Citations de Neale Donald Walsh
Nous remercions l’éditeur Ariane pour nous avoir autorisés à vous présenter des passages du livre la Trilogie de Conversations avec Dieu, dans le cadre de cette chronique.
« Tourne-toi vers ta Pensée la Plus Élevée à propos de toi-même. Imagine-toi tel que tu serais si tu vivais cette pensée chaque jour. Imagine ce que tu penserais, ferais et dirais, et comment tu répondrais à ce que feraient et diraient les autres. Vois-tu une différence entre cette projection et ce que tu penses, fais et dis maintenant? »
« C’est normal, puisque nous savons qu’à présent tu n’es pas en train de vivre ta vision la plus élevée de toi-même. Ayant vu les différences entre ton état actuel et celui que tu veux atteindre, commence donc à changer (consciemment) tes pensées, tes paroles et tes actions de manière à les adapter à ta vision la plus merveilleuse. »
« Cela exigera de ta part un incroyable effort mental et physique. Cela entraînera une surveillance constante, à chaque instant, de chacune de tes pensées, de chacune de tes paroles et de chacun de tes gestes. Cela nécessitera que tu fasses continuellement un choix conscient. Tout ce processus est un rude passage vers la conscience. Ce que tu découvriras, si tu entreprends ce défi, c’est que tu as passé la moitié de ta vie dans l’inconscience, c’est-à-dire ignorant sur le plan conscient de ce que tu es en train de choisir en matière de pensées, de paroles et d’actions, jusqu’à ce que tu fasses l’expérience de leurs conséquences. Ensuite, lorsque tu ressentiras ces résultats, tu nieras tout rapport entre ces derniers et tes pensées, tes paroles et tes actions. »
« Je t’invite à cesser de vivre dans une telle inconscience. C’est là un défi auquel ton âme t’appelle depuis le début des temps. »
« Cette surveillance mentale continuelle sera peut-être exigeante, jusqu’à ce qu’elle devienne pour toi une seconde nature. En fait, c’est ta seconde nature. Ta première nature consiste à aimer inconditionnellement. Ta seconde nature consiste à choisir d’exprimer ta première nature, ta vraie nature, avec conscience. »
« Alors, veux-tu que ta vie « prenne son envol »? Imagine-la tout de suite comme tu veux qu’elle soit, et investis-toi dans cette vision. Examine toute pensée, toute parole et toute action qui ne s’accordent pas avec celle-ci. Éloigne-t-en. »
« Lorsque tu as une pensée non alignée sur ta vision supérieure, passe à une nouvelle pensée sur-le-champ. Lorsque tu dis une chose non alignée sur ton idée la plus grandiose, prends note de ne plus rien dire de semblable. Lorsque tu fais une chose non alignée sur ta meilleure intention, décide que c’est la dernière fois. Et si possible, arrange les choses avec tous ceux qui étaient concernés. »
« La première chose qu’il faut comprendre à propos de l’univers, c’est qu’aucune situation n’est « bonne » ou « mauvaise ». Elle est, tout simplement. Cesse alors de poser des jugements de valeur. »
« La deuxième chose à comprendre, c’est que toutes les situations sont temporaires. Rien ne reste pareil, rien ne demeure statique. Mais de quelle façon une chose change, cela dépend de toi. »
« L’âme sait très clairement que son but est d’évoluer. C’est son seul but en tant qu’âme*. Elle ne se soucie pas des accomplissements du corps ni du développement intellectuel. Ces choses-là sont sans importance pour l’âme. »
« L’âme sait clairement aussi qu’il n’est pas tragique de quitter le corps. À bien des égards, la tragédie consiste à être dans ce corps. Tu dois donc comprendre que l’âme entrevoit toute cette histoire de mort de façon différente. Bien entendu, elle entrevoit aussi toute cette « question de vie » différemment, et c’est la source d’une grande partie de la frustration et de l’anxiété que chacun ressent dans sa vie. La frustration et l’anxiété viennent du fait de ne pas écouter l’âme. »
« Ce que cherche l’âme, c’est le sentiment d’amour le plus élevé que tu puisses imaginer. Tel est son désir. Tel est son but. L’âme cherche le sentiment. Pas la connaissance. Elle a déjà la connaissance, mais cette dernière est conceptuelle. Le sentiment est expérientiel. L’âme veut ressentir, et ainsi se connaître par sa propre expérience. »
« Le sentiment le plus élevé est l’expérience de l’unité avec tout ce qui est. C’est le grand retour à la Vérité à laquelle l’âme aspire. C’est le sentiment d’amour parfait. »
« L’amour parfait est au sentiment ce que le blanc parfait est à la couleur. Bien des gens ont l’impression que le blanc est l’absence de couleur. Ce n’est pas le cas. C’est le mélange de toutes les couleurs. Le blanc est la combinaison de toutes les autres couleurs existantes. »
« De même, l’amour n’est pas l’absence d’émotion (haine, colère, désir, jalousie, convoitise), mais la somme de tous les sentiments. C’est la totalité. L’agrégat. Le tout. Ainsi, pour faire l’expérience de l’amour parfait, l’âme doit éprouver chaque sentiment humain. »
« Comment puis-je éprouver de la compassion pour ce que je ne peux comprendre? Comment puis-je pardonner à un autre ce que je n’ai jamais ressenti en moi-même? Nous voyons tous les deux la simplicité et l’incroyable force du voyage de l’âme. Nous comprenons au moins ce vers quoi elle tend : le but de l’âme humaine est de tout ressentir, afin d’être tout cela. »
« Comment peut-elle être en haut si elle n’a jamais été en bas? À gauche, si elle n’a jamais été à droite? Comment peut-elle être chaude si elle ne connaît pas le froid? Ou bonne, si elle nie le mal? À l’évidence, l’âme ne peut choisir d’être quoi que ce soit si elle n’a pas le choix. Pour faire l’expérience de sa grandeur, elle doit connaître ce qu’est la grandeur. S’il n’y a rien d’autre que de la grandeur, ce sera impossible pour elle. Ainsi, l’âme réalise que la grandeur n’existe que dans l’espace de ce qui n’est pas grand. Par conséquent, elle ne condamne pas ce qui n’est pas grandiose, mais le bénit en y voyant une part d’elle-même qui doit exister pour qu’une autre part d’elle-même se manifeste. Le travail de ton âme, bien entendu, est de te faire choisir la grandeur – le meilleur de qui tu es – sans condamner ce que tu ne choisis pas. Cette tâche énorme exige de toi plusieurs vies, car tu as tendance à formuler un jugement rapide, à dire d’une chose qu’elle est « mauvaise » ou « mal », ou « pas assez », au lieu de bénir ce que tu ne choisis pas. »
« Tu fais pire que condamner. En fait, tu cherches à nuire à ce que tu ne choisis pas. Tu cherches à le détruire. S’il y a une personne, un endroit ou une chose que tu n’acceptes pas, tu l’attaques. Si une religion s’oppose à la tienne, tu la rends mauvaise. Si une pensée contredit la tienne, tu la rejettes. En cela tu te trompes, car tu ne crées qu’un demi-univers. Et tu ne peux même pas comprendre ta moitié lorsque tu as écarté d’emblée l’autre. »
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