Là où l’amour nous emmènera
Quelles sont les nouvelles qui pourraient encore nous surprendre aujourd’hui, dans nos sociétés qui semblent partir à la dérive à un rythme sans précédent? Allons-nous nulle part en un temps record? Il est difficile de s’y retrouver dans une civilisation qui a perdu la plupart de ses repères genrés, la quasi-totalité de ses valeurs ancestrales, qui est dirigée par l’argent, la peur, le mensonge, la cupidité, l’économie et le pouvoir totalitaire. Aussi terribles que puissent être les circonstances, nous verrons qu’il existe toujours une chance de s’en sortir.
Quoi qu’il en soit, on n’est pas là pour rapporter des choses qui plaisent ou déplaisent. Ce n’est pas la fonction de nos articles. On est là pour rapporter des faits. Les faits, parfois ça nous plaît, parfois ça ne nous plaît pas. Si ça ne nous plaît pas, ça ne change rien aux faits. Pour le moment, contentons-nous de noter qu’un ouvrage écrit par un éminent généraliste, le docteur Benoit Ochs, vient d’être publié aux Éditions Résurgence. Ce livre fait l’effet d’une bombe. Il décrit d’une manière très professionnelle l’état actuel de la situation dans laquelle nous nous trouvons sur le plan social. Le titre de cet ouvrage est étonnant, car il provient d’un membre honorable du Collège de médecine : « Non-Assistance Légale à Personnes en Danger ». C’est le mot « légale » qui est à retenir ici. Il s’agit du témoignage d’un médecin sur la réalité de la santé publique telle qu’elle se présente de nos jours. Le seul fait que l’ouvrage soit préfacé par l’illustre professeur Christian Perronne, récipiendaire d’un doctorat en maladies infectieuses et tropicales à l’Université de Versailles-St-Quentin, France, en dit long sur l’extrême rigueur et le sérieux du propos. En parcourant cette étude très bien documentée, nous ne pouvons qu’être étonnés d’apprendre qu’à la suite de plusieurs analyses scientifiques, sur trois continents, dans cinq nations et dans six laboratoires médicaux différents, les injections appelées « vaccins » Pfizer et Moderna se sont révélées comme étant grossièrement contaminées par de l’ADN synthétique. En outre, il s’est avéré que cet ADN contient en secret un moyen de pénétrer dans le noyau cellulaire de la personne vaccinée, de modifier son propre ADN chromosomique et de s’y intégrer définitivement.
D’après les analystes qui observent ce phénomène bouleversant, les conséquences de ces injections pourraient être catastrophiques à court ou moyen terme, si elles ne l’ont pas déjà été. Bien entendu, nous n’en entendrons pas parler dans nos médias grand public, et la publication de ce livre sera passée sous silence. Pourtant, cette étude est confirmée par le juriste et avocat Me Julian Gillespie, qui rapporte à qui veut bien l’entendre que des statistiques lui parviennent du monde entier faisant état de centaines de milliers de décès liés au déploiement des vaccinations COVID-19, ainsi que d’une augmentation de cancers, de crises cardiaques et d’une surmortalité fulgurante faisant suite aux injections.
