Certitude ou fiction ? (18e partie)

En 2010, je publiais chez Québec-Livres un ouvrage intitulé Certitude ou fiction ? faisant allusion au phénomène ufologique. Ayant récupéré mes droits, j’ai accepté de le confier à Julie afin qu’elle en publie le contenu ici sous forme de chroniques.

J’ai révisé quelques passages, mais essentiellement tout ce qui est là demeure contemporain au niveau de ma pensée.

Après bientôt six décennies d’étude et d’enquêtes minutieuses auprès des faits rapportés par de nombreux témoins de différentes anomalies, je vous invite à découvrir le fascinant processus de réflexion qui amène les gens à prendre une position ferme sur tout sujet et particulièrement sur tout sujet qui… n’existe pas.

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Le 23 juin 1989, Betty Lucas et son mari Bob dorment dans leur roulotte, dans un bois quelque part au Connecticut. C’est la nuit et Betty s’éveille et se retrouve assise sur le bord de son lit avec le désir très fort de se rendre à l’extérieur. Son mari intervient et lui dit : « Il n’en est pas question, tu restes ici ». Betty se couche et s’endort non sans avoir entendu un bruit très fort à l’extérieur qui se révélera être l’éclatement d’un arbre. Voilà, c’est tout.

Betty, malgré les séances d’hypnose dont elle connaît tout le contenu depuis neuf ans, n’a aucune idée de ce qui a pu se passer cette nuit-là. Cependant, en inspectant l’arbre parfaitement sain et sachant qu’aucun orage n’avait prévalu, elle se demanda ce qui avait bien pu lui causer autant de dommages. Elle en fit part à Raymond Fowler. Intrigué, celui-ci crut reconnaître dans cette histoire un signe évident et demanda à Fred Max, l’hypnothérapeute dans toutes les sessions de l’affaire Andreasson, de fouiller cette histoire.

Dès le début de la session d’hypnose, Betty raconte qu’elle s’est réveillée pour être aussitôt tiraillée par le désir d’aller à l’extérieur ! Elle passa de longues minutes à tourner en rond dans la maison, changeant de pièce, tentant de se rendormir, mais peine perdue, elle finit par ouvrir la porte et sortir.

Son premier constat fut le silence absolu : pas de son d’insectes ou de grenouilles, de vent dans les arbres, rien, un silence total[1]. Puis, elle vit, dans le bois, une espèce de bulle bleue, de la taille d’une personne. Elle voulut s’enfuir, mais elle était paralysée, incapable de bouger. En moins de deux, elle se retrouva dans la bulle et s’éleva dans les airs, voyant très bien sa roulotte et les arbres sous ses pieds.

Cette bulle est étrange et ne revient pas souvent dans les récits conventionnels. Est-elle une teinte ou une transformation de son esprit d’un appareil moins sophistiqué ? Est-ce l’image qu’ils ont voulu lui implanter ?

Poursuivant son récit, Betty se retrouve brusquement, ou plutôt subitement, dans une pièce, sans aucune transition. Ce fait est remarquable et nous l’avons soulevé avec tous nos témoins et la grande majorité des autres cas rapportés dans le monde : les enlèvements ne font jamais état de la façon dont les gens entrent et sortent du vaisseau. Les dénigreurs qui ne cessent de répéter que les enlevés importent des images provenant de la littérature ou du cinéma devraient pourtant savoir que l’entrée et la sortie du vaisseau sont très faciles à imaginer. Qu’il s’agisse de Invaders From Mars, Star Trek, Close Encounters of the Third Kind, E.T. et tous les autres films de cette nature, l’entrée et la sortie du vaisseau sont spectaculaires, fort bien décrites et très stimulantes au cinéma. Après tout, le reste des récits des enlevés est beaucoup plus spectaculaire, pourquoi donc n’arriveraient-ils pas à se fabriquer une entrée colorée digne des meilleurs scénarios ?

