Quelques citations de Neale Donald Walsch

Merci aux Éditions Ariane de nous permettre de vous partager la sagesse provenant de La trilogie des Conversations avec Dieu.

« Chaque personne et chaque chose sur la planète, et dans l’univers, émettent de l’énergie dans toutes les directions. Cette énergie se mélange à toutes les autres, qui s’entrecroisent pour former des motifs d’une complexité qui dépasse la capacité d’analyse de vos ordinateurs les plus puissants. Les énergies qui s’entrecroisent, s’entremêlent, se tissent et filent entre tout ce que tu qualifies de physique retiennent ensemble ce qui est physique. C’est la Matrice dont j’ai déjà parlé. »

« C’est dans cette Matrice que vous vous envoyez des signaux mutuels : messages, significations, guérisons et autres effets physiques, parfois créés par des individus, mais surtout par la conscience de masse. Comme je l’ai expliqué, ces incalculables énergies sont attirées l’une vers l’autre. C’est ce qu’on appelle la loi d’Attraction. Selon cette loi, le semblable attire le semblable. Les pensées semblables attirent les pensées semblables dans la Matrice, et lorsqu’un nombre suffisant de ces énergies semblables « s’agglutinent », pour ainsi dire, leurs vibrations s’alourdissent, ralentissent, et certaines deviennent matière. Les pensées créent vraiment une forme physique. Si un grand nombre de gens pensent à la même chose, il est fort probable que leurs pensées formeront une réalité. C’est ce qui fait la force de l’affirmation « Nous prierons pour vous ». Sur l’efficacité de la prière unifiée, il y a assez de témoignages pour remplir un livre. »

« Il est vrai, également, que les pensées impies sont susceptibles de créer des « effets ». Par exemple, une conscience mondiale de peur, de colère, de perte ou d’insuffisance peut créer cette expérience, partout sur le globe ou dans un lieu donné où ces idées collectives sont les plus fortes. »

« Autre exemple, le pays terrestre que vous nommez les États-Unis a longtemps cru qu’il était « soumis à Dieu, indivisible, avec la liberté et la justice pour tous ». Ce n’est pas un hasard si ce pays est devenu le plus prospère de la planète. Il n’est pas étonnant non plus qu’il soit graduellement en train de perdre tout ce qu’il a mis tant de travail à créer, car il semble avoir perdu sa vision. »

« Les termes « soumis à Dieu, indivisible » signifiaient exactement cela. Ils exprimaient la Vérité universelle de l’Unité, le Un, une Matrice très difficile à détruire. Mais la Matrice s’est affaiblie. La liberté religieuse est devenue la rectitude religieuse, laquelle frise l’intolérance religieuse. La liberté individuelle a presque disparu en même temps que la responsabilité individuelle. On a déformé la notion de responsabilité individuelle au point d’en faire un « chacun pour soi ». C’est la nouvelle philosophie qui prétend revenir à la tradition d’individualisme rude qui prévalait autrefois en Amérique. »

« Mais le sens original de responsabilité individuelle sur lequel étaient fondés la vision américaine et le rêve américain a trouvé sa plus profonde signification et son expression la plus élevée dans le concept d’Amour fraternel. Ce qui faisait la grandeur de l’Amérique, ce n’était pas que chaque personne se battait pour sa propre survie, mais que chaque personne acceptait d’être personnellement responsable de la survie de tous. L’Amérique était un pays qui ne se détournait pas des affamés et ne disait jamais non à ses nécessiteux. Elle ouvrait ses bras aux faibles et aux sans-abri, et partageait son abondance avec le monde. Mais à mesure que l’Amérique grandissait, les Américains devenaient cupides. Pas tous, mais beaucoup. Et de plus en plus avec le temps. »

« À mesure que les Américains virent à quel point il était possible de posséder, ils cherchèrent à posséder encore davantage. Mais il n’y avait qu’une façon d’avoir de plus en plus, et encore plus. Il fallait que quelqu’un d’autre en ait de moins en moins, et encore moins. À mesure que la cupidité remplaçait la grandeur dans le caractère américain, il y eut moins de place pour la compassion envers les moins nantis. On a dit aux moins fortunés que c’était « leur faute » s’ils n’avaient pas davantage. Après tout, l’Amérique n’était-elle pas la Terre de la nouvelle chance ? Personne, sauf les moins fortunés, ne pouvait admettre que les chances, en Amérique, étaient limitées, sur le plan institutionnel, à ceux qui étaient déjà les mieux placés. En général, cela excluait de nombreuses minorités, comme les gens de telle couleur de peau ou de tel sexe. »

