hybrides, frêles, ayant l’air malade, dépourvues d’émotion, laissant croire que leur but n’est pas encore atteint.
En admettant que la création d’une nouvelle race soit le but recherché ou l’un des objectifs de ces êtres venus d’ailleurs, nous en sommes encore à nous demander pourquoi ! Que vont-ils faire de ces hybrides ? Où vivront-ils ? Sont-ils quelque part à évoluer sur Terre ? Ensemble ? Séparés et parmi nous ? Sont-ils repartis pour toujours ? Est-ce la fin de leurs visites, leur objectif ayant été atteint ? Si c’est le cas, cela signifie que de nombreux humains, sans trop comprendre pourquoi ni comment, ont une fille ou un garçon, plusieurs même, qui vivent ailleurs, quelque part, et qu’ils ne reverront jamais. Il doit y avoir autre chose !
Nous allons donc explorer certains récits sans parcourir tous leurs détails, nous contentant de découvrir l’indice qui nous mettra sur la piste de l’agenda de nos visiteurs.
Antonio Villas Boas
Il y a très longtemps de cela, alors que nous venions à peine d’amorcer une recherche livresque de la question ufologique, voilà qu’un beau jour, dans un petit magazine spécialisé, nous tombons sur l’histoire hallucinante de ce personnage. Nous avons réagi comme tout le monde : un petit sourire de compassion pour ce pauvre fou, en manque d’attention. Aujourd’hui, en parcourant de nouveau les données de l’enquête, on se rend compte que le seul problème de Antonio Villas Boas est sans doute d’avoir été le premier à en parler.
En 1957, les vagues d’observations ovni dans le monde atteignent un sommet inégalé et ce depuis déjà quelques années, tant en Europe, qu’aux États-Unis. Depuis le carrousel de 1952 au-dessus de Washington jusqu’aux grands déferlements d’Oloron et Gaillac en France, en passant par les survols interminables au-dessus des bases militaires, tout y est. Un petit rappel.
Le carrousel de Washington désigne l’une des plus célèbres observations collectives d’OVNI du 20ème siècle. Elle a eu lieu la nuit des 19 et 26 juillet 1952, au-dessus de Washington D.C. Le 19 juillet dans la soirée, cinq sphères lumineuses volant au-dessus de la ville sont observées par de nombreux habitants. À 23 h 40, sept échos radar apparaissent sur les écrans de la base d’Andrew près de Washington et qui sont rapidement confirmés en visuel. Leur vitesse varie de 100 à 300 milles à l’heure, mais par moments atteint des pointes excessives dépassant Mach 10, soit plus de 7000 milles à l’heure. Les échos radar sont confirmés par l’aéroport de la ville et les bases aériennes alentour. Peu après, des avions de chasse Lockheed F-94 Starfire sont envoyés, et leurs pilotes confirment visuellement la présence des objets ainsi que leurs fascinantes variations de vitesse. Vers 2 heures du matin, d’autres avions de chasse arrivent ainsi que d’autres objets lumineux, dont l’un suit un avion de ligne pendant quelques instants. La série de pourchasses entre les ovnis et les avions militaires se poursuivra jusqu’à 5 heures du matin. Le phénomène reprendra toute la nuit du 26 au 27 juillet, et dans celle du 2 au 3 août. Il est à chaque fois confirmé en visuel et au radar par des civils et des militaires, au sol comme dans les airs.
Le 29 juillet, une conférence de presse est organisée au Pentagone. On expliqua à la presse que l’origine de ce phénomène était une « inversion de température » dans le ciel de Washington provoquée par le conflit entre une couche d’air chaud pris en tenaille entre deux couches d’air plus froides. Cela aurait eu pour effet de provoquer un effet de mirage, en réfléchissant des ondes radar et en réfractant des rayons lumineux venus du sol. Évidemment, cette explication est immédiatement réfutée par des spécialistes du radar. Comment expliquer le déplacement d’un mirage provenant de lumières fixes au sol ! D’ailleurs, en 1969, même la très lamentable Commission Condon rejettera cette explication.
Donc, on parle beaucoup d’ovnis dans ces années-là, mais il n’existe aucun rapport d’enlèvements. Il y a bien des contactés, mais pas d’enlevés.
