Brooke Shields
Ce que j’aime beaucoup de cette chronique, c’est qu’elle me permet de mettre en lumière des êtres dont les dons activent la reconnaissance de qui je suis grâce à l’effet miroir. Parce que ces dons sont activés chez eux, cela m’aide à mieux exprimer et développer les miens. Ces personnes suscitent en moi le grandiose, par leurs talents, leur authenticité, leur beauté. Les gens qui se réalisent ont de quoi inspirer! Comme j’ai le flair pour retrouver mes frères et sœurs d’âme, j’éprouve du plaisir à consommer de leurs œuvres et à découvrir qui ils sont. Évidemment, ils ne sont pas au courant que je suis là, et que j’écris sur eux.
Brooke est une des premières sœurs d’âme que j’ai trouvées. Et nous avons une taille corporelle identique. Je la remercie parce que ça m’a ouvert bien des portes. Son âme est jaune avec un cercle lilas extérieur. Jeune, elle habitait le rayon bleu cobalt, mais à la fin de la trentaine, la teinte est devenue vert émeraude. Aujourd’hui, elle vibre dans le vert pâle.
Son bleu a été terni par un peu de noir, du karma. Il en a résulté une barrière avec les hommes qui s’est installée à l’adolescence. Et sa rupture avec le joueur de tennis a définitivement bloqué le processus. Je ne pense pas que ça se rouvrira dans cette vie. Je pourrais l’aider, mais ça ne semble pas se placer ainsi.
Je lui souhaite sincèrement d’accueillir le rose entouré de mauve améthyste et de l’intégrer en son cœur. Elle est une femme-fée qui sait qui elle est, elle possède de grandes valeurs (rose, mauve, jaune), mais elle est ancrée sur une base vaseuse, ce qui s’inscrit dans ce qui l’éloigne de son plein potentiel, avec de vieilles histoires de famille.
La première fois que je l’ai vue, c’est dans le film Le lagon bleu. J’ai reconnu une sœur Atlante et je l’ai aimée tout de suite. Je suis contente qu’elle ait été mannequin, parce qu’effectivement, elle est très jolie.
J’ai deux coups de cœur pour sa carrière, dont sa participation dans la série Suddenly Susan, qui a duré quatre saisons, dans laquelle elle incarnait une chroniqueuse de revue, vous comprendrez que je la trouvais chanceuse. Pour ce qui est du cinéma, j’opte pour Bob the Butler. C’est l’histoire d’une femme entrepreneure qui réussit dans le domaine des finances, et qui a recours à l’insémination pour avoir deux enfants sans présence masculine à ses côtés. Elle engage un gentil majordome, qui la comprend comme femme. Un bon film familial.
Je lui souhaite également de prendre la plume, car elle a beaucoup à transmettre. Elle est branchée clair-connaissance et a énormément à livrer à propos de son passage sur terre. Elle est une excellente productrice, mais elle doit pousser sa chance. Son heure de gloire n’est pas arrivée encore, malgré son impressionnante carrière.
Julie L.
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