Étiologie de la souffrance humaine
En médecine, l’étiologie est l’étude des causes et des facteurs d’une maladie. Ce terme est aussi utilisé dans le domaine de la psychiatrie et de la psychologie pour l’étude des causes des maladies mentales. L’étiologie de la souffrance humaine est par conséquent l’étude des causes de la douleur des êtres humains. Selon les sages de tous les temps et de tous les temples, il existe apparemment un élément de réponse aux grandes questions existentielles : « Pourquoi l’humanité souffre-t-elle? La douleur de ce monde constitué de matière a-t-elle vraiment un sens? » D’après ce que j’ai entendu dire, la réponse serait en lien avec une onde d’énergie spécifique qui porte le nom générique d’énergie illusoire, ou énergie « Maya » pour les sanscritistes, ou encore énergie « Satan » pour les occultistes. Maya et Satan représentent une même et seule entité. Maya (ce qui est trompeur) et Satan (ce qui est menteur) ont le même rôle, détiennent la même fonction cosmique et émanent de la même source : Dieu-Un, Source de toutes les sources, Cause de toutes les causes, Personnification Suprême des multiples aspects d’un infini réalisme divin.
Essayons de trouver une image qui symboliserait le travail hostile et déplaisant rendu par la fréquence Maya-Satan, une force quasi insurmontable représentant l’individualisation de cette énergie d’illusion qui émane de Dieu. La tâche pénible de Maya-Satan est de garder les âmes rebelles prisonnières des douleurs de l’illusion et de les enfermer dans les pénitenciers multidimensionnels des mondes de maladie, de vieillesse et de mort. Dans notre image symbolique, les âmes rebelles représentent les particules atomiques divines qui font mauvais usage de l’infime liberté qui leur est accordée de toute éternité. Nous allons les appeler « les chèvres ».
Quand, dans ma jeunesse, je gardais le petit troupeau de chèvres qui appartenait à la communauté au sein de laquelle je vivais en Ardèche, j’avais un chien que j’appelais tout simplement « LeChien ». Je l’aimais bien et je crois qu’il me le rendait bien aussi. On s’entendait bien tous les deux. J’avais la tête dans les étoiles et lui était borgne et sourd. Malgré cela, mon cher LeChien répondait très vite aux signes que je lui faisais avec mon bâton. Son rôle était de ramener dans le champ les chèvres qui s’égaraient hors des limites permises quand elles allaient manger les fleurs et saccager les plantations des voisins. Dès que j’apercevais une de mes chèvres prendre le large, je lui montrais la direction et mon LeChien filait comme une flèche en aboyant le plus fort qu’il pouvait. Les chèvres récalcitrantes, mordillées aux pattes par Lechien, revenaient bien vite rejoindre paisiblement le troupeau et tout rentrait dans l’ordre. C’est un principe que tous les bergers connaissent : dès que les chèvres transgressent les règles des champs qui leur sont allouées, on leur envoie « LeChien ». Si elles brisent les règles, elles se font mordre. Si elles les suivent, tout va bien.
C’est exactement ce qui se passe avec la fréquence Maya-Satan, l’énergie d’illusion du Berger Suprême. Quand les sociétés humaines transgressent les lois de la vie et de la nature régies par l’Ordre supérieur de l’Intelligence universelle, il leur arrive ce qui est réservé aux chèvres : on se fait mordre par le chien satanique de Maya. Nul n’y échappe, à court, moyen ou long terme. Les menaces et les grands tourments commencent dès qu’une civilisation brise les principes universels de l’existence.