Avec la complicité désormais bien documentée des médias de grand chemin qui ont définitivement perdu le haut du pavé moral et la confiance du public, le Collège des médecins devrait tout faire pour essayer de cacher ces analyses extrêmement compromettantes pour tous ceux qui ont poussé la population à se faire injecter. Le Dr Ochs dit que plus longtemps ils le cacheront, plus le scandale sera grand. D’après lui, il s’agit d’une forme pernicieuse de crime social. Il dévoile qu’en association avec les politiciens, certains membres de compagnies pharmaceutiques ont créé des protocoles, des ensembles de lois, et mis en place des systèmes de propagande de façon à laisser mourir des gens. Benoit Ochs va même jusqu’à préciser : « De façon à tuer des gens ». Pour lui et pour des milliers d’autres intervenants, nous sommes actuellement arrivés avec ce pseudo vaccin à une situation de médecine criminelle : « On permet à des médecins de laisser des gens mourir et même de les tuer. On n’aurait jamais pensé voir ça de nos jours. »
De son côté, la gynécologue Laurence Kayser supporte totalement cette version des faits et note que nous assistons au déni, parce que, dit-elle, « ceux et celles qui sont encore dans ce système mortifère ont tous ces crimes sur la conscience, et que ça doit être terriblement difficile de vivre comme ça et de l’admettre. Mais c’est une réalité ». De nombreux spécialistes notent également que l’amnésie traumatique du personnel infirmier protège leur psychisme pour un temps. Mais les témoignages commencent à sortir un peu partout sur les contraintes imposées aux gens pour leur faire accepter, sans leur consentement éclairé, ces injections empoisonnées d’ADN synthétique. Les intervenants rappellent les arguments fallacieux et tous les chantages qui ont été mis en place pour contraindre les populations. Laurence Kayser dit : « C’est monstrueux ce qu’on a fait à ces pauvres gens; ils nous faisaient aveuglément confiance et on les a trahis. Ceux qui ont résisté sont vraiment des héros. »
En entrevue sur le site d’information Alliance Humaine 2020, le Dr Ochs pose une question troublante : « S’il est officiel que nous ayons maintenant plus de morts avec ce vaccin COVID que pendant toute la Première Guerre mondiale, et si la supposition que le vaccin est mille fois plus dangereux que la maladie, est-ce que les médecins encourent une comparution devant un tribunal pénal? » D’après lui, devant la somme énorme des éléments scientifiques, médicaux, biologiques et factuels qui soutiennent le choix de ne pas consentir à se faire injecter, si on vous traite encore de complotiste, vous devez absolument attaquer en justice ceux qui vous agressent de cette manière. À ce sujet, rappelons qu’un grand général de l’armée française, le général Christian Blanchon, ex-adjoint du gouverneur de Metz, proclame haut et fort depuis 2020 que « les non-vaccinés ont droit à la reconnaissance de leur courage et de leur intégrité ». Laurence Kayser, quant à elle, dit que les groupes de recherche détiennent des preuves irréfutables qui montrent que l’intention derrière la production de ces vaccins, même les plus classiques, est loin d’être bienveillante ou angélique. Notons que même les vaccins dits « classiques » contiennent plus de 235 substances chimiques dangereuses et des doses d’aluminium hyper toxiques dépassant 60 fois la dose considérée comme maximale pour un humain par l’OMS et la FDA. Étant donné que ceux qui nous dirigent se sont abaissés jusqu’à faire de la souffrance humaine une politique criminelle avec ces injections COVID, la doctoresse Kayser se demande : « Comment pourrait-on encore avoir confiance dans leurs autres vaccins? » À l’instar du Dr Ochs, beaucoup de médecins se réveillent et pensent qu’il est temps de défendre les valeurs et les traditions de la santé publique. Sans être nécessairement antivaccin sur le fond, ils se disent prêts à suivre les ordres, mais qu’il va falloir à présent leur donner des preuves que les vaccins sont efficaces, et surtout qu’ils ne donnent pas plus de maladie ou plus de mortalité.
Même si ce crime contre l’humanité restera forcément dans les annales de l’Histoire, souvenons-nous que tout cela se passe sur le plan de l’énergie matérielle et que cette réalité ne saurait durer. Les joies et les peines de ce monde sont toutes passagères, rien ne dure bien longtemps ici-bas, ni la santé ni la maladie, tout passe comme les saisons qui défilent au fil des années. Par bonheur, il existe une autre réalité qui n’est nullement concernée par cette cruelle mascarade politico-médicale. Qu’elles soient de l’ordre de la médecine compromise ou qu’elles suivent un agenda cabaliste lié à une ingénierie de dépopulation mondiale, ces conditions vaccinales ne font que toucher un aspect temporaire de notre existence. Bien qu’elle soit bel et bien réelle, cette situation demeure toutefois éphémère puisqu’elle n’affecte que la partie visible de notre être, le corps physique. Cet aspect de nous étant voué inexorablement à la dissolution par les forces du temps, nous pouvons être certains qu’il n’est qu’illusoire et que la réalité de notre survivance dans l’univers se situe sur un autre plan d’existence.
