PRENDRE LA RESPONSABILITÉ DE SOI

« Le germe n’est rien, le terrain est tout », affirmait le médecin, chimiste et pharmacien français Antoine Béchamp au début du XXe siècle dans le débat qui l’opposait à Louis Pasteur. Chaque fois que j’ouvre la télé, je constate, et particulièrement en ces temps troubles de peur mondiale, que Pasteur l’emporte toujours haut la main. Avec sa théorie des microzymas, Béchamp a toujours recueilli l’appui d’une minorité de scientifiques. À la suite de travaux expérimentaux et d’observations, il avait en effet émis l’hypothèse que toute cellule animale ou végétale est constituée de petites particules capables, sous certaines conditions, d’évoluer pour former des bactéries qui continueraient à vivre après la mort de la cellule dont elles proviendraient. En résumé, Pasteur n’accordait que peu de crédit à la bonne santé d’un organisme dans la résistance à la maladie tandis que Béchamp y voyait une origine interne. Pour un homme de « terrain », celui-ci a même un « champ » dans son nom!

Oui, le débat est toujours ouvert. Pourtant, tout agriculteur dira que la récolte sera d’autant plus abondante que le sol est fertile et bien arrosé, riche en micro-organismes et en oligo-éléments. Aujourd’hui, nous avons dans le coin gauche le méchant et sournois coronavirus et sa cohorte de victimes, et dans le coin droit, la prise en main par chacun de nous de sa propre santé.

Remarquez, le portrait quotidien brossé par les autorités donne bien malgré elles raison à Béchamp bien que toute l’offensive médico-pharmaceutique s’inspire de Pasteur. Même l’ensemble des consignes sanitaires obéissent à ce principe voulant que la menace soit essentiellement extérieure, comme un peu dans nos sociétés d’ailleurs. C’est le cas du cancer qui nous « tombe dessus » sans crier gare, accompagné de la sempiternelle question « Pourquoi moi, qu’est-ce que j’ai fait pour mériter cela? » Pourtant, quand j’observe cette grande majorité de gens qui ne connaissent pas — ou peu — les lois qui régissent leur corps ainsi que ses besoins en nutriments, et qui de ce fait commettent chaque jour des entorses à la nature, je suis étonné qu’il n’y ait pas davantage de malades. La résistance du corps ne cesse de me surprendre.

Je disais donc que dans le bilan quotidien qui nous est servi, on voit bien que l’argument du « terrain » l’emporte car l’immense majorité des décès se compte parmi les plus âgés de notre société, soit ceux dont la résistance est la plus faible et, comme le répète le Dr Christian Tal Schaller, qui affichent un haut degré d’intoxication, occasionnant ainsi de multiples atteintes chroniques souvent simultanées. Dans nombre de cas, ce n’est même pas le Sars-Cov 2 qui tue, mais un système immunitaire qui s’affole, d’où moult manifestations inflammatoires, notamment une micro-coagulation généralisée dont on dit qu’elle est d’un type rarement observé jusqu’à maintenant. En revanche, parmi les sujets en bonne santé, et encore plus chez les enfants d’un bas niveau d’intoxication, la maladie passe souvent quasiment inaperçue…

Je suis en mesure d’évaluer constamment la différence entre la norme des personnes de mon âge — je suis né en 1952 — et ma réalité physique. Je rappelle que depuis près de trois décennies, je fouille sans arrêt pour approfondir les secrets du corps humain. J’ai notamment reçu au cours de cette période une centaine d’irrigations du côlon (j’en ai maintenant environ une par année), thérapie que j’avais adoptée à l’époque pour régler en un mois un problème d’eczéma tenace qui me rongeait les mains.

Sans flirter avec les extrêmes en matière d’alimentation, je fais attention à ce que je mange, je prépare mon propre lait de chanvre et mes germinations. Je bois en abondance une eau de source en bouteilles réutilisables de 18 litres contenant une quantité minime (35 ppm) de minéraux dissous, je la fais tourner pendant quelques minutes en vortex à basse vitesse dans un mélangeur pour l’oxygéner, lui redonner vie et en abaisser la tension de surface afin d’accroître son taux d’hydratation cellulaire. J’ajoute à cela ce dont j’ai déjà parlé, soit 10 grammes d’acide ascorbique (en ascorbates) par jour depuis 15 ans et une quantité équivalente de soufre organique (OptiMSM). Parmi ses multiples vertus (elle est d’abord un incomparable donneur d’électrons), la « vitamine » C (en réalité un dérivé du glucose) prévient la désagrégation progressive du si précieux collagène, protéine fondamentale de la structure du corps humain et dont l’effondrement est illustré par l’état physique de beaucoup d’aînés. Et on appelle ça le vieillissement…

Quant au soufre organique, j’ai déjà expliqué qu’il est un vecteur indispensable d’oxygénation et de perméabilité cellulaires sans lesquelles l’organisme ne fonctionne pas normalement. Finalement, après six mois de cure de silicium organique G5, j’ai dit adieu à certains malaises lombaires, même sans les étirements dont j’avais auparavant besoin (néanmoins souhaitables). Mon corps semble plus fort et résistant, ce qui est loin d’avoir été le cas dans les dernières décennies.

Par conséquent, à bientôt 70 ans, je vis dans une réalité physique dénuée de malaises qui me permet de faire tout ce que je pouvais accomplir à 30 ans, et même m’exprimer comme gardien au hockey contre des joueurs de 20 ans, sans fatigue ni douleurs (je ne sais trop quand nos matchs vont reprendre!). Je ne consomme aucun produit pharmaceutique, je ne me souviens même pas de mon dernier mal de tête tellement il remonte à loin dans le temps… Je suis mince à vie, mon poids étant stable depuis un demi-siècle, et ma tension artérielle avoisine 120/80. Et mon état continue de s’améliorer.

Alors, quand j’entends parler des aînés vulnérables à la Covid-19, comment pourrais-je me sentir concerné? J’estime en effet que notre état de santé — sauf en cas d’accidents bien sûr — est tributaire de l’entretien que nous y consacrons chaque jour. TOUT EST AFFAIRE DE RESPONSABILITÉ. Vivre peut-être un jour en CHSLD? Ça ne m’effleure pas l’esprit car ce n’est nullement un passage obligé. Depuis des années, je dis qu’au rythme où vont les choses, cette négligence d’entretien nous amènera collectivement dans un cul-de-sac. Mais là, je constate que c’est un mur qui s’est dressé.

Je conclus cette réflexion avec ce cri du cœur du Dr Christian Tal Schaller lancé au début de mai dans le cadre d’une conférence sur le Web : « C’est ça la question : qui suis-je? En réalité, je ne suis pas ce corps physique, mais un être de lumière qui a créé un corps mental, un corps émotionnel, un corps physique. Nos corps physiques vont tous mourir. Mais ce ne sera pas la fin de la Vie. Si je comprends ça, ma peur de mourir tombe et je m’en irai vers mon corps de lumière. C’est cela que nous allons apprendre, soit de ne plus obéir aux autres, mais d’écouter notre voix intérieure qui nous dit de faire ce que nous sentons juste. Voilà la nouvelle conscience qui émerge sur cette planète. […] Tout ce qui se passe actuellement va disparaître comme l’obscurité s’efface quand le jour se lève. Et le soleil qui s’en vient, c’est la conscience intérieure de qui nous sommes. »

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