Ces contactés, dont le plus célèbre dans le monde est sans nul doute Georges Adamski, et ici au Québec Arthur Matthews, prétendaient avoir reçu la visite de grands êtres blonds, fort sympathiques, qui les emmenaient faire un tour de soucoupe volante. Howard Menger, décédé en février 2009, est également un contacté qui effectuera de nombreux voyages en vaisseau spatial, jusqu’à la lune où se trouvent, à ce moment, des bases en forme de dômes. Il épousera la sœur vénusienne d’un premier contact. Il n’était pas le seul. La liste des contactés est relativement imposante. Mais pour le public et même les chercheurs, le clivage est trop important. Passe encore qu’une lumière brillante affole les opérateurs radar et les pilotes de chasseurs de Washington, mais ça ?
Ainsi, pour un enquêteur en ufologie de 1957, le summum d’une observation est l’atterrissage d’un de ces vaisseaux avec une observation furtive des occupants, suivi d’un décollage immédiat sans aucun contact direct entre les occupants et le ou les témoins. C’est la catégorie RR-3, soit une « rencontre rapprochée du troisième type ». Nous avons personnellement enquêté sur ce genre de dossier, à Coleraine, au Québec, mais également à Saint-Jean d’Iberville en 1971.
L’idée qu’un être humain comme vous et moi puisse être contacté, choisi, pour une aventure amoureuse à la Howard Menger, dépassait notre entendement. Encore à ce jour, nous reprochons à ce genre de récit l’aspect très humain de la rencontre, sorte de copie conforme du rêve un peu infantile ou naïf d’un homme qui fait l’amour avec une extraterrestre aux formes gracieuses.
Le cas de Villas Boas est toutefois différent. Il pourrait s’agir du premier dossier d’expérience génétique rendu public.
Antonio Villas Boas est un jeune fermier brésilien de 23 ans vivant à San Francisco de Sales dans le Minas Gerais. Le 16 octobre 1957, alors qu’il travaille de nuit dans son champ pour éviter la chaleur accablante du jour, il observe une curieuse étoile rouge dans le ciel. Elle grandit de plus en plus et finit par devenir un objet solide épousant la forme d’un œuf. Il se pose sur trois pieds.
Villas Boas panique et tente de s’enfuir. Il monte sur son tracteur et fuit la scène, mais après quelques secondes, les lumières et le moteur de l’engin cessent de fonctionner.[2] Il se met à courir, mais un bras le retient. Un homme, donc d’apparence humaine, l’empêche de poursuivre sa course. Il mesure à peine 1 mètre 50, il porte une combinaison grise et un casque sur la tête. Ses yeux sont petits et bleus. Il émet des sons qui ressemblent à de petits cris gutturaux. Trois autres personnages du même type se présentent et obligent Villas Boas à pénétrer dans l’objet. À l’intérieur, il est entièrement dévêtu, recouvert d’un gel et emmené dans une pièce semi-circulaire. On le pique au menton pour y retirer du sang. Dans une autre pièce, Boas se retrouve seul. Un gaz est émis qui le rend malade.
Par la suite, un autre occupant du vaisseau se présente. C’est une femme, de la même taille, mais avec un corps de déesse et complètement nue. Ses cheveux sont longs et blonds platine. Ils auront deux rapports sexuels successifs. Aucune marque de tendresse ne survient entre les deux ; l’acte est consommé rapidement. Une fois ces rapports sexuels terminés, la femme sourit, frotte son abdomen et pointe le ciel du doigt. On le rhabille, on lui fait la politesse de visiter le vaisseau. Il tente de voler un objet, mais il est surpris dans son geste et ne pourra le compléter. Il est escorté à l’extérieur, l’engin s’envole et disparaît. Villas Boas sera demeuré à l’intérieur environ quatre heures. Décédé en 1992, il continuera toute sa vie à maintenir sa version des faits, intégralement, sans en changer un iota.
Pendant que la presse mondiale ne retient évidemment que l’acte sexuel consommé avec une blonde platine aux courbes généreuses, Villas Boas se plaint de nausées et, tout en racontant son histoire aux journalistes, l’un d’eux prend la décision de le confier aux soins d’un médecin. L’enquête sera donc menée par le Docteur Olavo Fontes de l’École de Médecine Nationale du Brésil. Fontes est membre de l’APRO (10). Plusieurs de ses membres donneront finalement naissance à l’actuel MUFON américain.