Sous l’hypnose de l’éducation matérielle de la vie, nous vivons dans un immense mirage. Il est certain que c’est un mirage qui peut paraître monstrueux, il n’en reste pas moins que ce n’est qu’un mirage. Selon la sagesse des maîtres de l’évolution de la conscience humaine, il existe à l’intérieur de nous un autre plan d’existence bien plus réel. Ce plan n’est en aucun cas affecté par ce qui se passe aujourd’hui sur la Terre, ni dans le domaine de la santé publique, ni dans celui des conflits qui font rage à la surface du globe. On peut dire que ce plan d’existence abrite notre âme spirituelle. Le mot « âme » s’identifie à l’essence intérieure, la force vitale de chaque être vivant, végétal, animal ou humain, terrestre ou extraterrestre. L’âme est le témoin de notre conscience, ce quelque chose en chacun de nous qui ne meurt pas avec le corps et que nous devrions chérir le plus au monde. Si notre âme humaine est une particule atomique d’énergie, c’est qu’elle fait partie intégrante de l’Énergie Universelle. Il y a là quelque chose qui nous dépasse, et c’est par cette chose-là que nous existons. La vie étant pure énergie, elle ne peut pas mourir; la vie ne meurt pas de ce que le corps meurt, mais elle se débarrasse d’un vêtement pour en revêtir un autre plus ou moins lumineux. La vie fait ainsi de la mort une œuvre de régénération et affirme sa foi en l’immortalité. Et c’est une excellente nouvelle.
Ce n’est pas tant le monde dit « matériel » que nous devons condamner. La matière est une énergie créatrice qui jaillit elle aussi de la source unique d’où jaillissent également toutes les autres énergies, celles qui constituent la vie des êtres démoniaques comme celles qui font vibrer le cœur des archanges. Les ténèbres et la lumière trouvent leur origine à partir de la même fontaine absolue. Selon la proposition du Vedanta védique, en tant que particule atomique de conscience, nous faisons tous partie d’une substance énergétique suprême qui se situe au-delà du bien et du mal, au-delà de la paix et de la guerre comme au-delà de la vie et de la mort. Même si nous n’incarnons pas entièrement la substance infinie de l’Esprit divin, nous avons hérité d’une part de son éternité et de sa félicité. Et rien ne pourra jamais nous détruire en cette matière. Le corps peut être réduit en cendres, mais pas l’âme. Et tout au creux de notre être profond demeure la présence d’un Père Divin et d’une Mère Divine. Nous sommes fils et filles de ce couple sacré. Sur Terre, la multiplicité des aspects divins est une réalité remarquable et cette diversité est saturée de l’insondable énigme de l’amour infini. Ce niveau de conscience nous situe sur un plan d’immortalité spirituelle, et c’est sur ce plan que nous voulons observer la réalité du monde actuel, aussi bien en ce qui concerne la problématique de la santé publique que les menaces de guerre nucléaire avec lesquels on nous rebat constamment les oreilles. Ces bruits de guerre n’ont pour fonction que de nous garder dans la peur en nous éloignant de l’esprit divin et de la certitude des sécurités intérieures qu’il génère. Il ne s’agit pas de dire « je suis un membre de telle institution ou de tel groupement religieux ». Il s’agit de laisser la volonté de l’Être Cosmique Originel prendre les rênes de notre existence en désirant qu’il savoure notre dévouement jusqu’à la dernière goutte. Les noms des différentes religions ainsi que le dogme des multiples théologies sont accessoires. En étudiant les maîtres de la transcendance, toutes traditions confondues, on s’aperçoit vite que ce qui semble compter le plus dans l’évolution de l’âme humaine n’est pas de comprendre ce qui est, même pour eux, de l’ordre de l’inconcevable. Il s’agirait plutôt de ressentir l’amour que Dieu a pour nous et de laisser sa puissance immatérielle et inconditionnelle nous diriger; de la laisser nous guider par intuition de façon à saisir la courroie de nos jours, la corde de nos nuits, la chaînette de nos désirs et le cordon de nos pensées. Puis, du fond de notre âme, que nous puissions laisser l’Être Suprême maintenir notre regard dans la direction qu’Il désire nous voir prendre, afin qu’Il nous conduise là où Il pense que nous serions le plus utiles à Son bonheur, à l’endroit précis où nous pourrions lui prêter main-forte en plaçant notre force vitale au service de son entourage.
Est-ce encore une autre affaire religieuse? On peut penser ce qu’on veut, nos opinions n’ont plus beaucoup d’importance. Est-ce qu’on peut penser que Jésus-Christ a dit que Krishna était son père? Ou est-ce que Krishna a dit que Jésus-Christ était son fils? Le nom peut être différent, mais ce n’est pas ce qu’il y a de plus conséquent. Aux yeux des guides de ce plan de réalité sublime, l’esprit que ce nom représente semble compter bien plus que tout le reste. Sridhar Deva Goswami propose cet exemple : « Dans un certain pays, une fleur porte un nom, et la même fleur porte un nom complètement différent sur un autre continent. Mais la fleur reste la fleur. C’est toujours la même fleur et le sujet reste le même. Le nom n’est pas tout; nous pouvons appeler Dieu différemment selon la façon dont nous concevons la chose. Mais Dieu est Un, sans second. Nous pouvons lui donner des noms différents, mais Dieu ne peut pas être deux. Dieu est Un, quels que soient le nom et l’aspect qu’on lui donne ».
