Invité du mois de mai 2022
Photo de Julie Leblanc, notre rédactrice en chef
Sincères Salutations à vous tous.
Comme vous savez, depuis le mois de mars de cette année, la revue a pris une tournure plus légère. L’adaptation à ces changements se fait de manière progressive. On vous demande un brin de patience, le temps que toutes ces transformations puissent prendre forme.
Je me permets d’expérimenter tout simplement. Contrairement aux numéros précédents, ce numéro ce comporte pas d’entrevue avec un invité du mois, mais contient plutôt un article sur la personne qui est sur la page couverture. Pour les deux derniers numéros, j’ai opté pour des images libres de droits, dans cette optique d’orientation nouvelle, celle de ne pas être sous pression pour trouver quelqu’un à interviewer. Au tome 1, volume 2, juillet 2018, j’avais un invité qui m’a fait faux bond à la dernière minute et j’avais mis ma binette sur la page couverture. Je m’étais organisée avec les chroniqueurs jeunesses, pour qu’ils me fassent une entrevue vidéo : «Julie Leblanc, 38 ans et 38 questions». Disons que je n’ai pas grand-chose à rajouter depuis. J’ai donc opté pour une couverture anonyme.
Ce mois-ci, je me suis inscrite à un concours pour femmes entrepreneures, où je pouvais gagner une séance photo, incluant le maquillage et la coiffure. Évidemment, c’est la photographe qui s’est demandé un jour comment se promouvoir et générer une clientèle. C’est pour cela que j’ai gagné; c’est un concours facile, où l’on appâte le client et il y avait 25 places, donc 25 personnes sur 25 jours.
Je ne vous parlerai pas de cette expérience maintenant. Ce que j’aimerais vous partager, c’est qu’une fois arrivée chez moi, je me suis amusée à me prendre en égoportrait (selfie), puisque j’étais parfaitement maquillée et coiffée. C’est ainsi que je me suis créé une photo parfaite. Ça m’a pris au moins six heures avant de réaliser que je tenais en main, ma future page couverture. L’idée m’est venue d’une question que je me suis posée! Il fallait que je commence à me préparer pour trouver la nouvelle image, à savoir : qu’est-ce que j’aimerais voir sur une page couverture? Une image rafraîchissante, lumineuse, innovante, moderne, beauté, pureté, fut ma réponse et c’est comme ça que j’en suis arrivée à la vision que ma photo répondait à 100% de mes critères. Je l’ai! Euréka! Merci pour cette réalisation, dis-je à mes guides!
Ensuite, j’ai fait des tests pour faire moi-même la page couverture, malgré mes connaissances graphiques limitées. J’essaie tout de même de trouver une alternative, comme quelqu’un dont c’est le métier, qui serait capable d’en soutirer un «Wow» maximal, afin d’atteindre un plein potentiel visuellement.
J’ai renouvelé l’offre d’emploi pour trouver un(e) graphiste bénévole, ce qui risque d’être plus facile, étant donné que l’on ne produit plus le format PDF de la revue. Ça prend moins de temps à faire une couverture, qu’un document PDF complet. J’envisage également une deuxième alternative, c’est-à-dire trouver quelqu’un qui peut la faire pour un faible coût. Sinon, je vais me débrouiller.
Ce qui m’amène à vous parler de la deuxième rencontre, suite à mon prix gagné lors du concours. La photographe veut me rencontrer sous peu, pour me faire une présentation de son œuvre à partir de ma séance. Je vais lui soumettre une alternative à ce que j’achète les photos, comme un échange de visibilité, qui pourraient servir à la page couverture éventuellement. Après tout, c’est ma revue! Pourquoi pas m’offrir quelques numéros personnels et explorer l’art de ma création!
Ceci m’a amené à une réflexion sur le moyen d’avancer la revue, avec un cadre plus libre sur la présentation. En fin de compte, je sais intuitivement que je vais capter de grands rêves et des réalisations de mon plan d’âme.
Je vous remercie de m’accompagner pendant cette période de réflexion.
Soyez heureux(ses) et bénis(es)
Namasté
Julie L.
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