À la recherche du point de lumière

Né en Afrique du Nord au début des années 1950, en plein cœur d’une guerre fratricide particulièrement sanglante entre Français, Juifs et Arabes, je me suis toujours demandé si nous pouvions faire quelque chose pour éviter que les êtres humains se comportent comme des bêtes sauvages et trouvent par conséquent d’excellentes raisons pour s’entredéchirer et s’assassiner les uns les autres. Dans ma jeunesse, j’ai eu l’occasion de noter que, quand il s’agit d’instaurer un réel changement social, c’est presque toujours le porteur d’une arme à feu qui échoue le plus misérablement. Même s’il m’est très souvent arrivé d’être bien plus désorganisé que je ne veux l’admettre, je me suis dit qu’essayer de devenir une sorte de porteur de lumière serait une bien meilleure idée. Sauf que je me suis vite aperçu du grand nombre de zones d’ombre qui trainaient encore au fond de mon esprit. Si bien que je me suis mis en quête de rencontrer de vrais porteurs et porteuses de lumière. Qui cherche trouve dit-on, et c’est vrai. Lorsque nos capacités limitées se joignent à notre tendance à vouloir soulever le voile des illusions, cela crée un appel d’air qui attire vers nous le ou les guides qui conviennent précisément à notre désir d’évolution. Rien ni personne ne peut arrêter ce phénomène. Tout ce que je tiens à partager sur le sujet qui nous occupe provient des enseignements qui m’ont été donnés par mes maîtres spirituels. Une portion de leur enseignement traite de la position de l’être humain dans l’espace et de son anatomie transcendante, et cela constitue une aide précieuse pour ceux qui veulent savoir qui ils sont réellement. Mon seul crédit est donc d’essayer, dans la pleine mesure de mes capacités, de vulgariser une partie de leur message et de la rendre la plus accessible possible, le but étant de mieux se connaître soi-même en prenant conscience que nous ne sommes pas ce que nous croyons être.

L’homme n’est pas le corps visible. Il est une fragmentation d’un principe universel. Quelles que soient leurs traditions ou la hauteur à laquelle ils ou elles conçoivent l’origine de la vie, tous les maîtres spirituels ont une chose en commun : chacun à sa manière, ils témoignent de la réalité d’un principe vital émanant d’une source primordiale et animant nos corps de matière. À travers leurs multiples enseignements, nous découvrons un certain nombre de vérités. Les plus essentielles sont sans doute la continuité de l’inspiration de la psyché dans l’histoire, l’unité fondamentale des grandes religions et la pluralité des mondes infinis d’où notre système solaire est sorti, avec son soleil, ses planètes et toutes les civilisations qui apparaissent et disparaissent au cours du temps dans la galaxie. Même si je sais que la civilisation de la mondialisation financière actuelle bénéficie uniquement aux riches multinationales et jamais aux petites entreprises ni aux gens ordinaires, j’aime cultiver l’idée que le changement peut survenir de l’intérieur et non de quelque arrangement extérieur. Tôt ou tard, on finit par comprendre que ce dont a besoin pour avancer n’est pas une effusion de sang, une tyrannie sanitaire ou une pandémie inventée, mais plutôt le pardon et la réconciliation. Le fait que de plus en plus de gens s’intéressent de nos jours à la vie intérieure au lieu de se borner à regarder béatement le « programming » de la télé est déjà un grand encouragement. Il arrive un moment dans la vie de tout être humain où il ne reste plus que deux choix : ou se soumettre aveuglément aux ténèbres de la matérialité absolue, ou élever son esprit vers la vérité de sa propre conscience. Ne doutez jamais qu’un petit groupe de personnes qui s’harmonisent en conscience de lumière puisse transformer les conditions d’une province ou d’une nation. Les élites politiques ont très peur de ces regroupements de conscience car elles en connaissent la puissance. C’est pourquoi elles veulent nous confiner. En relisant l’histoire non officielle des grandes réformes sociales, il est clair qu’à l’origine des changements on trouve toujours un petit groupe de prières désintéressées guidé par la puissance d’une vision. Le fait d’engendrer une transformation sociale en utilisant les seules forces intérieures de la conscience plutôt que d’aller hurler des slogans dans la rue peut déjà nous éviter de recevoir en plein visage un jet de gaz au poivre de cayenne tiré par un policier apeuré sur des manifestants pacifistes qui ne représentent aucune menace pour la police ou qui que ce soit d’autre. Cela ne devrait toutefois pas empêcher le peuple de descendre dans la rue quand un gouvernement bafoue toutes les lois constitutionnelles comme on le voit un peu   partout dans le monde aujourd’hui. Dans ce cas, personne ne peut se permettre de rester apathique, et une bruyante et joyeuse manifestation pacifiste dans les artères d’une grande ville est évidemment requise.

