OÙ LA VIE SPIRITUELLE EST-ELLE INSCRITE?
(Vie Spirituelle et Matière)
La vie spirituelle est une vie inscrite dans l’atome central du noyau du neurone qui est placé au centre du lobe frontal.
Qu’est le neurone spirituel et quelle est sa fonction?
Ce neurone est une antenne dressée vers l’énergie qui contient toute la spiritualité de l’Esprit Infini. Cette antenne est constituée d’ondes magnétiques plus courtes que toutes celles connues de la science moderne terrestre. Ces ondes montent dans l’espace à une vitesse de milliards de fois plus grande que celle de la lumière. Elles pénètrent dans l’espace énergétique bleu cherchant à syntoniser les ondes spirituelles de même longueur qu’elles.
Lorsque l’accord est fait, les ondes spirituelles s’unissent à celles du neurone et reviennent influencer tous les neurones frontaux. Ceux-ci, sous cette influence, commandent une infinité de réactions neuroniques qui font naître des pensées d’ordre spirituel, d’où résultent des paroles et finalement des actes qui traduisent l’influence reçue.
La spiritualité est impalpable mais elle a comme siège, chez l’homme, cet atome du neurone frontal, ce petit grain de matière si hautement évolué qu’il peut entrer facilement en relation avec l’énergie de l’Esprit Divin. Cette énergie, comme puissance, est infinie, et comme spiritualité, elle est Dieu lui-même.
Que faut-il pour que le neurone puisse entrer en activité?
Pour que ce grain de matière puisse entrer en activité, il doit être entouré de milliards de neurones finement ramifiés afin qu’il y ait conscience de cette activité et de l’influence de l’énergie spirituelle qui provoque des sentiments et des pensées d’un ordre supérieur à celui des préoccupations matérielles.
Par ce neurone, l’homme est récepteur de cette puissance qui le rend militant dans l’œuvre évolutive des êtres intelligents et possédant un esprit immortel.
Que faut-il savoir avant de comprendre ce qu’est la pensée spirituelle?
Pour expliquer ce qu’est la pensée spirituelle, il faut expliquer ce qu’est la pensée spirituelle et l’instinct des êtres inférieurs.
Or, le premier ultimaton qui commence à s’unir à d’autres ultimatons donne le premier schéma de matière future qui s’élabore au cours des cycles innombrables par lesquels elle passera avant de réaliser son destin.
Ce premier schéma est transmis à l’électron qui, en se modelant sur le plan ultimatomique, y ajoute des données qui guident la division des ultimatons positifs d’avec les négatifs, car il y a une sélection et une hiérarchie à respecter dans cette division que dicte la matrice de l’électron primaire.
Le noyau se forme en commençant par l’ultimaton directeur qui déclenche la première réaction, et les autres suivent dans l’ordre indiqué par ce chef de file.
Les ultimatons positifs s’alignent toujours les premiers dans la formation d’un électron primaire, puis les négatifs suivent dans le même ordre. D’ailleurs, cet ordre sera observé dans toute l’élaboration de cette matière, suivant le plan initial du premier ultimaton. Les ultimatons négatifs deviennent, après cette division, les négatifs connus de la science terrestre.
Mais pour équilibrer le noyau alors positif, d’autres électrons primaires viennent s’unir à ceux du noyau, mais en ordre inverse, de manière que le premier positif voisine avec le dernier primaire. On appelle alors ces deux espèces d’électrons, les protons et les neutrons.
Les électrons négatifs divisent leur nombre d’après l’équilibre que demande le plan contenu dans le noyau. Ces électrons, d’après l’ordre des ultimatons qui les composent, se mettent à tourner autour du noyau à une distance égale à la force énergétique des protons et des neutrons de la masse centrale. Et cela sur un ou plusieurs cercles selon le nombre de constituants du noyau, nombre limité d’ailleurs par les indications du schéma.
L’atome est alors formé; il ajoute d’autres données au plan et fabrique une nouvelle matrice. Les atomes s’assemblent. Les uns avec leurs semblables, les autres avec d’autres au noyau différent, mais obéissant tous à des données qui demandent cette union.
