L’EXTRATERRESTRE ET SA FABULEUSE ÉNERGIE

L’EXTRATERRESTRE TIRE SA FABULEUSE ÉNERGIE D’UNE SOURCE QUI NOUS EST INACCESSIBLE. ET JE SAIS COMMENT ILS FONT.

Nous sommes aux extraterrestres ce que les premiers utilisateurs du pétrole sont aux ingénieurs de la NASA. Il y a plus de 6000 ans, les hommes utilisaient le pétrole brut à divers usages liés au calfatage des coques de bateaux puis à son utilisation comme arme mortelle sous le nom de feu grégeois et comme combustible pour se chauffer et s’éclairer.

Il faudra attendre le 19ème siècle avec l’arrivée de l’ère industrielle pour que le pétrole devienne l’essence, le gaz, le propergol, le kérosène qui propulsent à peu près tout ce qui bouge sur le sol, sur la mer et dans les airs. Nous en sommes toujours là.

On veut utiliser l’électricité, l’hydrogène, mais d’aucune façon nous ne pouvons harnacher d’autres énergies provenant pourtant de sources tout aussi naturelles.

Que sont ces énergies que des civilisations extraterrestres doivent utiliser depuis belle lurette et dont leurs enfants doivent se moquer de nous un peu avec nos grosses fusées ? Réponse : Le flux cosmique.

Question : C’est quoi ça ? Réponse : Un rayonnement cosmique, une sorte de courant jet dans l’espace, mais constitué non pas d’air évidemment, mais de particules très puissantes et de noyaux atomiques.

Fidèle à mes habitudes, je vais tenter de vulgariser le tout. Mais la fin de mon article va demeurer un peu compliquée parce que ça ne vient pas d’ici.

Premier point oui, ce flux cosmique atteint la Terre, il traverse cette dernière et tout ce qui s’y trouve, mais sans aucun effet mortel, incapacitant ou autre. C’est comme si rien n’était.

Vous n’avez pas oublié votre cours de science ? L’atome est constitué d’un centre appelé neutron, de protons et tout autour tournent les électrons.

Ce flux est constitué plus précisément de protons dans une proportion de 88% et de noyaux d’hélium (9%), antiprotons, électrons, positrons et particules neutres rayons gamma, neutrinos et neutrons).

Il vient d’où ce flux cosmique ? En gros des étoiles, dont notre Soleil qui, doit-on le rappeler, est une étoile, et de divers endroits dans notre galaxie, mais aussi en-dehors d’elle. Le flux cosmique est comme la Force décrite par Obi One Kenobi. Elle est partout et n’est jamais immobile.

Les scientifiques ne savent pas encore avec exactitude ce qui crée cette puissance, mais certaines des particules du flux cosmique développent 10 à la puissance 20 d’électron volt ou eV. On n’a pas découvert tout cela il y a des centaines d’années. Cela remonte à 1900 quand Charles Wilson note l’ionisation de l’atmosphère, mais il l’attribue à la Terre.

C’est en 1912, quand Victor Hess et Robert Millikan en font la découverte avec des expériences avec des ballons lancés dans l’espace, qu’ils découvrent en fait que l’ionisation de l’atmosphère vient de ce flux cosmique. Ils vont rafler le Nobel de Physique de 1936, mais il faudra attendre ma naissance pour que tout cela se confirme. À tout le moins 1950, l’année de ma naissance. Restons humbles.

Le plus grand obstacle encore à ce jour est d’observer de très près ce flux. Une partie des rayons cosmiques est piégée par le champ magnétique terrestre et participe à la formation des ceintures de Van Allen.

Pourquoi ne sommes-nous pas tous grillés, miniaturisés, dématérialisés, irradiés, calcifiés ? Parce que les rayons galactiques ou extragalactiques peuvent nous traverser, interférer avec l’ADN, traverser la roche et les bâtiments et profondément pénétrer les sols et sous-sol planétaires. Ils contribuent, à hauteur de 14 %, à la radioactivité naturelle totale de la surface de la Terre.

