Le malaise en politique
Je vous présente ma chronique en vidéo : https://youtu.be/2QmoNxE9Xx0
Existe-t-il une solution pour guérir la politique?
Non! Il n’en n’existe pas! On peut cependant demander aux gens d’être plus sympathique envers ceux qui décident de vouer leur vie à rendre service à la population. Peu importe le parti, les gens qui se lancent en politique ont une intention commune : de bien faire leur ouvrage et de leur mieux pour aider la communauté.
Si la politique devient trop difficile, en ce qui a trait au sacrifice de soi et de sa famille, ou de l’atteinte à ta personne quand tu fais de ton mieux, les gens ne voudront plus se présenter pour se faire élire. Ça menace drôlement la démocratie.
Dans cette chronique, je vous expose ce qui se passe dans le Parti québécois. Je souligne les 100 ans de l’anniversaire de naissance de René Lévesque, alors que Lucien Bouchard préside le comité. Je vous parle de sa sortie dans les médias récemment, de la lettre publique que la sœur de René lui a écrite, de ce qui se passe au sujet des enjeux actuels au PQ, et des difficultés que le parti a toujours vécues.
Nous parlons aussi du phénomène de la CAQ, avec le renfort souverainiste que François Legault est allé chercher avec Caroline St-Hilaire et Bernard Drainville en tant qu’alliés de son équipe. J’y vois là la nouvelle version du nationalisme qui s’installe de plus en plus fort, avec le projet de faire un pays du Québec, une option qui plane encore au-dessus de nous.
Il y a une véritable solution qui pourrait corriger bien des malaises. Si nous prenions chaque représentant de chaque parti, et que les cinq candidats travailleraient ensemble pour les électeurs de leur comté, il y aurait beaucoup d’idées concrètes et applicables facilement sur le terrain, qui aiderait beaucoup les citoyens. L’union fait la force.
Au plaisir!
Yvon
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