À ce stade, différentes formes de matière sont mises en action et elles continueront de s’unir jusqu’à un nombre infini de combinaisons qui, pour certaines formes, resteront simples, même à une seule espèce d’atomes, et pour d’autres, elles iront jusqu’à posséder la plupart des éléments provenant de tous les arrangements initiaux d’ultimatons.
L’image complète d’une matière quelconque, si complexe soit-elle, est toujours imprimée dans l’atome directeur. De plus, chaque élément qui compose cette matière a son plan spécifique qui fait garder l’équilibre à tous ses composants.
Lorsque cette matière a été conçue pour devenir animée, elle porte, dès le premier arrangement des ultimatons, le code qui la conduira soit à la vie végétale, animale ou humaine.
Un code devant aboutir à une vie sensitive contient déjà les données de l’instinct qui pousse chaque cellule à défendre son existence, son intégrité et l’espèce de l’être auquel elle appartient.
La cellule de la plante est organisée pour vivre des rayons du soleil, de l’eau et du sol où cette plante plonge des racines pour y puiser les éléments nécessaires à sa croissance, car survivre seulement n’est pas le contenu complet du code puisqu’il doit y avoir toujours évolution dans un domaine quel qu’il soit: matériel, intellectuel et spirituel.
L’instinct est cet appel logé dans la partie la plus ancienne de la cellule et qui remonte au premier ultimaton.
Cet instinct peut être perturbé et ne plus répondre au code de son espèce; il peut même dévier complètement de la ligne d’évolution primitive, pourtant bien gravée dans le modèle de cellule dite directrice. Le plan d’un être inférieur est plus facile à modifier que celui d’un être supérieur car sa matière obéit plus facilement aux contingences qui l’oppressent. Le plan directeur d’un être inférieur possède différentes options que le milieu lui fera choisir pour lui permettre de survivre et d’évoluer malgré tous les obstacles qui parfois le retarderont énormément.
Le plein développement de l’être physique est atteint quand les données du plan sont réalisées. Cependant, cela ne peut se produire que dans l’ordre physique, et jamais dans l’ordre intellectuel et spirituel, puisque dans cet ordre le plan n’a de limite que dans le lieu où il a été conçu, c’est-à-dire dans l’énergie suprême, Dieu.
Ce qui est vrai pour la survie des êtres inférieurs l’est davantage, c’est-à-dire d’une exactitude encore plus grande et d’une montée plus impérative pour les êtres supérieurs, et surtout ceux qui possèdent une intelligence et une volonté libre. L’instinct demeure toujours, certes, chez les êtres supérieurs mais beaucoup d’entre eux sont soumis à l’intelligence et à l’esprit.
Le neurone directeur du cerveau de l’homme est exigeant pour l’exécution du plan spécifique que contient chaque cellule pour l’entretien de la vie de la matière diversifiée qu’elle est chargée de protéger, guérir et renouveler si nécessaire.
Ce neurone pilote transmet intégralement les données contenues dans son noyau au moyen de filets entrecroisés qui portent les informations aux neurones du lobe frontal. Ceux-ci les communiquent à leur tour à ceux de l’hémisphère gauche, puis à ceux du cervelet, à la moelle épinière et aux ganglions de matière nerveuse échelonnés aux endroits stratégiques de l’organisme, de là aux cellules organiques au moyen d’une grille très fine qui les pénètre profondément. Ces informations déclenchent l’énergie de la cellule qui, obéissant aux messages, se met à construire, réparer et guérir ce qui est déficient, ou redonner plus de vie à ce qui est parfait.
Alors, comment expliquer la naissance et la mort des cellules?
Cette question demande l’explication du processus de l’évolution qui est connu des savants terrestres dans son déroulement mais dont les causes profondes ne le sont pas.
L’évolution est un mécanisme qui obéit à une direction suprême qui a tracé le plan dans l’énergie primaire de toute éternité. L’énergie divine prépare sa condensation au moyen de forces qui se dégagent d’elle et qui commencent à ralentir la vitesse de ses vibrations énergétiques afin qu’une condensation puisse se faire et amorcer ainsi le premier stade de la matière.
