Prophéties, karma et conscience
Nous sommes actuellement en 2025. Il y a donc cent ans disparaissait le célèbre docteur et illustre visionnaire Rudolf Steiner (1861-1925). Au cours de sa glorieuse existence, Steiner a fait de nombreuses prédictions sur ce qui allait un jour arriver à l’humanité. Toutes les visions du futur qu’il a reçues et qu’il a eu la bonté de partager avec ses nombreux lecteurs se sont réalisées par la suite. Or, le 7 octobre 1917, alors que les populations subissaient l’horreur de la Première Guerre mondiale, Rudolf Steiner a eu une vision qui ressemble étrangement à ce qui se passe de nos jours dans nos sociétés hystériques américano-otanesques, surtout depuis le début du 21e siècle. Rudolf Steiner voyait qu’un cartel de malfaiteurs, des êtres reptiliens à l’esprit particulièrement démoniaque et se faisant passer pour des humanistes, allaient créer des pseudomédicaments dont la fonction sera d’éliminer l’âme des gens. Sous prétexte de lutter contre une épidémie artificiellement programmée, propagée par une propagande insensée et nourrie par des médias grand public corrompus à l’extrême, les membres de ce cartel maléfique allaient créer une arme génique qu’ils feraient passer pour un « vaccin ». Cette arme serait injectée par contrainte psychologique dans le sang de millions d’individus, y compris dans les veines de femmes enceintes et d’enfants, directement à la naissance, c’est-à-dire dès que possible. Anesthésiés par la propagande médiatique prétendument « scientifique et médicale », les gens feraient innocemment la queue pour se faire injecter dans le corps ces produits hyper toxiques. Des milices policières cupides seraient grassement payées pour forcer les pauvres gens désarmés à se soumettre à de faux tests, à porter un masque étouffant bourré de produits chimiques, et à se faire vacciner. Les jeunes enfants ne seraient pas épargnés. (Cela ne vous rappelle rien?)
Selon la prophétie de Steiner, le but inavoué de ce faux vaccin sera, entre autres choses, d’euthanasier la glande pinéale afin que les gens ne puissent plus cultiver en leur âme et conscience l’intuition millénaire de l’immanence naturelle de l’Esprit cosmique. On voudra donc éliminer tout souvenir de l’empreinte de Dieu dans le monde du vivant. Steiner prédisait que la tâche d’éliminer l’âme de l’humanité serait confiée à des médecins sans foi ni loi, de faux scientifiques, religieusement matérialistes de surcroît, vides de toute vie spirituelle authentique. Comme à l’époque de Steiner, on affaiblissait déjà les gens en les vaccinant contre telle ou telle maladie au lieu de prévenir la santé en maintenant un système immunitaire solide, il voyait que, dans le futur, on allait vacciner les personnes, et surtout les enfants en bas âge, avec un produit qui les immuniserait contre l’influence bénéfique de l’intuition spirituelle. La vie intérieure serait même considérée comme une véritable folie et traitée comme telle.
Pour Steiner, les êtres ainsi « vaccinés » pourront devenir passablement intelligents, mais seront dans l’impossibilité physiologique de développer leur propre conscience, ou même de cultiver par eux-mêmes leur propre discernement. Ils ne sauront donc plus faire la différence entre ce qui est dans leur véritable intérêt et ce qui va à son encontre. En outre, ce faux vaccin auquel les gens se soumettront naïvement grâce à l’influence omniprésente de l’empire du mensonge médiatique permettra à leur corps énergétique de perdre complètement le contact avec leur corps physique. Les gens deviendront donc des sortes de zombies, des individus sans âme, des robots contrôlables à souhait. Tel sera l’objectif des dirigeants de cette funeste époque.
Une fois que les gens auront perdu le contact avec la nature de leur corps énergétique, la relation entre leur mental et l’univers deviendra extrêmement instable. Les gens dits « normaux » deviendront des automates. Leur corps physique ne pourra plus être habité par les forces spirituelles bienveillantes qui règnent partout dans le cosmos. C’est ainsi que ce faux vaccin deviendra l’arme absolue entre les mains du côté sombre de la force. L’homme sera emprisonné dans un esclavage qu’il aura lui-même créé, accepté et qu’il aura même accueilli avec le plus grand enthousiasme. L’humain ne pourra plus se libérer d’un sentiment antispirituel et vivra comme au fond d’un cachot mental, séparé de tout sentiment divin. Ce sera l’ultime punition, l’ultime réaction encourue à la suite de l’ampleur de ses actions déréglées. Chaque action donnée sera ainsi récupérée et l’homme subira la magnitude des destructions qu’il aura imposées à la nature et aux règnes minéral, végétal et animal de la planète. Ce sera le triomphe des forces « arymaniques » (c’est ainsi que Rudolf Steiner nommait l’état d’esprit des ténèbres de l’ignorance). Par constitution physiologique, l’être injecté ne ressentira plus aucun signe de Dieu et sera dans l’impossibilité biologique de s’élever au-dessus de la sous-animalité dans laquelle son propre karma l’aura jeté. Il n’y aura plus aucune liberté de penser, aucune liberté de croire en Dieu, aucune liberté de simplement vouloir se développer personnellement. Cela n’existera plus dans certaines zones occidentales de la Terre. Ce sera la chute, l’effondrement de cette partie de l’humanité.
