VIRUS MANIA : RÉTABLIR LA RÉALITÉ DANS LA CONSCIENCE (première partie)

« Nous créons nous-mêmes notre propre réalité, nos mensonges comme nos vérités ». Voilà ce que constatent les physiciens d’avant-garde tel que le professeur John Hagelin, Ph. D., directeur de l’Institut Maharishi des Sciences et Technologies, auteur du NY best-seller La physique de l’âme. « Nous créons nous-mêmes nos illusions et nos réalités », réaffirme Amit Goswami, Ph. D., professeur de physique à l’Université de l’Oregon et directeur de recherche en sciences noétiques. C’est suite à l’exploration de la réalité subatomique de la matière que ces affirmations ont été rendues possibles. Ce qu’on a découvert quand on a pu explorer la structure élémentaire de l’atome est fascinant.

La matière n’est pas du tout ce qu’on nous a enseigné au début du 20ème siècle. La matière apparaît fixe et rigide mais c’est une parfaite illusion d’optique; la matière est fluide, mobile et instable. L’énergie matérielle fonctionne comme une ondulation, une onde abstraite, une vague de possibilité. Dans sa constitution, la matière est imprévisible, ondulatoire et changeante. Si un physicien veut observer un électron sous forme d’onde, l’électron se laisse observer comme une onde; si le même physicien veut observer le même électron sous forme de particule, l’électron se laisse observer sous forme de particule. Vous comprenez : ce sont les qualités vibratoires particulières de nos intentions, de nos motivations et de notre volonté qui déterminent la disposition dont les ondes matérielles deviennent stabilisées d’une manière ou d’une autre dans notre environnement quotidien. C’est ce qui vibre à répétition dans notre mental qui conditionne graduellement le milieu dans lequel nous existons.

Les physiciens découvrent que le fondement de l’univers est un champ unifié de conscience. La matière est une onde dont la fonction est une potentialité, c’est-à-dire un vecteur dans un espace linéaire. Même les biologistes les plus matérialistes sont obligés de reconnaître qu’au niveau subatomique les particules de matière n’ont plus rien de matériel. Au contraire, elles sont constituées de la même substance que nos pensées. Nous vivons littéralement dans un univers de pensées, un univers conceptuel dans lequel tout n’est que le jeu d’une pure potentialité. Plus on plonge dans l’infiniment petit, plus on se rend compte que l’infiniment grand est pure existence, pure intelligence, pure conscience.

À ce niveau, les concepts de vrai et de faux, de mensonge et de vérité nous glissent entre les doigts. D’où le Principe d’Incertitude, ou plus correctement Principe d’Indétermination, de Werner Heisenberg, disciple d’Einstein. Nous découvrons que sous la surface des apparences, la réalité dépend de la façon dont nous voulons bien la percevoir. Avec le temps, les circonstances prennent la forme de nos préjugés et de nos états de conscience. Nous devenons graduellement ce que nous croyons être parce que le champ unifié du mental universel répond aux ondes que nous lui envoyons, comme un miroir qui reproduit fidèlement l’objet qui s’y reflète. Cette mise au point devrait nous aider à choisir entre une société rampant sous le masque de l’imposture sanitaire et une société rayonnant librement sous l’intelligence d’une conscience éclairée. Que désirons-nous? Une société d’esclaves angoissés ou une société respirant la vérité et la joie de vivre? C’est à nous de choisir. Sous l’éclairage de la mécanique quantique, nous ne pouvons plus dire  » Je n’ai pas le choix ». Toutefois ce choix n’est pas aussi simpliste que les adeptes du Nouvel-Âge l’avaient prévu. Il n’y a pas de raccourci et la réalité ne se crée pas de manière capricieuse. Nos choix doivent jaillir du point zéro, c’est-à-dire d’un niveau de conscience libéré des impressions de l’ego temporaire, un espace intérieur de réalité situé au-delà de toute dualité.