Devant l’urgence de la situation mondiale, à l’heure des révélations, en ces temps d’apocalypse et de génocide déclassifiés, publiés, documentés et prémédités par une poignée de pseudo dirigeants qui ne visent que la destruction de l’Occident afin de pouvoir tout reconstruire selon un programme de contrôle tyrannique (The Great Reset and the Rise of the Lucifer’s Race), en ces temps de la fin d’un monde tel que nos grands-pères et nos arrières grands-pères l’ont bâti et l’ont connu, que nous reste-t-il à perdre? Rien du tout. Nous n’avons plus rien à perdre, car s’il nous faut perdre notre âme, nous aurons tout perdu. Le temps est venu de parler à Dieu face à face, de lui avouer les problèmes de nos âmes les yeux dans les yeux, de le chercher, de faire nos propres investigations, de procéder à nos propres enquêtes sur le sens réel de l’existence, de se mettre en quête de ceux et celles qui peuvent nous renseigner à ce sujet. Permettons-nous de faire cette expérience dans le silence du cœur : invitons l’Être Suprême dans les jardins secrets de notre âme. Cela restera entre Lui et nous. Il est déjà là, mais il attend que nous l’invitions, car Dieu est une personne d’une infinie politesse. Il respecte notre liberté. Il ne s’imposera pas. On risquerait même de s’égarer pour longtemps en voulant à tout prix qu’Il soit comme nous voudrions qu’Il soit, ou comme on nous dit qu’Il doit être. Ce serait une perte d’énergie d’insister pour lui imposer les couleurs de telle ou telle révélation. Dieu est de toutes les traditions parce qu’Il ne peut pas ne pas être le Tout Complet et Absolu, incluant tout, imprégnant tout et attirant tout vers Lui, comme notre Krishna le fait par sa beauté, son charme et sa grâce immotivée, comme notre Christ le fait par son empathie et son sacrifice, comme notre Bouddha le fait par sa compassion. Sinon, de Quoi, ou de Qui parle-t-on? Ce qui est réel, c’est que quel que soit le chemin sur lequel l’Esprit Divin nous fait signe, quelle que soit la voie sur laquelle Il nous pousse, nous pouvons au moins essayer de le suivre sur cette route divine quoi qu’il puisse nous arriver.
Vacciné ou non-vacciné, là n’est plus la question. Que le monde vive en paix ou bien sous les bombes et dans la plus grande pénurie, là n’est pas la question non plus. N’avons-nous pas observé notre propre défaite devant les forces inéluctables de l’espace-temps comme tout être humain est appelé à le faire tôt ou tard? Ne savons-nous pas à quel point nous avons servi la peur, l’anxiété, les soucis, le chagrin, et à quel point nous sommes devenus parfois l’esclave de nos pulsions animales? Ne sommes-nous pas conscients de notre propre faiblesse humaine? Ne savons-nous pas à quel point nous pouvons oublier nos propres sacrilèges et se croire au-dessus des lois de la vie et de l’amour?
En tant que civilisation, il serait sage de commencer à explorer la nature de notre relation avec l’esprit de toutes les cohérences. Quelle est notre relation avec cette force invisible que nous ressentons tous, consciemment ou non, et qui représente la personnification de la force vitale absolue? À l’heure transformationnelle à laquelle les hommes de ce monde sont arrivés, il serait sage de se préparer de toute urgence au grand passage vers l’infini. Dans un témoignage incandescent, où chaque mot brûle littéralement du feu sacré de l’intérieur, l’auteure Marie de Fiesole écrit : « Il ne s’agit pas de dire Je veux cheminer dans telle ou telle voie, mais Je veux être la proie de l’amour et me laisser poser là où il m’emmènera ». Et si c’était vrai? Si aimer l’amour, c’est aimer entendre chanter sa partie divine pour la mettre au service de la source infinie des énergies divines? Si c’est vrai, alors c’est garanti : nous trouverons enfin le bonheur là où l’amour nous emmènera.
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