Voilà pour la vision prophétique de Steiner faite au début du 20e siècle. Mais d‘où peut bien provenir ce terrible karma? Même si cela nous concerne, il est vrai qu’à cause de notre ignorance, nous blâmons souvent les autres pour nos souffrances. Les cartels pharmaceutiques qui produisent ce genre d’arme génique sont en réalité au service de l’ordre cosmique. Rien n’est laissé au hasard dans l’univers. En vérité, nous souffrons à cause de nos propres tendances. Toutes les prophéties ne sont que des visions qui correspondent aux interconnexions entre énergie donnée et énergie récupérée. Au sein de la manifestation cosmique, tout est fréquence, vibration et énergie. Nous devons donc toujours nous demander en quoi consiste un bon karma et en quoi consiste un mauvais karma. Nous acquérons un bon karma quand nos actions apportent satisfaction aux autres et un mauvais karma quand notre comportement les fait souffrir. Les « autres » est une expression qui inclut également tous nos frères vivants appelés « les animaux » dans le calcul des répartitions de la récupération des énergies données et récupérées.
Regardons du côté des abattoirs, des hamburgers et des barbecues. Le calcul est simple à faire : « Quand l’humanité abolira les abattoirs, elle abolira la guerre et les épidémies; tant qu’il y aura des abattoirs, l’homme connaitra les horribles souffrances des maladies et des champs de bataille », exprimait le grand Léon Tolstoï (1828-1910). Il était persuadé qu’en arrêtant immédiatement de massacrer ces pauvres animaux qui ne nous ont rien fait, les choses sur Terre s’amélioreraient instantanément. Serait-il donc possible d’arrêter de jeter de l’essence karmique sur le feu nucléaire qui nous menace? Cela pourrait se faire ressentir partout à la surface du globe. Sous l’influence positive de la vertu retrouvée, les consciences des dirigeants changeront. Ou alors ces mêmes cartels de malfaiteurs seront naturellement éliminés et remplacés par des dirigeants aimant et respectant les peuples et la vie sur Terre. Nous pouvons vivre heureux sur cette planète, mais pas en tant que carnivores sanguinaires. Le philosophe Henri-David Thoreau était conscient des réactions violentes qui font suite à l’abattage insensé d’êtres vivants. Il écrivait : « Je suis convaincu que la destinée de la race humaine est appelée dans son évolution à cesser de se nourrir du cadavre de chairs animales. » Pareillement, le père des mathématiques, l’illustre savant Pythagore, nous prévenait, cinq siècles avant Jésus-Christ : « Quel horrible crime d’engloutir des entrailles dans ses entrailles, d’engraisser avidement son corps d’un autre corps mort, et de vivre de la mort d’un être vivant comme nous! » Pour sa part, l’écrivaine Marguerite Yourcenar (1903-1987) précisait : « Je me dis souvent que si nous n’avions pas accepté, depuis des générations, de voir étouffer les animaux dans des wagons à bestiaux […] personne, pas même les soldats chargés de les convoyer, n’aurait supporté les wagons plombés des années 1940-1945. » Si vous vous demandez pourquoi les hommes inventent des moyens de plus en plus subtils et cruels afin de faire souffrir l’humanité, alors ne cherchez plus. Une immense partie de la souffrance humaine a pour origine ce qui se passe dans les abattoirs et dans les assiettes d’agonie qui en sortent. Toute cette somme inouïe d’énergie sanguinolente donnée à l’abattage d’êtres vivants innocents nous revient en énergie récupérée sous forme de mortalité et de douleur humaine. « Comment pouvez-vous avoir un animal comme compagnon et un autre pour le lunch? », demande la championne de tennis Martina Navratilova. Commençons par nous poser cette question légitime.