L’histoire se souviendra qu’en 2020 peu d’institutions auront été fidèles à la vérité.  J’ai entendu dire que l’absence de véracité crée un malaise psychosomatique sournois qui se manifeste par une incohérence cardiaque et devient avec le temps cause de maladie mortelle. Quand on la nie, qu’on la maquille ou qu’on la censure, la vérité hurle dans un silence de détresse au fond de la conscience collective des peuples. Faire la sourde-oreille ne nous aidera pas. Nous créons notre réalité parce que nous baignons dans un immense champ unifié de potentialité abstraite. C’est notre perception des choses qui attire dans notre vie une possibilité ou une autre. Le libre-arbitre des hommes peut volontairement ignorer la vérité mais la vérité ne les ignore jamais. Elle nous guette sans rien dire et, tôt ou tard, refait surface sans crier garde.

J’ai aussi entendu dire que le fait de faire passer une spéculation, ou une simple hypothèse, pour une réalité scientifique est une faute professionnelle grave et une cause de remords. C’est en tous cas ce que l’histoire non-officielle nous apprend. Quand on lit par exemple les œuvres des biographes qui ne maquillent pas l’histoire pour justifier les dogmes de l’éducation nationale, on apprend avec étonnement que Darwin et Pasteur étaient des faussaires avérés qui ont fini par admettre leurs subterfuges sur leur lit de mort.

Tout porte à croire qu’à l’heure de la dernière extrémité et face à l’inconnu, l’être humain ressent une sorte de sursaut de conscience et éprouve alors le besoin urgent de confesser ses menteries. À l’heure de la rupture de l’âme et du corps, l’esprit se rend finalement compte que tout est relié à tout et que rien ne disparaît sans laisser de traces. La méta-réalité de la conscience est semblable au temps; elle nous rattrape toujours car elle se situe sur un plan qui transcende le mensonge et la vérité, un plan de pure existence à qui on ne peut rien cacher. Le mot « méta » vient de l’ancien grec et signifie « en arrière-plan » ou « au-delà ». Dans ce sens, la méta-réalité désigne un plan d’existence plus vaste et plus fondamental qui est sous-jacent à la réalité que nous habitons et qui nous semble être réellement la nôtre. Cette méta-réalité intemporelle attend patiemment à l’intérieur de nous depuis toujours; elle espère nous voir ouvrir la voie à l’appréciation de l’univers en tant qu’entité intégrée. C’est un plan de conscience qui nous amène à faire l’expérience des circonstances que nous traversons actuellement par la lentille de la spiritualité universelle. Accéder à un tel plan permet de comprendre avec cohérence les phénomènes de notre vie tels qu’ils se produisent de nos jours à divers niveaux de la société. Confrontée à un moment critique de son évolution, l’humanité doit envisager une perspective de plus grande paix et sécurité. Et nous devons le faire non pas en tant que but idéaliste mais comme reflet d’une plus haute réalité.

Dans la confusion générale que les globalistes tentent à tout prix de mettre en place aujourd’hui pour mieux soumettre la planète à leur programme de « nouvel ordre », des voix s’élèvent pour révéler certaines facettes de la réalité. Certains élus n’attendent pas leur dernière heure pour témoigner et avouer les infractions qui pullulent dans l’actualité. Récemment, Matt Hancock, secrétaire du ministère britannique de la santé n’a pas eu peur de réclamer de toute urgence une investigation afin de porter des accusations envers les responsables du Public Health England (l’équivalent de notre controversé Santé-Canada). Sa réclamation fait suite à une révélation issue de l’université de East Anglia, publiée le mardi 14 juillet 2020 à 11h38 par deux professeurs experts en « evidence-based medicine« , les docteurs Yoon K. Loke et Carl Heneghan œuvrant depuis des décennies à l’université d’Oxford. Pour une fois, vu l’importante position des personnalités impliquées, les pigistes mal documentés de nos journaux à potins ne pourront pas dire qu’il s’agit de « complotistes ». Je ne fais ici que citer les révélations de Hancock car son réquisitoire parle de lui-même : « Un patient qui a été testé positif au coronavirus (Covid19) mais qui a été traité avec succès et à qui les médecins ont signé une sortie d’hôpital, sera comptabilisé trois mois plus tard parmi les morts du Covid19 même si ce patient est décédé d’une crise cardiaque ou qu’il soit mort des suites de ses blessures après avoir été renversé par un bus ». Fin de citation.