Le champ de l’humanité est limité par quatre côtés : la compassion, la pureté, la véracité et la conscience. Ce sont des principes qui correspondent à une règle d’or atemporelle : ne pas faire aux autres ce qu’on ne voudrait pas que les autres nous fassent. Si nous nous égarons dans des champs d’activités inhumaines et sous-animales, c’est-à-dire des actes qui ne correspondent pas à la fonction sidérale de la forme humaine, nous nous faisons automatiquement mordre par les lois divines du cosmos, qui nous envoient « LeChien » du diable. Ces actes inhumains peuvent ressembler à l’exploitation cruelle des êtres vivants, l’horreur du trafic d’enfants à des fins inavouables, la traite de jeunes gens, les crimes contre l’humanité, le viol, le vol, la torture, la pédophilie, les dépendances de toutes sortes, la convoitise, le crime, le mensonge, y compris mentir par omission, la perfidie et que sais-je encore. La puissance de ce « chien » est incalculable. C’est le Gardien aphrodite des anciennes mythologies, le Sphinx. Le chien est là pour nous redresser, pour nous aider à reprendre conscience de la réalité pour qu’on se souvienne de notre véritable intérêt, pour nous ramener dans l’action juste et dans la direction du noble chemin. Si la douceur de vivre n’a pas eu l’effet escompté sur les sociétés humaines, alors c’est le choc brutal des lois strictes de l’existence qui entre en action.
Pour les régisseurs du cosmos, tous les moyens sont bons pour éveiller les populations perdues dans l’illusion. L’humanité se fait alors mordre par des guerres, des épidémies, des catastrophes naturelles (ou provoquées par des armes à énergie dirigée). Les régimes deviennent totalitaires, dictatoriaux, sans pitié; les populations perdent alors toute liberté de pensée, se retrouvent confinées par des lois psychosociales absurdes, perdent tout espoir de justice, se font dérober leur épargne par des systèmes bancaires frauduleux, subissent toutes sortes de violences urbaines et d’agressions gouvernementales, se font pourchasser, tuer ou enfermer par des milices policières armées jusqu’aux dents à la solde d’associations de malfaiteurs déguisées en partis politiques. Elles se font laver le cerveau par les impostures télévisées de cartels médiatiques devenus de cyniques chambres d’écho de propagandes électorales, se font empoissonner par des trainées chimiques génocidaires que des avions non balisés pulvérisent sur leur tête. Et, comme si tout cela ne suffisait pas, les gens sont finalement psychiquement anesthésiés au point d’accepter de se faire injecter des armes géniques de dépopulation sous forme de faux vaccins. Le chien de l’illusion devient d’une sauvagerie inimaginable quand tout un peuple se perd dans ses plus bas instincts. La réaction est violente et le réveil peut être brutal. Le chien de Maya-Satan possède une mâchoire ultra-puissante, mais sa force ne vient pas de lui : ce molosse est au service de Dieu, le Tout-Puissant, le Berger Nucléaire qui désire que Ses huit milliards de Terriens turbulents qui détruisent leur planète finissent par se calmer et prennent enfin conscience de leur véritable souveraineté divine. La malédiction se tourne alors en bénédiction.
Le chien de l’illusion cosmique est un chien diabolique et redoutable. Son regard est froid et impersonnel. Il mord profondément et ne fait pas de quartier. Sa cruauté est atomique. Rappelons-nous que, lorsqu’il nous attaque, il le fait en étant au service de la vertu et de la volonté divine. Les démons qui font souffrir l’humanité sont tous au service de l’Être. Pas un seul d’entre eux n’est complètement indépendant de Dieu. La puissance du mal n’est pas totalement séparée de la puissance du bien. En essence, rien n’est réellement séparé. Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut. Tout est lié hermétiquement, interconnecté magiquement. Les grandes douleurs de la magie noire des ténèbres sont censées nous ramener vers les belles douceurs de la magie blanche de la lumière. L’illusion de la matrice est une simulation humiliante pour l’âme du genre humain quand elle se vautre dans toutes sortes de perversions invraisemblables. La simulation est un sortilège maléfique qui doit être brisé à tout prix. Mais à quel prix mon Dieu! La matrice est aussi dure que l’acier, mais aussi fine qu’une toile d’araignée. Comme le chien qui garde les chèvres est au service de l’ordre naturel du monde des chèvres, le chien de Satan travaille pour rétablir l’équilibre instable des mondes manifestés. Sa tâche est ingrate. Quand il nous mord, il le fait parce qu’il en a reçu l’ordre, et il le fait par amour, par respect et pour l’amour infini des Décrets Immortels de l’Absolu Souverain. Lorsque les membres d’une société font un très mauvais usage de leur libre arbitre en allant folâtrer là où il ne faut pas, dans les champs d’adrénochrome de Belzébuth, ce démon buveur de sang et prince couronné de l’Enfer que les Philistins anciens adoraient sous le nom de « Baal-Zebub », c’est alors que le chien de Maya attaque. Sa charge est inarrêtable, dévastatrice et irréfutable. Dans le ciel, rien ne reste impuni.