Il existe une multitude de prophéties qui décrivent avec précision ce qui attend l’humanité si elle ne prend pas conscience de l’aspect sacré de toute vie sur Terre. Parmi elles, la prédiction la plus glaçante de toutes est sans doute la suivante : le 2 février 1905, à Saint-Pétersbourg, naissait Alissa Zinovievna (1905-1982), philosophe et écrivaine d’origine russe, mieux connue dans le monde des lettres sous le nom d’Ayn Rand. Elle déclara : « Lorsque tu te rendras compte qu’il te faut l’autorisation de ceux qui ne produisent rien pour pouvoir créer; lorsque tu verras que l’argent afflue non vers ceux qui échangent des biens, mais des faveurs; lorsque tu comprendras que beaucoup s’enrichissent non par leur travail, mais par la corruption et les influences, et que les lois, loin de te protéger contre eux, les protègent contre toi; lorsque tu découvriras que la corruption est récompensée et que l’honnêteté devient un sacrifice, alors tu pourras affirmer, sans l’ombre d’un doute, que ta société est condamnée.» Ces mots résonnent comme la condamnation d’un crime, telle une vérité intemporelle, comme un avertissement gravé dans le marbre du temps. Notre société est condamnée? Mais pourquoi? Réponse : par ses propres actions. Cependant, rassurez-vous, le karma n’est pas fatal. Tout peut et doit être transformé. Rien n’est statique dans l’univers, et le karma lui-même est une énergie fluide qui peut être rapidement métamorphosée.
Commençons à faire du bien aux « autres », à tous nos amis les animaux, au lieu de faire griller leurs cadavres à la broche pour s’en délecter les papilles avec de la moutarde. C’est peut-être une goutte d’eau dans l’océan des réactions karmiques, mais chaque geste compte. La prière sincère et le repentir sont des forces qui portent en elles la toute-puissance d’éloigner de nous les lois strictes de la nature. « Tant que les hommes massacreront les animaux, ils s’entretueront. Celui qui sème le meurtre et la douleur ne peut récolter la santé, la joie et l’amour.» Ainsi parlait le sage Confucius à qui voulait bien l’entendre. Mais qui écoutera les conseils de Confucius, de Tolstoï, de Yourcenar ou de Thoreau? Les gens préfèrent aller à la boucherie ou au MacDo et ne pas penser aux conséquences. J’ai lu quelque part que, parfois, peu importe à quel point la vie s’exprime clairement pour nous dévoiler le fonctionnement des lois du cosmos, nous n’écoutons pas pour comprendre — nous écoutons pour réagir. Nous sommes souvent coincés dans notre propre perspective, réticents à envisager un autre point de vue. Ce n’est pas la peine de s’épuiser alors, car le débat devient inutile. Une conversation avec quelqu’un d’ouverture d’esprit, qui accorde de l’importance à la croissance et à la compréhension, peut être éclairante, même si vous n’êtes pas d’accord. Mais essayer de raisonner quelqu’un qui refuse de voir au-delà de ses propres croyances? C’est peine perdue. C’est comme parler à un mur. Peu importe la logique ou la vérité que vous présentez, ils déformeront, détourneront ou rejetteront vos paroles, non pas parce que vous avez tort, mais parce qu’ils ne veulent pas voir un autre côté. La maturité n’est pas une question de savoir qui gagne une dispute — c’est de savoir quand une dispute ne vaut pas la peine d’avoir lieu, et surtout de savoir quel est notre véritable intérêt dans toute cette histoire de karma et de prophétie. Notre paix est plus précieuse que de prouver quelque chose à quelqu’un qui a déjà décidé qu’il ne changerait pas d’avis ni de nourriture. Toutes les batailles n’ont pas besoin d’être livrées. C’est pourquoi Rudolf Steiner et Alissa Zinovievna ne se fatiguent pas à convaincre qui que ce soit. Ils annoncent simplement ce qui va se passer si l’humanité ne change pas de direction.