Disons d’emblée que le fait qu’en Grande -Bretagne le gouvernement britannique ait commencé à verser 140 000 dollars aux victimes de dommages causés par le vaccin Covid19 et que cela n’est toujours pas couvert par nos médias grand public n’est pas le point de lumière que je veux aborder ici. Le fait que, pour des milliers d’immunologistes de renom dont la Dre Jessica Rose, les statistiques reliées aux injections Covid pour les enfants représentent, je cite « un massacre catastrophique » n’est pas non plus le point de lumière recherché ici. Disons également que le fait que plusieurs groupes de scientifiques chevronnés aient découvert dans 12 marques d’injections Covid (sous Scanning Electron Microscopy ou SEM) la présence irréfutable d’oxyde de graphène court-circuitant l’intérieur du corps humain et que, toujours d’après ces scientifiques, c’est la raison pour laquelle nous observons une augmentation sans précédent de myocardites, de péricardites, d’attaques cérébrales, de caillots sanguins et de crises cardiaques chez un nombre alarmant de vaccinés dans le monde n’est pas non plus le point de lumière que nous recherchons ici. Le fait que la calotte glaciaire du Groenland ait gagné 7 gigatonnes de glace dans la seule journée du 28 août 2022, et que malgré cela l’empire du mensonge médiatique nous écorche les oreilles avec son canular du faux réchauffement climatique n’est toujours pas le point de lumière qui nous occupe ici. Soyons clairs : que le gouvernement ait réussi à faire passer le « décret Rivotril » dans le but d’euthanasier des dizaines de milliers de personnes âgées dans les CHSLD sans aucun motif sanitaire, et que malgré cela nous n’assistions pas à une vague massive de démissions de la part du personnel soignant n’est pas non plus notre point de lumière. Rappelons également que le fait qu’on puisse lire en toutes lettres sur le site officiel du gouvernement britannique (gov.uk) qu’à cause des dizaines de milliers de fausses couches qui se produisent actuellement dans le monde après injection, le vaccin Pfizer est définitivement non recommandé aux femmes enceintes (de même qu’aux femmes allaitantes) et que les membres de Radio-Canada refusent systématiquement d’en parler en ondes pour des motifs inavoués qui échappent à tout bon sens n’est pas non plus le point de lumière recherché ici. Mais alors, quel est donc ce mystérieux point de lumière?