Le plan complet de la grande Œuvre est déjà inscrit dans les premiers grains de matière obtenus par le ralentissement des vibrations, et même les réalisations lointaines y sont déterminées.
Aucune transformation de la matière n’est due au hasard mais le cadre de l’exécution de ce plan est large et il y a place à l’intérieur à une certaine liberté pour la matière de s’engager dans telle ou telle direction que le milieu favorise le mieux. Le plan est d’autant extensible que la matière est simple et que les conséquences ne brisent pas l’équilibre au point de compromettre le succès final de l’évolution.
La destruction de la matière dite inanimée n’en est pas une, mais simplement une transformation prévue dans l’évolution du tout. Il en est de même pour la matière animée mais à un degré différent.
Les êtres vivants unicellulaires ne servent qu’à réparer la création d’êtres plus organisés; à chaque fin d’un être unicellulaire, il y a une parcelle d’évolution de réalisée. Cet être sera remplacé par un ou plusieurs autres semblables, mais pas tout à fait puisqu’il y a renaissance, donc avancement dans l’édification de l’œuvre universelle. La matière de cet unicellulaire ira enrichir les éléments physiques qui serviront plus tard à l’évolution d’êtres intelligents, à l’âme immortelle, qui viendront prendre place comme des créatures maternelles haussées par leur volonté jusqu’à la lumière éternelle de Dieu.
Qu’en est-il pour les êtres plus complexes?
Il en est de même pour les êtres plus complexes. Le neurone directeur contient le plan de cet être mais ne devant durer qu’un maximum de jours ou d’années. Le cadre de ces êtres est moins large que celui des unicellulaires. C’est pour cela qu’ils peuvent mieux se défendre contre leurs ennemis car leur disposition trop rapide créerait une faille dans la structure de l’édifice qui détruirait l’équilibre d’un monde qui doit donner ce qu’il faut pour répondre aux aspirations des êtres intelligents.
Et pour les animaux supérieurs?
Les animaux supérieurs n’échappent pas non plus à la disparition, mais leur neurone directeur porte un plan de vie qui doit durer beaucoup plus longtemps que celui des êtres moins évolués, c’est-à-dire ayant un système nerveux moins complexe, donc à la résistance moins grande et aux moyens de défense moins coordonnés.
Comment l’équilibre vital se maintient-il?
Ce n’est que par le remplacement constant de la vie végétale et animale que se fait l’évolution de la matière, en se transformant en richesses utiles à l’homme, en produisant de nouvelles plantes plus assimilables et plus appropriées aux besoins des humains.
Certains êtres cessent d’évoluer, quelle en est l’explication?
Plus un animal est évolué, moins le milieu a d’influence sur la transformation de ses organes. Cependant, il y a des êtres peu évolués qui sont fixés dans leur structure depuis des millions d’années. Ces êtres ont atteint leur plein développement, c’est-à-dire celui inscrit dans le plan de leur espèce.
Comme ils sont utiles à ce stade, le schéma n’a donné que ce tracé qu’ils ont réalisé depuis longtemps. Il y en a d’autres, au contraire, qui ont développé leur taille démesurément; ils ont fait éclater le cadre inscrit dans le neurone directeur. Ce dépassement du plan a laissé le champ libre aux forces vitales qui ont multiplié la matière à l’aveuglette puisqu’il n’y avait plus de jalons pour marquer les limites à la prolifération de la vie. Cette anarchie a signé la disparition presque complète de leur espèce. Ce dépassement de cadre s’explique par la flexibilité de la matière vivante dans un organisme encore insuffisamment dirigé par des cellules nerveuses, dont le nombre n’est pas assez grand pour innerver adéquatement toutes les cellules.
La suite à suivre !
Bonne prise de conscience !
****Ronald a l’autorisation de diffuser les connaissances du livre Sciences cosmique d’Adéla Sergerie.
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