Parfois, la chose la plus utile que nous puissions faire est de nous éloigner — non pas parce que nous sommes indifférents, mais parce que nous reconnaissons que certaines personnes ne sont pas prêtes à changer et que ce n’est pas notre fardeau à porter. Chacun fait comme il veut après tout. La nourriture de l’un est le poison pour l’autre. Mais il est utile de savoir d’où viennent les épidémies et les guerres médicales contre l’humanité; et se souvenir que toute énergie donnée correspond immanquablement à une énergie récupérée. Même si nous refusons de l’admettre, les lois de l’univers ne prennent absolument pas au sérieux nos opinions. Les réactions à nos actions sont inévitables et ce qui se passe sous nos yeux aujourd’hui dans les pays de l’OTAN, comme la France et le Québec, n’est rien d’autre qu’une réaction à nos actions présentes et passées. Il n’y a pas d’injustice et le hasard n’existe pas. Tout est amplement mérité, le bonheur comme le malheur. Le Dalaï-Lama connait avec précision les conséquences énergétiques qui suivent immanquablement l’assassinat délibéré des animaux dans le but de les manger; riche de ce savoir, il nous dit depuis des décennies de ne pas nuire aux espèces différentes de la nôtre : « Nous autres, êtres humains, sommes en mesure de nous passer de viande. En tant qu’êtres humains, je pense que notre nature profonde nous porte au végétarisme, ainsi qu’à faire tout notre possible pour éviter de nuire aux autres espèces. »
L’écrivain Romain Rolland (1866-1944) nous offre cette réflexion comme un cadeau : « La cruauté envers les animaux, et même déjà l’indifférence envers leur souffrance, est à mon avis l’un des péchés les plus lourds de l’humanité. Il est la base de la perversité humaine. Si l’homme crée tant de souffrance, quel droit a-t-il de se plaindre de ses propres souffrances? » Bien des gens pensent que c’est un cadeau de la vie de prendre conscience que la cruauté de tuer un animal pour le manger est l’un des péchés les plus lourds de l’humanité. Si quelqu’un te tend un cadeau et que tu ne l’acceptes pas, à qui appartient le cadeau? Il appartient à celui qui a essayé de le donner, c’est évident. Cela vaut-il aussi pour ces maudites prophéties? Cela vaut aussi pour toute sorte de choses, comme la colère, le dépit, l’aigreur, l’hostilité, la jalousie, l’envie, la peur, le doute, la frustration, les insultes, le cynisme, le sarcasme, la moquerie, l’indifférence face aux souffrances imposées aux animaux, etc. Lorsqu’elles ne sont pas acceptées, ces choses appartiennent à celui ou à celle qui les porte dans son cœur. C’est peut-être pareil pour les prophéties, qui sait?
Tolstoï avait ressenti un lien karmique très fort entre l’homme et l’animal :«De tuer les animaux à tuer les hommes, il n’y a qu’un pas, tout comme de faire souffrir les animaux à faire souffrir les hommes. » Les pendules du destin de la Terre peuvent être remises à l’heure du bonheur, de la paix, de l’abondance et de la sécurité en un temps record. Le seul prérequis est sans doute de le vouloir et de savoir comment opérer. Avec un minimum de volonté populaire et de lucidité, la transformation de notre conscience transformera le monde en un rien de temps. Tout peut s’améliorer, tout peut changer au mieux, car c’est la conscience humaine qui conditionne le comportement de tous les karmas et de toutes les prophéties. Rien n’est fatal. On vit à une époque où la plupart des physiciens découvrent l’empreinte de Dieu dans le monde quantique et où les preuves de la présence de l’Esprit créateur au-delà de la matière s’accumulent. L’évolution de l’humanité est donc réellement observée par un ordre supérieur divin.
Alors, entre le plaisir sanguinaire de nos papilles supposées omnivores et la sauvegarde de la civilisation, que déciderons-nous de choisir? Dieu seul le sait. Seule l’Âme Suprême connait le destin du monde. Son intelligence divine est infiniment patiente. Sa compassion détient l’éternité devant et derrière elle. Dieu n’est pas pressé. Il nous aime du même amour avec lequel il aime les animaux. Son immanence observe les actes de tous les êtres vivants, quels qu’ils soient, depuis le tréfonds des cœurs les plus endurcis. Dieu nous attend, nous les prétendus êtres humains. Ses serviteurs, les anges de la mort, attendent que nous lâchions nos couteaux de cuisine affûtés comme des rasoirs et que nous nous débarrassions de nos ignobles hachoirs à viande. L’Absolu ne nous a pas abandonnés. Il attend seulement qu’on se réveille de notre insensibilité ancestrale, qu’on s’éloigne de nos monstrueuses cruautés gastronomiques, de nos traditionnels gigots de porc ou d’agneau, de nos odieux foies gras, de nos salades de cervelles, de nos poulets rôtis, et quoi encore. L’Esprit créateur attend qu’on plonge nos yeux dans le regard terrifié du petit veau qu’on vient de séparer de sa mère pour l’emmener se faire égorger et débiter en morceaux. Dieu attend qu’on se tourne vers lui et qu’on lui parle, qu’on lui demande pardon pour la souffrance inhumaine que nous infligeons à ses créatures; alors, il nous fera un signe. Il transformera toutes les prophéties, adoucira tous les karmas. Il en a le pouvoir et il nous l’a promis.
Patrick Bernard, 8 juillet 2025.
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