J’aime croire que la recherche de ce point de lumière peut être traitée comme un voyage d’exploration : on doit continuer à avancer vers quelque chose de plus grand et de plus haut que soi. J’ose aussi espérer qu’un jour prochain nous puissions bénéficier d’une spiritualité libre qui ne soit pas menée par des incompétents, des pédophiles et des voyous. Comme l’a démontré avec brio le philosophe Georges Berkekey (1685-1753), l’univers flotte dans un océan de conscience illimitée. Ça veut dire quoi? Cela signifie que le mental n’est pas dans le monde. Au contraire, c’est le monde qui est dans le mental; par conséquent la conscience présuppose toute la création. Toute la création, cela comprend toutes les nouvelles effarantes dont nous serinent les lanceurs d’alertes avec, avouons-le, une certaine lucidité. Toute la création comprend aussi nos conditions actuelles d’existence, les vôtres, les miennes et celles de tous nos voisins ou membres de nos familles. On rencontre heureusement encore pas mal de gens qui sont réellement passionnés par les vérités supérieures de la vie et qui reconnaissent que la ligne de pensée prédominante dans l’âge moderne tend malencontreusement vers l’exploitation plutôt que la coopération. Depuis des siècles, l’homme a exploité les richesses de la nature, puis il a massacré la vie des animaux et désormais, comme il n’a plus rien d’autre à piller, il se tourne vers la commercialisation totalitaire de l’être humain lui-même. Il existe pourtant une chose que l’homme ne parviendra jamais à spolier complétement. Cette chose peut être définie comme la lumière de notre âme; pour être plus concret, il s’agit précisément du point de lumière que nous portons tous au fond de nous.

L’exploitation du savoir scientifique génère le chaos. Nous observons que la connaissance de l’énergie atomique ainsi que le savoir-faire des manipulations génétiques sont aujourd’hui la cause de grandes appréhensions. La civilisation est menacée d’effondrement alors que tout peut être détruit d’un jour à l’autre. L’exploitation malfaisante du savoir scientifique est suicidaire. L’augmentation d’un tel savoir a comme résultat l’auto-sabotage et signifie que la société d’exploitation se prépare à commettre un suicide si la tendance ne se renverse pas immédiatement. Pourquoi en est-il ainsi? Simplement parce qu’exploitation veut dire réaction. Une politique d’exploitation totale signifie une réaction de destruction totale dans un cycle sans fin. Toute la création peut être détruite puis recréée à nouveau. La naissance précède la mort et la mort précède la renaissance. Chaque individu naîtra dans un corps puis le quittera au moment de la mort de ce corps, puis renaîtra à nouveau dans un nouveau corps et ainsi de suite. Rien ne se perd, tout se transforme. L’ensemble du système solaire suivra aussi ce cycle de mort et de renaissance lorsque les révolutions du temps marqueront de leurs sceaux les cycles infinis des destructions et des recréations. Or, l’ensemble des anciennes sagesses nous indique une porte de sortie : si nous désirons nous échapper de cet empêtrement cosmique de mort et de renaissance, il est nécessaire de nous élever au-dessus de l’atmosphère expérimentée par les perceptions sensorielles. Nos sens (la vue, l’ouïe, le goût, l’odorat, le toucher) détiennent une position importante parce que grâce à eux nous pouvons percevoir et apprécier le monde extérieur. Toutefois, bien que les sens tiennent une place primordiale dans le monde de l’expérience, c’est le mental qui les domine. Qu’est-ce que le mental? C’est la faculté que nous possédons de sélectionner « je désire cela » ou « je ne veux pas de cela ». Le mental nous amène à cultiver un penchant pour une chose et un mépris ou une indifférence pour autre chose. Telle est une des bases du principe mental en nous. Le mental est plus important que les sens; si par exemple je suis inattentif, une personne pourra marcher devant moi et il est possible que je ne la remarque même pas. Je dirais alors « Oh, j’étais dans la lune, je ne l’ai pas vue ». Par conséquent, nous pouvons facilement réaliser que le mental est au centre de nos perceptions sensorielles. Les sens prédominent sur le monde extérieur parce qu’ils nous offrent la possibilité de le ressentir. Le mental, quant à lui, les surpasse; s’il ne reçoit pas ce que les sens lui envoient comme informations, les portes d’accès au monde qu’ils représentent deviennent alors inutiles.