Dans L’origine des rayons cosmiques est résolue… ou presque de Mathilde Fontez (2017), on lit : « Les particules les plus énergétiques proviennent de l’espace interstellaire et intergalactique. Une partie de ces particules est déviée par le vent solaire — à l’origine des aurores boréales — qui apporte pour sa part essentiellement des ions et des électrons.

En 2017, les premières confirmations de l’origine géographique du rayonnement haute-énergie sont données par la publication du résultat de 12 ans de mesures faites depuis 2004 à l’Observatoire Pierre-Auger à Malargüe en Argentine. Ce rayonnement est clairement extragalactique, venant de galaxies situées dans une partie de l’espace située au-delà des confins de la Voie Lactée. L’observatoire a en effet capté et étudié environ 30 000 rayons présentant des énergies dépassant 8 × 1018 électrons-volts. »

Comme vous le verrez plus loin, ça confirme ma théorie.

« L’étude de la distribution de leurs entrées dans l’atmosphère a fini par mettre en évidence un motif situé à l’opposé de la direction de la Voie lactée. Ce flux émanerait donc d’un excès de galaxies situé à une centaine de millions d’années-lumière. »

En d’autres termes, l’espace est loin d’être neutre, inactif, vide et inutile. Des rayonnements de toutes natures et de toutes origines sont quasi éternelles si on considère que certaines ont parcouru des millions d’années-lumière et sont là pour être étudiées et… utilisées.

Pourquoi ne fait-on rien avec cette abondance d’énergie inépuisable? Parce qu’il faudrait la comprendre et savoir exactement comment elle peut servir, à l’égard de quelle technologie. Il faudrait inventer une technologie avec laquelle utiliser le flux cosmique, mais pour ce faire il faut maîtriser ce flux cosmique. C’est un catch 22.

Ramenons-nous aux hommes de l’Antiquité qui devant la poix, le nom qu’ils donnaient au pétrole, ne s’en servaient que pour rendre la coque des bateaux imperméables. Imaginons que nous sommes « leurs extraterrestres » et qu’ils veulent savoir comment fonctionnent nos fusées.

Il faudrait leur expliquer dans un premier temps comment nous construisons un moteur à propulsion, à réaction, avec tout ce que cela comporte en termes de connaissances d’ingénierie de mobilité. Déjà là, leur ignorance de tout cela mettrait fin aux tentatives d’explications. Ce n’est pas une question d’intelligence, mais de connaissances. Puis il faudrait leur enseigner à séparer les molécules du brut par distillation atmosphérique à la pression atmosphérique normale, en fonction de leurs poids moléculaires. Pour cela, il faut chauffer le pétrole à 350/400 °C dans une tour de distillation de 60 mètres de haut, appelée aussi topping.

C’est beaucoup plus complexe, mais je ne vais pas y passer la nuit.

Les résidus lourds issus de cette distillation renferment encore beaucoup de produits de densité moyenne. On les soumet, dans une autre colonne, à une seconde distillation qui permet de récupérer plus de produits moyens dont le fioul.

Puis la proportion d’hydrocarbures lourds reste encore trop importante. Pour répondre à la demande en produits légers, on « casse » ces molécules lourdes en deux ou plusieurs molécules plus légères. On le fait en appliquant le tout à 500 °C, avec un catalyseur et 75 % des produits lourds soumis à la conversion sont ainsi transformés en gaz, essence et gazole. Mais ça aussi n’est pas simple.

Finalement, les procédés d’amélioration consistent à réduire fortement ou éliminer les molécules corrosives ou néfastes à l’environnement, en particulier le soufre. Cela se fait à 370 C sous une pression de 60 bars et en présence d’hydrogène dont l’action consiste à extraire la plus grande partie du soufre organique que l’on retrouve sous forme de sulfure d’hydrogène (H2S). D’où l’odeur pestilentielle autour des raffineries.