Betty se retrouve alors dans une pièce étrange et la bulle qui l’entourait diminue de volume au point qu’elle devient une petite boule de lumière bleue qu’elle appellera plus tard une orbe.[2] Devant elle, un petit être, puis un second, dont la description correspond à celle typique des petits gris, mais dont les yeux semblent moins volumineux que dans d’autres rapports. Elle reçoit une communication qu’on juge d’ordre télépathique, l’enjoignant à se mettre à genoux.

Puis, on lui met un casque transparent sur la tête qui lui permet de mieux respirer.[3] Affligée d’un mal de tête persistant, Betty vit alors celui-ci se dissiper aussitôt. Un des êtres porte aussi le même casque et invite Betty à le suivre au travers d’une porte. L’être passe devant elle et il semble se transformer en gelée. Elle passe à son tour et a l’impression d’être entourée de jello[4]. Betty semble respirer cette gelée et a grand peine à définir ce qu’elle ressent[5].

Après quelques instants, elle ressent une lourdeur aux épaules, comme si elle était sous l’effet de la boisson. Elle les suit en marchant lentement puis on lui dit de se mettre à genoux de nouveau et on lui retire le casque. Elle se sent alors plus légère. Elle est alors dans une autre pièce. Elle peut voir des lumières briller sur le mur. C’est alors qu’elle revoit la petite boule bleue de la grosseur d’une orange et qui la suit. On la change de pièce, une autre fois, dans laquelle elle perçoit une odeur d’humidité. C’est une forêt, mais dont les arbres, les papillons, les insectes et même l’eau des mares semblent être faits de cristal.

Cette section du témoignage de Betty Andreasson a causé de multiples maux de tête aux ufologues concernés par les événements. Leur réaction est normale, mais il s’agit tout simplement de se rappeler que des êtres provenant de mondes inconnus ou d’autres dimensions et capables de produire une technologie à la frontière de l’énergie pure, sont sans doute en mesure de créer des endroits qui semblent sortir tout droit d’un conte de fées. Comme vous pouvez le constater, on est loin ici de la base de soucoupes volantes armées de canons lasers !

Ce n’est pas la première fois que Betty se retrouve dans cette forêt de cristal. Elle y est déjà venue en 1950, lors d’une des premières expériences avec les Visiteurs. Avant d’y pénétrer, elle doit porter des chaussures composées d’une matière transparente.

On comprendra plus tard que ces souliers ont un effet isolateur avec l’environnement très particulier de cette forêt de cristal. Qu’il soit su cependant que ce ne sont pas les êtres qui ont donné ce nom à l’emplacement, mais Betty, qui s’est fiée simplement sur son impression personnelle à l’effet qu’il s’agissait de cristal ! Lorsqu’elle touche à quelque chose, que ce soit une fleur ou un insecte, il perd aussitôt sa consistance de cristal, s’anime et après quelques secondes redevient ce qu’il était. À la lecture de ce récit, nous comprenons parfaitement la résistance que certains peuvent avoir. Il n’est pas aisé de comprendre ou de croire que des êtres, si évolués soient-ils, fabriquent, et pour quels desseins, une forêt de cristal. Betty raconte alors qu’elle entendit un bruit sourd, très fort et se mit à courir.

Mal lui en pris, elle perdit un soulier et tomba dans l’eau. C’est à ce moment qu’elle affirme avoir entendu le petit être lui avoir dit de courir et c’est en tombant dans un étang, dont l’eau cristallisée reprit sa forme naturelle, qu’elle vit également des bandes de lumière s’allumer de partout.

Des êtres s’approchent et la tirent de là. On lui dit : The One s’est déplacé pour ouvrir la Grande Porte ! On place alors Betty dans une bulle transparente, on lui remet son soulier et elle en descend pendant que des êtres plus grands et purement lumineux, semblent s’activer autour de l’étang afin de le réparer ! Agenouillée sur le sol, tout ce qu’elle touche reprend sa couleur naturelle.  Elle est éberluée.