Arrivés à cette étape, nous avons besoin d’un outil psychologique plus raffiné, car dans l’état actuel des choses, nous sommes principalement et inconsciemment pilotés par les habitudes acquises dans nos vies précédentes; ces réflexes psychologiques sont devenus comme notre seconde nature et il est difficile de s’en défaire tant ils sont profondément tatoués dans la fibre même de nos caractères. Toutefois, même si nous sommes généralement asservis par le mécanisme subconscient de ces automatismes, nous avons quand même jusqu’à un certain point la possibilité de faire des libres choix, principalement en ayant pris naissance en tant qu’être humain. Sans cette possibilité — même réduite — d’un libre arbitre, aucune amélioration ne serait possible et nous resterions alors à jamais les esclaves de nos pulsions préprogrammées. Heureusement, il existe en chacun de nous un autre principe qui mérite notre attention, une chose très fine, très subtile, une chose que nous nommons la raison, qui est une forme d’intelligence. Et quelle est sa caractéristique? Par habitude le mental dira « Oh, je veux faire cela! », mais la raison lui répondra : « Oh non, ne fais pas de cela, ça va te causer des tas de problèmes; à la place tu ferais mieux de faire une chose qui t’apportera plus de bonheur ». Cette faculté de sélection propre à la raison représente un principe supérieur aux sens et au mental. Puis il y a une chose encore plus subtile que l’intelligence raisonnée et nous la nommons la psyché, ou l’âme humaine. De cette manière, graduellement, nous pouvons suivre la trace des éléments qui composent notre individualité. Plus important que le monde extérieur sont les sens. Plus important que les sens est le mental. Au-delà du mental se trouve la raison, un élément plus fiable et sur lequel on peut compter. Plus en profondeur se trouve l’âme humaine. Et quelle est sa caractéristique, sa nature propre? Elle est lumière. Si nous prenons le soleil comme exemple et qu’il est recouvert par les nuages, nous nous apercevons aisément que les nuages deviennent visibles grâce à la lumière du soleil. De la même manière, l’âme est le point de lumière en nous et grâce à sa présence lumineuse qui se tient en permanence dans le substrat de la conscience, nous sommes en mesure de ressentir le mental. Si cette lumière se retire, alors tout devient mort; le système du mental, l’intelligence, la faculté de choisir, de sélectionner, ainsi qu’un grand nombre de canaux à travers lesquels nous expérimentons nos conditions d’existence perdent automatiquement toute valeur lorsque ce point de lumière quitte le corps physique. Ce point constitué d’un rayon de lumière est catégoriquement différent de toute autre chose. La psyché est une particule de lumière. Mais elle n’est pas toute seule, car il existe dans la pluralité des mondes une sphère de lumière constituée d’une infinité de particules de lumière. C’est de cette sphère que proviennent toute naissance, toute renaissance, toute régénération et tout développement vital.