C’est plus compliqué encore pour le kérosène, le butane et le propane. Aucun homme, aussi intelligent fut-il il y a 6000 ans, ne comprendrait un mot de tout cela.

Il en irait de même de nos gens de la NASA si des extraterrestres devaient leur dire comment ils font pour dompter et harnacher le flux cosmique. C’est ça que vous devez retenir. Mais ça reste possible, faut me le demander !

Je vais être un peu baveux. Ce qui suit est ma théorie. Elle est basée sur ma compréhension des observations remarquables faites notamment par un militaire français des années 60, le génial Lieutenant Jean Plantier. Mais aussi par des échanges harmonieux que j’ai eus dans mes propres cours à mon École Invisible. J’ai appris à voler, à distendre la matière, à faire des tas de trucs amusants alors que j’étais sur un monde dont l’atmosphère était jaune. J’en ai parlé en 2015, mais dans l’indifférence générale.

Puis j’ai gradué et j’ai atteint d’autres niveaux dont ma connaissance d‘un matériau qui n’existe pas ici et qui s’appelle l’éleutherium, une dérive latine du mot liberté. Puis « on » m’a envoyé en Vols de Nuit étudier les émors. Les émors sont des éléments monoatomiques orbitalement reconfigurés et sont mieux connus dans l’anglais sous le terme ORME. D’origine alchimique, l’émor est considéré comme un état M (ou state M) de la matière avec des propriétés extraordinaires. Ce sont des supraconducteurs naturels, à champ magnétique nul, repoussant également les pôles magnétiques nord et sud.

Oui, ça, c’est très compliqué. Cette substance peut aussi devenir invisible, échapper à notre perception classique de l’espace et influer sur cette dimension de l’espace-temps.

Si vous chauffez notre iridium reconfiguré à 850 degrés Celsius, celui-ci disparaîtra et perdra tout son poids. Lorsque la température baissera à nouveau, il réapparaîtra et retrouvera la majorité de son poids antérieur. Je n’ai toutefois pas assisté à cela. N’étant pas ingénieur destiné à fabriquer un vaisseau, j’étais là pour comprendre et éventuellement révéler. C’est ce que je fais, une fois de plus comme toujours depuis toujours et sans doute dans l’indifférence générale, mais bon.

L’équivalent de leur iridium est des centaines de fois plus sensible. Leur méthode par flux cosmique est plus efficace et les effets vont à l’infini sans qu’aucune chaleur excessive ne soit nécessaire. Les émors extraterrestres sont fabriqués depuis la quatrième dimension et possèdent des attributs de supraconductivité au-delà de tout ce qui existe dans notre dimension et à des températures normales, ils lévitent.

Oui je sais, très compliqué. Mais, essentiellement, retenez qu’en partant du principe qu’il est possible d’appliquer à chacun des émors dont ils se servent pour fabriquer l’éleuthérium une énergie quelconque, ils peuvent utiliser cette même énergie pour propulser le vaisseau, mais aussi pour un tas d’autres utilisations.

C’est ça le plus important. Ils savent harnacher des particules du flux cosmique, modifier des particules et s’en servir. Nous, on ne peut pas faire ça. Nous sommes encore une espèce humaine très ignorante, on préfère le carburant !

Le rayonnement cosmique se déplace à la vitesse de la lumière. Lorsqu’ils l’intègrent aux particules d’éleuthérium, ils peuvent en contrôler l’influx. Ils peuvent ainsi se déplacer à vitesse très lente puis atteindre des vitesses très proches de celle de la lumière. Lorsqu’un déplacement superluminique est nécessaire, ils traversent un portail inter-dimensionnel et un autre pour réintégrer la Tridi ( 3 dimensions) à l’endroit désigné.

Traverser la galaxie ne prend alors que quelques minutes, la vitesse de la lumière étant nettement insuffisante pour leurs besoins. L’éleuthérium est directement impliqué dans la propulsion des vaisseaux extraterrestres.