C’est alors que d’un tunnel, apparaît une grande bulle de verre. Elle y est installée et circule maintenant à bord de cette sphère dans le tunnel. Elle flotte à l’intérieur de cette bulle et elle a, à ses côtés, de façon constante, la curieuse bulle bleue de la grosseur d’une orange. Plus tard, elle comprendra que cette bulle est une orbe, qu’elle est animée de sa propre intelligence et qu’elle est une forme d’archives, pouvant avoir la taille d’un atome ou devenir très large. Elle va jusqu’à dire qu’elles sont intelligentes au même titre que la Terre, les étoiles et les planètes. Elle descend de la sphère et est accueillie par deux petits Gris. Ils lui confirment que les orbes recueillent la connaissance et nous suivent constamment, bien qu’elles soient invisibles à nos yeux.

Les êtres l’invitent maintenant à les suivre. Un se place derrière elle et l’autre devant. Ils se dirigent vers un vaisseau plus conventionnel. À ce moment de l’histoire, l’auteur Raymond Fowler relate qu’en 1950, Betty avait laissé sous-entendre que cette forêt de cristal pouvait avoir été aménagée sous terre. Le récit reprend plus loin et cette fois, Betty Andreasson se dirige dans l’espace vers un vaisseau mère.

Elle est dans une bulle, soutient-elle, et c’est derrière cet endroit vitré qu’elle observe l’immense vaisseau devant elle. Cette fois, elle est bien dans l’espace puisque les étoiles sont parfaitement visibles.

L’objet est en forme de tube avec trois anneaux aux deux extrémités et qui tournent dans le sens des aiguilles d’une montre et un autre au centre qui tourne dans le sens contraire. À l’avant du vaisseau, elle distingue clairement un espace vitré à l’intérieur duquel se trouvent des étages superposés sur lesquels elle remarque des orifices. À sa grande stupéfaction, elle constate qu’il s’agit en réalité de ponts servant à recevoir de plus petits vaisseaux.

À un moment, le gigantesque tube émet des torrents de fumée brumeuse par de plus petits orifices. Il s’agit là d’un détail fort important, puisque la propulsion magnétohydrodynamique[6] explique fort bien ce phénomène. On notera aussi que les trois anneaux sont rétractables et disparaissent presque entièrement dans la structure du vaisseau.

Betty verra alors trois différents types d’êtres extraterrestres : les petits Gris, de grands blonds vêtus de robes serrées à la taille et d’autres comme eux, mais qui semblent être beaucoup plus vieux, voire extrêmement âgés. Elle ne verra ceux-ci que quelques instants. Ils seront escortés dans une autre pièce et elle ne les reverra plus jamais. Puisqu’elle apprendra plus tard que ces êtres sont sans âge, on se demande ce qu’ils sont.

Une des plus étonnantes révélations de Betty Andreasson est le fait qu’elle ait été témoin d’une opération pratiquée sur les Gris, au niveau des yeux. On retire leurs orbites pour les remplacer par d’autres, cultivées, semblent-ils, sur d’étranges créatures préservées dans des endroits difficiles à décrire. Ces créatures sont ensuite emmenées en laboratoire, où leurs yeux sont enlevés. Tout comme certains de nos animaux invertébrés qui voient leurs membres repousser après ablation, il en de même pour les yeux de ces créatures. De plus, elle aurait appris que les petits Gris sont au service des Eldersou des Anciens qui sont les blonds dont on a déjà discuté.

Ce sont eux d’ailleurs qui vont remettre les nouveaux yeux en place au cours d’une opération complète, qui relève de la chirurgie à la fois physique et psychique. Après l’opération, il semble que les Gris soient soumis à un test de vérification.

Betty est par la suite conduite dans une pièce remarquable par ses détails. Dans un premier temps, elle entend une musique qui lui rappelle un xylophone. Puis, elle voit un cylindre transparent en angle sur le mur, au travers duquel elle voit des boules de diverses dimensions, monter et descendre le long du tube. Un peu plus à gauche, un être est occupé avec un contenant suspendu dans lequel se trouvent des objets de forme pyramidale et desquels s’échappent des lumières lorsque l’être y passe ses mains. Ces lumières vont ensuite dans un bassin un peu plus bas dans lequel se trouve un liquide de nature indéfini. Au centre, elle voit dans une fenêtre triangulaire, un mystérieux objet fait de cristal sous lequel il semble y avoir des signes d’écritures inconnues. C’est alors que l’être attend quelques instants, puis prend les lumières du bassin et glisse ces dernières quelque part dans sa robe.

