Presque en train d’arriver
Comme vous le savez avec les autres chroniques d’avant, ça fait un bail que je suis célibataire, et qu’il n’y a pas grand chose qui se passe là. Ce matin, je rehausse mon énergie avec l’aide de ma chirurgienne énergétique. On ajuste bien des affaires, comme mettre plus de paix dans mes cellules et chakras. Être au point neutre et rester là tout le temps.
Ça fait du bien de secouer les programmations un peu. Ça allège et ça donne du mou, du lousse un peu. C’est rafraîchissant. Et là, je pose une question, dans le but d’orienter l’aide à avancer le dossier. C’est très clair. La St-Valentin arrive (on est le 28 janvier). Je n’ai pas le goût d’être coincée avec un autre toton temporaire. Il me reste des choses à dégommer pour qu’il y ait quelque chose qui se passe. Qu’est-ce qu’il me reste à travailler là? On peux-tu régler la question une bonne fois pour toutes! Je me fâche de même des fois, pis je vide un sac. C’est plus facile à ramener au point neutre après. C’est ça le truc.
Première affaire qui apparaît :
Ça fait tellement longtemps que j’attends mon tour, que je suis rendue à ne plus entrevoir la possibilité de rencontrer quelqu’un. Mes yeux et quelques sens n’y croient plus. On a nettoyé les répercussions de ces nouvelles programmations sur moi, sur ma foi, libéré mes chakras, changé de plan de conscience, et corrigé le mental.
Deuxième point :
On m’amène à mesurer la portée de mon cœur. Effectivement, le fait d’avoir été encrassée a fait en sorte que je pourrais vibrer plus de lumière si je me ramène au point neutre, là aussi. J’ai fait mes pardons pour l’ouvrir davantage. J’ai eu un regain de confiance quand la lumière du cœur s’est placée.
Troisième élément :
Permets-toi de le vibrer. Je passais de l’étape “ça ne me tente pas de m’ouvrir pour y croire” à “il faut que je l’appelle par le cœur”. C’est beaucoup d’étapes à la fois ça là. Oui! L’appel du cœur est s’autoriser la parfaite vibration pour attirer l’autre. Ce n’est pas facile de spiritualiser une relation, avant même qu’elle existe.
Quatrième chose :
J’étais sûrement sur l’émotion, parce que ce que j’attirais comme réponse était un homme sombre, avec un déséquilibre de son féminin prononcé. Je n’en voulais pas en énergie, et je lui aurais également dit non dans la matière s’il était venu à moi pour vrai. À vrai dire, j’avais plutôt une perte de foi, car j’en ai déjà appelé par le cœur, des dieux faits hommes sur terre, et ils ne sont jamais arrivés. Je me suis dit : je peux ramener le dernier modèle que j’avais créé, parce qu’il était sur la coche.
Ce fut intense. Après cette étape, j’ai lâché prise totalement parce que je commençais à frustrer de recommencer une étape que je croyais avait faite parfaitement, la dernière fois. Je n’étais pas contente de ce que j’attirais. Je me suis promis de refaire l’exercice quand je vais être au point zéro dans ma lumière.
Je trouve que c’est exiger attirer le bonheur absolu. Je sais que mon futur est fleurissant. C’est juste que les marches pour y arriver n’arrêtent jamais.
J’ai dû ajuster d’autres fréquences profondes dans l’inconscient après mon lâcher-prise, parce que j’ai complètement perdu la carte, le reste de mon soin. Une chance que j’ai l’audio, je vais pouvoir l’écouter quand je vais être prête à le travailler à nouveau.
Cinquième et dernier point :
Je suis une personne qui défonce les portes. J’ai beaucoup raffiné ce trait de caractère pour l’annoblir au maximum. Tout bonnement aujourd’hui, il y a eu une autre mise au point. On m’a dit clairement que je n’ai rien à faire à l’extérieur de moi pour rencontrer quelqu’un. C’est de le vivre dans son cœur avant, de l’intérieur. Il va arriver tout seul, comme le reste sur ma route, car les guides le travaillent pour moi. J’ai juste à Accueillir. C’est ça la morale de cette histoire.
Namasté
Julie L.
On va y arriver.
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