Tout y est écrit en lettres de sang, d’os, de rouille et de feu. Chaque pensée négative, acte et désir malsain est noté, tout est détaillé avec une précision chirurgicale. Directement ou indirectement, les maîtres du destin archangélique reçoivent alors l’ordre de nous envoyer toutes sortes de catastrophes sous forme de cancers, d’accidents, d’infections, d’inondations, de tsunamis, de feux de forêt, de tremblements de terre, de tornades et de typhons. Les volcans endormis depuis des siècles se réveillent pour nous prévenir que quelque chose ne tourne pas rond dans notre art de vivre et que nous devons revenir dans le droit chemin toute affaire cessante. Il est écrit dans quelques grimoires sacrés qu’il y aura « des cris et des grincements de dents » si, par indifférence ou ignorance, nous persistons à violer les règles de la vie divine.
Nous avons été prévenus depuis dix mille ans. Satan peut très bien se cacher sous l’aspect d’un essaim de robots tueurs indestructibles, animé par un organisme synthétique globalisé, et dirigé par une superintelligence artificielle généralisée, étant cent milliards de fois plus efficace et plus rapide que notre petit cerveau humain. La singularité de Belzébuth peut frapper à tout instant et on lui ouvrira la porte en pensant bien faire. Nous créons nous-mêmes nos prodigieuses rédemptions scientifiques. Nous créons nos propres bombes à neutrons, nos fluors, nos glyphosates, nos Wi-Fi, nos tétrachlore de benzène, nos vaccins à ARMm saturés de graphène, nos COVID19, nos antennes 5G, nos nanoparticules d’aluminium, nos chemtrails, nos HAARPs (High Frequency Active Auroral Research Program), autant d’inventions formidablement haineuses sous couvert de progrès, mais dont une des fonctions réelles reste la destruction systématique de la glande pinéale des humains, le seul organe qui tente encore de nous relier aux mondes psychiques. L’agenda 2030 du diable est doté d’un acharnement sans merci où le droit international est foulé aux pieds, anéanti, aboli. Tout ce que nous faisons, ou que nous laissons faire, nous est rétribué au centuple. J’ai entendu dire qu’il s’agit là d’une des grandes lois de l’espace.
Les morsures de Maya-Belzébuth sont censées provoquer une prise de conscience, un éveil spirituel, une élévation des mentalités. Et le repentir mène au pardon, à la guérison, à la purification. Une fois la leçon de vie apprise, l’examen passé avec succès, une fois que nous, les humanoïdes terriens, comprenons la fonction de nos plus grandes souffrances et la nature de nos angoisses, nous avons l’occasion de rétablir notre santé spirituelle. À force de souffrir, notre bête intérieure est censée devenir plus humaine, plus charitable. On arrête de s’entredéchirer les uns les autres. On fait la paix entre voisins. On enterre la hache de guerre des vieux conflits familiaux. Alors, le molosse de l’illusion arrête net de nous mordre, car il a rempli sa mission. La paix revient sur la Terre, la guerre est finie, l’harmonie se manifeste à nouveau et tout rentre graduellement dans l’ordre. Le cerbère de la souffrance humaine cesse de nous tourmenter. Les choses s’arrangent. Nous guérissons. La joie de vivre reprend le pas sur la morosité. La nature reprend ses droits. L’amour remplace la peur pour un temps. Il y a rémission. Mais la vigilance doit être de tous les instants : les morsures astrologiques et astronomiques des destins karmiques pourraient réapparaître et s’amplifier de plus en plus si l’humain persiste dans ses erreurs et recommence à ne pas vouloir revenir dans le champ de la lumière du cœur de Dieu. Ainsi défile de millénaire en millénaire l’histoire chaotique des civilisations au sein des systèmes planétaires.