Les premiers examens démontrent que Villas Boas souffre de symptômes reliés à une forte irradiation. L’auteur Terry Melanson (11) écrit notamment que Boas souffrait de douleurs sur tout le corps, de maux de tête, de nausées, d’une sensation permanente de brûlures aux yeux, de lésions cutanées et de marques de coups légers. Villas Boas n’aura jamais besoin de recourir à l’hypnose pour raconter son expérience. On peut dès lors établir que, inventé, halluciné, rêvé ou pas, son récit est en corrélation avec un malaise authentique lié à une forme d’irradiation.
Ce récit est typique de ceux réfutés sur le banc par les dénigreurs. Par contre, on ne peut blâmer les fausses-mémoires induites par un hypnologue, mais il n’y a aucun autre témoin et selon eux, Villas Boas a très bien pu être contaminé par une source de radiation naturelle ou par un objet illicite qui se serait trouvé par hasard dans son champ. L’affaire Villas Boas est donc, à leurs yeux, un canular monté de toutes pièces, ou le rêve érotique d’un jeune homme de 23 ans, dans la force de l’âge, et qui serait tout bêtement tombé endormi dans son champ, à proximité d’une source de radiation quelconque. C’est l’explication classique de ceux qui ne veulent pas croire à tout prix et pour qui tout s’explique sauf par la version affolante d’un témoin qui n’a aucune crédibilité à leurs yeux. On n’a jamais retrouvé cette source de radiation pourtant relativement aisée à détecter.
Comme déjà mentionné, c’est l’équivalent d’une enquête policière que nous menons, alors nous allons examiner certains aspects du témoignage comme tout bon enquêteur se doit de le faire.
Le geste de la femme indique que l’acte sexuel était exclusivement reproductif. N’étant pas de la même race, de toute évidence, il s’agit donc d’une tentative d’hybridation[3]. Fait à noter, aucune parole, aucun message, aucun autre signe de communication n’est survenu. Ils sont descendus dans ce champ, ils ont kidnappé le jeune homme, ils ont compté sur sa libido de jeune homme pour accepter un rapport sexuel avec une fort belle femme[4] et ils l’ont planté là, comme un navet, sans un au revoir.
Comme déjà mentionné, la presse et également la communauté ufologique ont réagi avec scepticisme, et certes avec ironie dans plusieurs cas. Difficile de les blâmer, mais à la lumière de tout ce qui s’est produit, des centaines et des centaines de milliers de fois depuis, l’affaire Villas Boas peut désormais compter parmi les récits à conserver dans notre rapport.
La suite au prochain numéro …
Références et documentation
(10) L’APRO est une des plus importantes organisations de recherche ufologique de l’époque. Fondée en 1953 par Coral Lorenzen, elle opérera jusqu’en 1988.
(11) MELANSON, Terry. www.conspiracyarchive.com. À notre connaissance, aucun ouvrage spécifique et exclusif à l’affaire Villas Boas n’a été publié. Des dizaines d’auteurs y font allusion
et une profusion de rapports sont également disponibles sur le web.
[1] Ne soyons pas naïfs et admettons sans aucune forme de cynisme que le travail du policier enquêteur dans nos sociétés modernes n’est pas toujours rigoureux, intègre et sans abus, comme de trop nombreux dossiers judiciaires le démontrent. Nous évoquons donc ici un modèle idéal.
[2] Des années plus tard, une étude scientifique sur ce phénomène démontrera qu’un faisceau micro-onde émis par les objets interfère avec le transfert de courant sur les appareils fonctionnant à l’électricité de courant continu. Dès qu’il est retiré, tout se remet à fonctionner sans que l’usager ne soit obligé d’intervenir. Ce ne fut pas le cas ici, Villas Boas ayant retrouvé son tracteur avec les fils de la batterie arrachés.
[3] L’hybridation est en fait un métissage entre ethnies différentes, il n’y a donc là rien de très exotique. Par contre, la méthode de copulation utilisée par les ravisseurs pourrait être suivie par la suite de manipulations génétiques plus sophistiquées.
[4] Dans de nombreux récits, il appert que cette fort belle femme ne soit qu’une illusion créée par les ravisseurs, comme ils ont fini par s’en rendre compte une fois l’acte consommé et ce, contrairement à Boas.
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