Par la dévolution naturelle de l’existence matérielle, nous trouvons dans ce monde des éléments tels que l’éther, l’air, la chaleur, l’eau, la terre, puis les pierres du règne minéral. Pareillement, nous trouvons dans la pluralité des plans subtils le développement évolutif de l’intelligence, puis de l’âme, puis du principe de la Super-Âme, puis de la Super-Super-Âme. Ainsi la progression du côté subjectif de la réalité progresse vers l’infini et devient super-subjectif. En général, sans aucune preuve à l’appui, l’éducation nationale nous a inculqué l’idée saugrenue selon laquelle la conscience proviendrait de la matière. Tels des primitifs croyant que l’orchestre qui joue se trouve dans le poste de radio, nous avons cru que la pensée se trouvait dans le cerveau. On sait maintenant que la pensée provient de notre conscience intuitive extraneuronale et pas du cerveau. Donc, l’observation des principes de la nature nous montre plutôt que la conscience est à l’origine de ce que nous pouvons expérimenter par les sens. Tout semble littéralement flotter sur un océan de conscience d’évolution subjective. N’importe quel objet qui se présente sous forme de matière ne représente qu’une suite de conceptions particulières qui ne sont ni plus ni moins qu’un amalgame de parcelles de conscience. Tout se passe comme si les objets matériels étaient de la pensée cristallisée. Les physiciens eux-mêmes sont arrivés à la conclusion que c’est la conscience de l’observateur qui détermine la manière dont se comporte la matière au niveau subatomique. Ce concept est même devenu la fondation de toute la mécanique quantique. Ce qui nous pousse à dire que le point de lumière de la conscience est en fait la seule réalité du monde qui nous entoure. Quel que soit l’objet que nous puissions imaginer comme étant à l’origine de la vie et des conditions de vie, la conscience doit forcément exister avant de pouvoir imaginer cet objet. Sans arriver à cette conclusion d’un point de vue philosophique ou scientifique, nous ne pouvons rien dire à propos de rien. La conscience se développe à partir de l’océan de conscience totale qui inclut tout et qui est la source du point de lumière individualisée. Au-delà de ce point se trouve la conscience d’une Super-Âme qui imprègne tout. Au-delà encore se trouve la source de cette expansion de super-conscience sous l’aspect de la Suprême Personnalisation du Divin. Pourquoi cette « infinie mer de conscience » aurait comme origine une inconcevable « Personnalité Suprême »? Simplement parce qu’il ne peut y avoir de conscience sans une personne. Il faut une personne pour qu’une conscience se manifeste. À ce niveau, le poussiéreux behaviorisme des psychologues du 20e siècle tombe à l’eau tant il se trouve dépassé par la nouvelle trans-psychologie voulant que toute conscience présuppose un être vivant personnel. Il peut difficilement en être autrement dans le grand champ de la cohérence universelle.

Dans la pluralité des mondes de matière objective où tout est essentiellement éphémère et douloureux, nous observons un développement de plus en plus minéral, de plus en plus dense, appréhensif et sombre. Un monde de peur et d’exploitation où chaque choix implique une réaction violente en retour. À l’opposé, dans les dimensions super-subjectives de lumière, là où la coopération remplace l’exaction et la tyrannie, et où l’ensemble de la réalité est sans mesure, inaltérable et immortel car intouché par le temps, nous observons un développement de plus en plus lumineux, de plus en plus joyeux où chaque choix génère de plus en plus de bonheur. La conscience humaine permet d’avoir suffisamment de discernement pour choisir entre ces deux possibilités : la peur ou l’amour. Il existe de nombreuses opinions religieuses ici-bas, mais en tant que chercheurs de vérité, nous devons nécessairement trouver une solution parmi toutes ces diverses conceptions. Connais-toi toi-même, dit l’ancienne sagesse. Nous connaître nous-même sera certainement un bon départ. Le fait que le point de lumière en nous soit intouché par le temps et qu’il continue d’exister en dépit de la destruction du corps montre que l’âme humaine est éternellement vivante et distincte de la matière. Une simple observation de nos facultés nous permet de comprendre que l’âme est supérieure à la matière. D’une part ce point de lumière spirituelle est supérieur en raison de sa permanence par rapport à l’impermanence du corps, et d’autre part il représente un élément capital du fait de l’influence qu’il exerce sur la matière puisqu’en effet celle-ci ne se meut que grâce à sa présence au fond de nous.