Plantier le savait, mais personne ne l’a écouté. Il expliquait le plus simplement du monde que dans tout volume donné, ils appliquent une force proportionnelle à la masse de chacune des particules qui devient une énergie orientable et modulable à volonté. Ils utilisent alors un pourcentage de particules données, dont la fonction attribuée touche effectivement la propulsion. Mais outre la propulsion, on doit se souvenir des cabrioles, des virages, des accélérations et des décélérations extrêmes et qui devraient tout détruire à l’intérieur du vaisseau, sans parler de l’antigravité. C’était ça, mon questionnement de jeune ufologue à l’époque.

Quand l’auto prend un virage sec, je suis projeté sur la portière et à 60 kilomètres heure ça va, mais à 60,000 kilomètres heure ? En plus, ils peuvent naviguer dans un silence absolu à grande vitesse dans l’atmosphère d’une planète, développer un champ de force dont la résistance à tous les types de chocs n’a aucune équivalence sur la Tridi et peuvent même changer d’aspect.

Nos scientifiques connaissent les rayonnements cosmiques aux condensations d’énergie de 10 à puissance 16 électrons volts, soit 100,000 fois l’énergie que donnerait la « sublimation » d’un noyau d’uranium. Les extraterrestres, eux, de ce que j’ai assimilé comme données, utilisent une forme de rayonnement cosmique dont la condensation d’énergie atteint 10 à la puissance 98 et plus. Ils puisent à même l’espace, le flux naturel et inépuisable, et le font par intrication, c’est-à-dire que ce qui est commandé à un point donné, peut être exécuté à des distances considérables.

Les expériences de nos scientifiques n’excèdent pas 1400 de nos kilomètres. Les extraterrestres excèdent ce nombre par dix mille, mais dans la Quadri elle est sans limites. Ils utilisent un procédé de libération de cette énergie qui rayonne sous forme de fluide « corpusculo-ondulatoire » mesurable dans leurs femtosecondes à travers tout le vaisseau et tout ce qui s’y trouve, dont l’équipage et les passagers, tout ! Oui, il n’y a pas que le vaisseau qui soit chargé d’éleuthérium modifié, mais tout ce qui s’y trouve, vivant ou non-vivant. Il est là le secret.

Ce fluide impose à chaque atome d’éleuthérium une force dirigée dans le sens de l’écoulement. Ainsi, elle est due à une capture directe de l’énergie, déclenchée sur commande sur le vaisseau et sur tout ce qu’il contient qui, imprégné de ce fluide, suit dans sa course le rayonnement cosmique devenu orientable.

Vous suivez ? C’est cette partie qu’il faut comprendre.

Quand le vaisseau accélère, tous ceux qui sont à bord n’en subissent pas les effets comme lorsqu’une voiture accélère. Pas de force G parce que dans un véhicule ordinaire, c’est lui qui se déplace et les passagers subissent sa vitesse, mais si une collision survient avec un obstacle, les passagers sont projetés violemment à l’extérieur, alors que dans le vaisseau, quand celui-ci accélère, les passagers et le conducteur accélèrent eux aussi parce qu’ils sont imbibés par la même matière réceptrice d’énergie, les particules d’éleuthérium. Les passagers et l’équipage et tout ce qui se trouve dans le vaisseau DEVIENNENT LE VAISSEAU.

L’éleuthérium en eux, même en petite quantité, répond à la même commande que celle adressée au vaisseau, donc au risque de se répéter, quand le vaisseau s’arrête, tout à bord, au niveau atomique, s’arrête. C’est la raison pour laquelle certains humains « enlevés » sont traités pour pouvoir voyager dans leur vaisseau. Ça explique bien des choses dont les blackout, la mise en sarcophage, etc. Lorsqu’un grand nombre d’humains se trouvent à bord pour une courte durée, le vaisseau est alors immobile ou se déplace à vitesse réduite, comme un avion de ligne, sans plus.

Voilà ! Il s’agissait de me le demander, ce que jamais personne n’a fait, alors je l’ai fait moi-même.

Bye !

 

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