Par la suite, Betty est conduite dans une très grande salle. Au début, elle voit une immense boule entourée de cercles. Elle remarque une fois de plus la présence d’un cylindre identique à celui observé dans la pièce précédente. Les cercles se referment et la boule devient un écran tridimensionnel qui diffuse des images de Betty lorsqu’elle était très jeune. Elle reconnaît la scène au cours de laquelle une commotion s’est emparée de la salle alors que le prêcheur s’était mis à parler en langues. Betty, toute jeune, venait de faire un acte de foi quelconque. L’écran la montre debout avec, flottant au-dessus de la salle, un des êtres blonds et un second être directement placé derrière le révérend. Pour Betty Andreasson, revoir cette vision sous hypnose est un choc terrible. Elle venait de prendre conscience que sa religion, sa foi, les rituels de son Église n’étaient peut-être qu’une forme d’intervention de ces entités. Aussi remarquables puissent-ils être, leur présence et leur intervention faisant parler le révérend en langues étaient choquantes à ses yeux.

Tout cela semble indiquer que les anges, les miracles, les guérisons spirituelles et plusieurs autres phénomènes récupérés par la Foi religieuse ont des origines plus près d’une réalité métaphysique, extra-dimensionnelle, supra-humaine et extraterrestre, que divines au sens traditionnel du terme. Ceci n’atteint nullement la Foi qu’on peut avoir en Dieu ou en un Dieu Suprême, cela replace simplement la hiérarchie de ces interventions dites divinesà un niveau moins élevé que prévu, lorsqu’il est question de se révéler aux Terriens.

Au cours d’une conférence du CEIPI sur ce sujet, certains membres de l’assistance bien informés sur cette question des langues, ont affirmé que lorsque les participants d’une cérémonie de ce genre se mettent à parler en langues, ils semblent être sous le contrôle d’une force quelconque, ne se possèdent plus et parlent dans un langage entièrement inconnu sur Terre. Un autre ajoutait même : « Selon la croyance, parler en langues est une façon directe d’être en communication avec Dieu.[7] »Dieu ou The One ?

La retransmission de cet incroyable événement terminée, Betty voit les trois êtres se réunir et joindre leurs paumes de mains. À ce moment précis, un jet de lumière surgit de leur front et forme un triangle. Au centre, surgit un cercle de lumière. Puis, deux autres êtres viennent rejoindre les trois premiers et c’est alors que s’est formée une image lumineuse et qui n’est rien d’autre que la célèbre Étoile de David, symbole de la religion juive entre autres.[8]

Après quelques instants, alors que les êtres entonnent ce que certains vont appeler un mantra, ils lèvent les mains et brisent le cercle. De leurs mains surgissent des jets de lumière. Ils ont ainsi fabriqué une boule lumineuse qu’ils présentent à Betty.

D’autres régressions ultérieures vont nous apprendre que sa fille Becky est également enlevée sur une base régulière, depuis très longtemps. Elle aura l’occasion de la voir en train d’étudier des signes et des symboles avec une grande attention, comme un élève peut le faire avec ses travaux scolaires, une tâche effectuée également par Jim Sparks durant de nombreuses années. Un survol de l’ensemble de ses expériences démontre qu’elle aussi, plus jeune, aura subi des expériences chirurgicales douloureuses. À sa question « Qui êtes-vous ? »,ils répondront qu’ils sont les gardiens de l’humanité, depuis les tous débuts.