Le sens de l’existence est fort simple, rien n’est compliqué dans l’univers. Tant que les populations sortiront des limites régies par les lois de l’amour, l’esprit satanique de Maya viendra nous faire souffrir afin que nous comprenions qu’il est temps d’arrêter de faire ce qui fait du mal et qu’il serait bon de commencer à faire ce qui fait du bien. Les lois divines sont universelles et doivent être respectées. On n’y peut rien, c’est comme ça. On voudrait bien faire autrement parfois, j’en conviens, mais c’est comme ça que les choses semblent fonctionner dans la manifestation cosmique. Et si c’était juste une simple idéologie de plus, on pourrait s’en passer, mais non, c’est du gros bon sens. Si on empoisonne son propre environnement, on meurt empoisonné.
Jadis, un grand maître du cœur a tout synthétisé en une phrase symbolique célèbre : tu ne tueras pas, tu ne feras pas aux autres ce que tu ne veux pas que les autres te fassent. Tout est là. C’est très simple. Si tu ne veux pas être mangé par la vie, ne tue pas la vie. Si tu ne veux pas être volé par la vie, ne la vole pas. Si tu ne veux pas être trahi par la vie, ne la trahis pas. Si tu ne veux pas être souillé par l’existence, ne la souille pas. Si tu ne veux pas être brutalisé par les autres, ne les brutalise pas, ne les insulte pas si tu ne veux pas être insulté, ne les hais pas si tu ne veux pas être haï. Ne les assassine pas si tu ne veux pas être abattu, etc. Si tu veux être aimé, aime. Si tu veux être aidé, aide. « Aimer, c’est tout donner et se donner soi-même », disait notre grande sœur, Thérèse de Lisieux. Tout est là. Ce n’est pas un sermon sur une montagne, c’est juste mathématique.
En tant que civilisation, nous sommes arrivés à un point de rupture. Le choix est là devant nous. Nous n’avons plus rien à perdre. On dit souvent : « Mais on ne peut rien faire pour changer tout ça! » C’est vrai sur un plan externe, mais c’est faux au niveau interne. Chaque petite pensée d’amour sincère a la puissance vibratoire d’éliminer des milliers de pensées criminelles. Chaque pensée de charité, chaque prière spontanée, chaque petit geste de dévotion, même les plus simples, chaque larme d’affection versée, chaque sympathie offerte sans rien attendre en retour, toutes ces fréquences se transfigurent soudain en un geste divin pour dire au chien du diable : « Ok, c’est bon, j’ai compris une bonne partie de ton affaire, j’arrête de faire le guignol, je rentre paisiblement en esprit dans les jardins abondants de ma Mère Divine et de mon Père éternel, entouré de tous mes amis les êtres de lumière. Je suis fatigué d’avoir mal, de vieillir, de tomber malade et de mourir. Je suis malade d’être cruel, je veux être gentil, doux de cœur, compatissant, généreux. Je suis épuisé d’être avare, de me mettre en colère et de me sentir frustré. Je suis fatigué d’être si susceptible et d’être encore égoïste à ce point. Je suis écœuré de vouloir que tout se plie à mes désirs. Je suis désolé de dire des grossièretés. Pardonne-moi s’il te plait. Je suis exténué de me sentir jaloux quand les autres remportent du succès et je suis accablé de me réjouir quand le malheur les frappe. Je n’en peux plus d’être envieux des autres et de Dieu. I can’t take it anymore. Je veux retrouver ma paix intérieure, le calme de mon esprit, mon immortalité primordiale, ma sérénité, mon extase, ma béatitude première.
En suivant les pas de sœur Sainte Claire, la compagne mystique de François, « Je ne veux plus être compris, je veux comprendre; je ne veux plus être aimé, je veux aimer ». Je ne veux plus être servi, je veux servir. Je ne veux plus prendre, je veux donner. Alors, sans doute, ce faisant, le soleil intérieur se lève, le cœur humain redevient d’un coup cohérent et conséquent, et les chiens de Dieu arrêtent de nous courir derrière pour nous mordre les pattes. Ils y sont forcés! En effet, eux aussi sont en laisse avec le divin, en lien avec l’Esprit du cosmos. Eux aussi sont des serviteurs de l’éternité. Et si c’était vrai?
Prahladji Patrick Bernard, 7 août 2025
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