La grande erreur que commettent les individus qui pensent de nos jours diriger le monde est de s’identifier à leur corps physique en croyant pouvoir le rendre un jour immortel par manipulation génétique, ou en croyant appartenir à tel ou tel pays, à telle ou telle race, à telle ou telle religion, tradition, caste, parti politique, etc. C’est cet immense malentendu causé par l’inconscience de notre identité immatérielle qui est la cause des effondrements successifs des civilisations matérialistes au cours de l’histoire humaine. Et la nôtre n’y échappera pas si Klaus Schwab, le funeste directeur du Forum Économique Mondial et grand manipulateur de front-men tels que Trudeau, Biden ou Macron, parvient à instaurer son agenda inhumain et son crédit social à la chinoise en Occident. Le temps, alors, nous sera compté. L’ignorance du point de lumière qui anime tout être vivant, quel qu’il soit, est à l’origine de toutes les guerres et de toutes les mesquineries qui divisent cruellement le monde. Il n’y a donc qu’un seul moyen de ramener la paix et l’harmonie, et c’est d’élever l’humanité jusqu’au niveau de conscience où l’on ressent au fond de soi la présence de l’âme éternelle. Nous réaliserons ainsi l’égalité spirituelle de tous les êtres humains. Il existe quelque chose de supérieur à la matière, et cette réalité nous fait comprendre qu’il existe simultanément quelque chose qui nous transcende, quelque chose dont nous-mêmes, aussi bien que l’univers, tirons notre origine. Derrière toute œuvre musicale se trouve un compositeur. Il en va de même pour la parfaite symphonie du cosmos derrière laquelle se trouve un être vivant super-subjectif que nous appelons de toute éternité l’Être Originel. Le grand but de la vie terrestre est d’apprendre à connaître cet Être bienveillant et d’aimer lui rendre service.

Mais là encore, il faudrait faire la part des choses. Beaucoup d’entre nous avons jeté le bébé avec l’eau du bain pour la seule raison que nous avons eu dans le passé de très mauvaises expériences dans notre recherche spirituelle. Pour exemple, nous ferons observer que le dogme catholique ayant rapport à la divinité du Christ n’a été institué que 400 ans après la mort de Jésus. Ce dogme fut politiquement organisé par quelques individus en mal de pouvoir temporel au cours d’une rencontre tristement mémorable appelée « Le concile de Nicée ». Ce dogme est le résultat du choix de quelques hommes et non l’écho d’une révélation de conscience. Ce dogme politique voulant que Jésus soit le Père Éternel Lui-même est loin d’avoir produit les bons effets que, nous pouvons peut-être l’imaginer, en attendaient ses auteurs, car, en général, il n’a produit que de la bigoterie, de l’incrédulité et surtout il a généré l’épouvantable cupidité des croisades, un nombre inouï de guerres de religion qui n’étaient en réalité que des guerres de pouvoir, des millions de morts, ainsi que l’extrême cruauté des tortures de l’Inquisition et des « chasses aux sorcières » envers des femmes éclairées, souvent guérisseuses et expertes dans la connaissance des médecines énergétiques naturelles. Les défauts de ce genre de dogmes prétendument « catholique » ont donc été particulièrement pernicieux pour notre société humaine et le sont encore trop souvent dans l’esprit de bien des gens pauvrement documentés. Aussi est-il du plus grand intérêt pour les vrais chrétiens ainsi que pour tous les chercheurs de vérité, quelle que soit leur croyance, leur guide ou leur lignée, de revenir à la conscience des courants spirituels originels, antérieurs au concile de Nicée, et qui reconnaissent le Christ comme étant un porteur du point de lumière universelle. Comme tous les serviteurs de la lumière divine qui le précèdent et qui lui succèdent dans l’éternel présent, Jésus est un être mis en pouvoir par l’Âme Infinie, l’unique source de la Conscience Suprême, un être qui, comme tous les guides et tous les prophètes authentiques de l’univers, de tous les temps et de tous les temples, est chargé de la sublime mission de régénérer le point de lumière de l’humanité afin de dire ouvertement au monde que chaque individu est aussi un être divin en potentiel s’il développe sa propre lumière intérieure. L’amour immatériel doit remplacer la peur matérielle. Telle sera la victoire de la vie sur la mort. L’activation du point de lumière en chaque être vivant est l’essence même de l’unité qui est à l’origine de tous les enseignements philosophiques et spirituels. L’espérance en cette lumière immortelle n’est pas morte au cœur des exilés de cet univers. Quoi qu’il puisse se passer, c’est dans ces cœurs que vit la grande vague de conscience qui, d’âge en âge, inonde notre monde dans un cycle sans fin.

 

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