Toujours dans l’affaire Andreasson, un élément plutôt curieux a attiré notre attention. À deux reprises, alors qu’elle était toute petite et beaucoup plus tard à l’âge adulte, elle sera obligée par les visiteurs de porter des souliers faits de matière inconnue à ses yeux, mais transparents et qui lui permettront de circuler dans certains secteurs du vaisseau. Une enlevée du nom de Brenda racontera au journaliste C.D.B. Bryan exactement la même version[9]. Ces souliers transparents se sont attachés à ses pieds et ce détail, lors de sa régression, lui a fait douter elle-même de la réalité de son expérience. C’est en prenant connaissance du récit de Andreasson qu’elle s’écroulera en larmes, visiblement choquée par la similarité des deux événements.

Une autre enlevée, une jeune femme du Kansas, raconte elle aussi avoir vécu une expérience similaire. Elle s’est retrouvée dans un milieu affolant et entourée par diverses créatures. Afin de pouvoir circuler plus aisément, on lui fait porter des souliers transparents. Plus tard, dans un film relatant son aventure, on fera porter à cette Dorothy du Kansas, des souliers de cristal rouges et non clairs.

Effectivement, cette histoire de souliers transparents a évoqué un souvenir d’enfance chez nous et vous avez compris que cette femme du Kansas, Dorothy, n’est pas une enlevée suivie par le docteur Mack ou Raymond Fowler, mais le personnage principal du Magicien d’Oz. Ce qui soulève une hypothèse intéressante : les enlevés s’inspirent de récits provenant de ces auteurs ou alors…

L’auteur, Lyman Frank Baum, est né en 1856 et fut toujours attiré par les récits fantastiques tout comme Lewis Caroll, l’auteur des Aventures de Alice au pays des Merveilles et James Barrie, le créateur de Peter Pan. Tous ces écrivains nous viennent de la fin du 19e siècle et décrivent un univers fantastique qui n’est pas sans rappeler certains récits des enlevés modernes. Cette histoire de souliers transparents de l’un, la créature blanche de l’autre, des enfants enlevés durant la nuit dans le cas de Barrie, nous font demander simplement si, d’aventure, ces auteurs n’ont pas été inspirés inconsciemment par le souvenir teinté de leurs propres expériences.

La question se pose également pour Whitley Strieber, lui-même auteur de romans de science-fiction et qui longtemps après ses propres expériences, a reconnu que toute sa vie d’écrivain n’aura été qu’une façon de transiger avec ces événements et de les exorciser sans jamais comprendre d’où lui venaient ces images. Jusqu’à ce qu’il soit placé, malgré lui, face à la réalité ! En bref, contrairement aux dénigreurs qui tentent constamment d’affirmer que les récits d’anomalies s’inspirent des récits de fiction, nous affirmons que c’est plutôt le contraire qui est tout à fait concevable et que les récits de fiction s’inspirent des récits d’anomalies, voire d’authentiques expériences qu’auraient vécues ces auteurs, consciemment ou inconsciemment.

La suite au prochain numéro …

[1] Nous avons enquêté sur quelques cas faisant allusion à cet effet secondaire de la présence d’un ovni. Nous lui avons donné le nom d’effet de cloche. L’auteur Jenny Randles parle de Facteur d’Oz.

[2] Il existe de très nombreux dossiers faisant allusion à la présence de ces orbes dans la chambre du sujet avant ou après un enlèvement.

[3] Travis Walton a également rapporté que l’humanoïde qui le surpris dans le vaisseau était équipé d’un masque ou casque transparent.

[4] Un cas spécifique provenant de nos dossiers fait allusion à cette même gelée. (18)

[5] Comme vous le verrez plus tard avec Jean-Luc, ce cas n’est pas unique.

[6] Les effets sur papier de ce type de propulsion encore à l’examen sont considérés par plusieurs comme très ressemblants à ceux produits par les ovnis.

[7] Le terme exact pour définir ce phénomène est la glossolalie.

[8] Ce symbole serait d’origine plus ancienne, hindoue notamment ; il a par la suite été utilisé par de nombreux cultes. L’hexagramme de Pascal, d’autre part, est une figure mathématique, un théorème qualifié de mystique par Blaise Pascal.

[9] C.D.B. Bryan fait l’objet d’un rapport plus complet plus loin dans cet ouvrage.

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