« Les Américains devinrent également arrogants à l’échelle internationale. Tandis que, sur la planète, des millions de gens mouraient de faim, les Américains jetaient chaque jour assez de nourriture pour nourrir des pays entiers. L’Amérique était généreuse envers certains, mais sa politique étrangère devint de plus en plus une extension de ses propres intérêts acquis. L’Amérique aidait les autres lorsque cela faisait son affaire, c’est-à-dire lorsque cela servait la structure du pouvoir en Amérique, l’élite la plus riche, ou la machine militaire qui protégeait cette élite et ses actifs collectifs. »

«  L’idéal fondateur de l’Amérique, l’Amour fraternel, s’est érodé. À présent, chaque fois qu’on parle d’être « le gardien de son frère », on se fait répondre par une nouvelle sorte d’américanité, soit un esprit cinglant sur la nécessité de s’accrocher à tout prix à ce qu’on a, et des paroles cinglantes envers quiconque, parmi les moins fortunés, oserait demander sa juste part ou un redressement de ses torts. »

« Chaque personne doit indéniablement assumer sa propre responsabilité. Mais l’Amérique, et ton monde, ne pourront vraiment fonctionner que si chacun accepte de se rendre responsable de tous en tant que collectif. »

« La Matrice se retire en elle-même, exactement comme vos scientifiques décrivent le soi-disant phénomène des trous noirs. Elle attire l’énergie semblable à de l’énergie semblable, attirant même les objets physiques les uns vers les autres. Ces objets doivent alors se repousser mutuellement, s’éloigner pour ne pas fusionner à jamais et perdre leur forme actuelle pour en adopter une autre. Comme tous les êtres de conscience savent inconsciemment cela, ils s’écartent de la Fusion permanente afin de maintenir leur relation avec tous les autres êtres. À défaut de le faire, ils fusionneraient dans tous les autres êtres et feraient l’expérience du Un éternel. »

« Voilà l’état d’où nous venons. Puisque nous nous sommes écartés de cet état, nous y sommes constamment attirés à nouveau. Ce flux et ce reflux, ce va-et-vient est le rythme fondamental de l’univers et de tout ce qu’il renferme. C’est la synergie de l’Échange énergétique. »

« Vous êtes constamment attirés, poussés vers l’union les uns avec les autres et avec tout ce qui se trouve dans la Matrice. Puis, au moment d’Unité, vous choisissez consciemment de vous éloigner de cette Unité. Vous choisissez de rester libres afin de pouvoir en faire l’expérience. Car, lorsque vous fusionnez avec l’Unité et que vous y restez, vous ne pouvez la connaître en tant qu’Unité, puisque vous ne connaissez plus la Séparation. Autrement dit, pour que Dieu se connaisse en tant que Tout, il doit se connaître en tant que non-Tout. En toi, et en chaque autre unité énergétique de l’univers, Dieu se connaît en tant que parties de Tout, et ainsi se donne la possibilité de se connaître en tant que Totalité dans sa propre expérience. »

« Je ne peux faire l’expérience de ce que Je Suis qu’en faisant l’expérience de ce que Je ne suis pas. Mais Je Suis ce que Je ne suis pas et, ainsi, tu vois la divine dichotomie. D’où l’affirmation : Je Suis ce que Je Suis. »

« Comme je te le disais, ce flux et ce reflux naturels, ce rythme naturel de l’univers, sont propres à toute vie, y compris les mouvements mêmes qui créent la vie dans ta réalité. Les uns vers les autres, vous êtes attirés comme par une force urgente, pour ensuite vous retirer et vous séparer, puis retourner avec urgence les uns vers les autres, pour une fois de plus vous séparer, et encore chercher avec faim, passion et urgence l’union totale. »

« Ensemble-séparés, vos corps dansent en un mouvement si fondamental, si instinctif que vous avez très peu conscience d’une action délibérée. À un certain point, vous passez en mode automatique. Personne n’a besoin de dire quoi faire à vos corps. Ils le font, tout simplement, avec l’urgence de toute la vie. C’est la vie même qui s’exprime en tant que vie. Et c’est la vie même qui produit une nouvelle vie au sein de sa propre expérience. Toute la vie fonctionne selon un tel rythme. Toute la vie EST ce rythme. Ainsi, toute la vie est imprégnée du doux rythme de Dieu, ce que vous appelez les cycles de la vie. »

« La nourriture pousse selon de tels rythmes. Les saisons vont et viennent. Les planètes tournent sur elles-mêmes et en cercles. Les soleils explosent, implosent et explosent à nouveau. Des univers inspirent et expirent. Tout cela arrive par cycles, par rythmes, en vibrations qui correspondent aux fréquences de Dieu, de la Déesse, de Tout. »

« Car Dieu est le Tout, la Déesse est chaque chose, et il n’y a rien d’autre. Et tout ce qui a jamais été, est maintenant et sera à jamais  ton monde infini. »

 Amen

 

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