Jésus-Christ, Moïse et Abraham sont des créations mythiques

Notre dépendance à la religion, puisque inséminés très tôt par elle (baptême, école, confirmation, etc.), fait en sorte que la question de Jésus ne se pose presque jamais. De plus en plus de Québécois sont indifférents, ne pratiquent plus, mais font encore partie des ressources de l’Église dans ses grands livres comptables. Moi, je n’y suis plus depuis plusieurs années suite à ma requête en apostasie. Ou l’auto-excommunication, si vous préférez. Oui oui, je vais aller en enfer. Pas de problème, j’adore voyager au chaud !

Notre dépendance fait donc en sorte que nous avons une foi ardente en Jésus, sa maman et tout le bataclan, ou on s’en fout. Or, toute cette Jésuétude est contemporaine de la période la plus fertile en créations mythiques puisque déjà nous avions Zeus, Apollon, Prométhée, Héraclès, Osiris, Râ, sans parler d’Odin, de Thor et de multiples dieux chez ceux que l’Église désigne avec un certain mépris comme des païens.

Cet article, je le crains, est une publicité gratuite que je m’offre. En effet, je vous invite à prendre connaissance – gratuitement – d’un document sur lequel je travaille depuis plus de 25 ans.  J’en ai parlé avec différents éditeurs qui, de toute évidence en cette nouvelle ère de fragilisation des opinions qui peuvent heurter la porcelaine de la conscience de certains, ne semblent pas avoir envie de se mettre l’Église et les cathos conservateurs à dos.

Je suis l’éditeur de mon propre site et je m’aime bien alors je vais me diffuser moi-même. Sur mon site jcasault.com vous trouverez un onglet avec la mention ET DIEU DIT.  C’est là que vous trouverez en neuf parties l’ensemble des 50,000 mots et plus.

Le titre du document est  ET DIEU DIT : « Désolé, mais Jésus n’est pas plus mon fils qu’un autre ».

Ce n’est pas une mauvaise blague et moins encore les élucubrations d’un iconoclaste sans foi ni loi, athée, matérialiste pur et dur, cynique et méchant. Je suis un déiste. J’éprouve à l’endroit de l’Esprit qui m’anime un profond respect et comme nous sommes tous dotés d’un Esprit, et que finalement En to Pan comme disaient les Grecs, tout est un et Un est tout. Bref, je crois en Dieu.

Mais pas le tueur sanguinaire de la Bible évidemment, une sorte de Zeus constamment enragé, et pas son fameux fils dont l’existence est un mythe, voire une chimère entre plusieurs personnages pour donner à l’Église voulue par Constantin ler la puissance nécessaire à édifier un culte rassembleur, en 325, afin d’éviter l’écroulement de son empire qui surviendra une centaine d’années plus tard.

Vous ne lirez pas un document farci d’opinions. Il est farci d’arguments étayés par des faits, de la logique, de l’intelligence, du jugement et énormément de recherche amorcée vers la fin des années 90, bien que mon questionnement date de 1956.

J’ai simplement demandé à la religieuse de ma seconde année d’école pourquoi il fallait aller à l’église tous les dimanches si Dieu est partout ! Elle m’a dit de me taire. On n’a cessé de me dire cela d’ailleurs, toute ma vie. Encore récemment, mais ça, c’est une autre histoire…

Je ne vais pas démontrer dans ce document que Jésus n’existe pas; je vais démontrer qu’il n’a pas pu exister compte tenu de… 50,000 mots plus tard.  Mon argumentaire est solide, il se tient et je pense que tout lecteur le moindrement objectif, donc qui n’est pas en train de se frapper la poitrine en demandant pardon à Dieu de lire un tel hérésiarque, verra que tout ce que j’avance tient merveilleusement bien la route.

Mais pour cela, j’ai dû poser un geste crucial. Dans mon équation à savoir si Jésus est égal à zéro ou pas, j’ai dû retirer une donnée. La foi !

La foi est un engagement émotionnel qui élimine toute tentative intellectuelle de se dresser contre son objet. Lorsque j’ai publié « Les Religions, c’est assez » chez Québec-Livres en 2017, j’ai été houspillé par des lecteurs froissés qui m’invectivaient parce que j’étais un homme sans foi.

Ils étaient choqués lorsque je répondais : quelle foi ? En Jésus, Mahomet, Bouddha, Vishnu, Dieu, Yahvé, Allah ?

« Il n’y a qu’une seule vraie foi ! », que j’avais comme réponse. Cela me rappelait quand j’étais reporter et que j’assistais aux congrès de partis politiques. « C’est nous qui avons raison ! » Il est inutile parce qu’impossible d’avoir une discussion rationnelle et intelligente avec un homme de foi, qu’il soit laïque ou religieux.

À chaque argument, c’est la liste très courte de réponses pré-mâchées par l’Église depuis 2000 ans : « Qu’importe la contradiction, nous avons la foi. Les voies de Dieu sont impénétrables. Nul ne peut discuter de la Parole de Dieu. Vous blasphémez, monsieur ! »

Je vous invite donc aimablement à prendre connaissance de ce document. Vous abonner à mon site est gratuit, vous ne serez informé que de la parution d’un nouvel article par un simple courriel. Vous pourrez en profiter aussi pour jeter un œil sur la multitude d’articles sur ce site, en dehors de ET DIEU DIT et d’un autre document intitulé LE MAL.

Je vous souhaite bonne lecture et surtout bonne réflexion, car il est très rare qu’on fasse appel à cette dernière quand il est question de Jésus. On tombe à genoux les yeux au ciel, ou on vire de bord. Je vous propose une troisième voie. Celle de la raison au service du vrai.

 

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