Voilà à quel niveau se situe la dictature médicale et le mensonge d’État en 2020. Les gens tombent malades et meurent, comme chaque année, mais ils ne meurent pas à cause d’un virus. En Floride comme en France, des centaines de médecins s’offusquent parce qu’ils doivent compter les accidentés morts d’une chute de moto parmi les décès dus au pseudo-virus. On devrait bientôt retrouver nos chats, nos poissons rouges et nos chiens dans les statistiques afin de faire grimper la propagande de l’angoisse dans la population et légitimer ainsi une hypothétique deuxième vague de contagion.

Le 24 juillet dernier, à 15h19, une dépêche montre Anthony Fauci (le médecin-chef des USA) sans masque et assis entre deux individus qui le touchent presque. Pareillement, Cuomo, le gouverneur de New-York, est lui aussi pris en photo sans masque. Ces deux personnages réclament pourtant à grands cris l’exigence de porter un masque et nous obligent à rester à deux mètres de distance l’un de l’autre. On se moque de nous sans même le dissimuler. En serviteurs obéissants de l’état profond qui tire les ficelles de toute cette mise en scène, les médias mondialistes et les services de police suscitent une ambiance de terreur en utilisant des armes psycho-informatives et des abus de pouvoir.

Par ailleurs, on ne compte plus les omnipraticiens qui vivent une crise de conscience aiguë et qui révèlent à qui veut bien les entendre que certains membres de l’OMS leur ont proposé des sommes d’argent pour qu’ils inscrivent sur tous leurs rapports de décès la mention « mort par Covid19 », et cela quelle que soit la cause réelle de la mort. Les premières pages des journaux restent étrangement muettes à ce sujet. Vous comprenez que la fraude est énorme, préméditée, organisée et systémique. Techniquement, cela s’appelle au bas mot de la subversion par association de malfaiteurs.

Pour tout vous dire, je suis las d’entendre parler d’un Covid19 qu’aucun biologiste n’a pu observer avec les microscopes électroniques les plus puissants de la planète. Je crois que je ne suis pas le seul à être désappointé de toutes ces trahisons et de toute cette cabale. Les fameux tests effectués sur la population ne prouvent rien puisque, d’après nombre de spécialistes, il s’agit de tests non conformes, non accrédités et non certifiés. Le docteur en physique David Mendels, directeur technique et spécialiste du développement de tests de diagnostic pour la microscopie en France, précise que ces tests ne passent ni la barre des 98% pour leur spécificité ni celle des 95% pour leur sensibilité et qu’ils sont donc totalement invalides. Les gens sont par conséquent faussement diagnostiqués. Ces tests seraient-ils alors un exercice secret de traçage électronique du citoyen? Et le scandale sanitaire ne s’arrête pas là.

Sur les emballages des masques d’hygiène 3 plis bleus (sachet de 50 masques) d’avant le confinement on peut lire dans le descriptif que « ce produit ne protège pas des contaminations virales ou infectieuses ». Pourquoi avoir retiré cette indication médicale essentielle sur les nouveaux masques qui sont exactement similaires aux précédents? Pourquoi les responsables font-ils ouvertement de l’anti-médecine? En outre, voilà ce qu’on ne vous dit pas : normalement un masque ne doit être porté que durant un temps assez court. Si vous portez un masque durant plus de deux heures sans ensuite le jeter (et s’il vous plaît, ne le jetez pas n’importe où), vous courez un sérieux danger parce que votre masque devient le nid de vos miasmes respiratoires. L’air ne circule plus librement et vous ravalez vos sécrétions par voie aérienne ou voie de gouttelettes. Vous allez avoir une accumulation insalubre et humide de vos propres toxines, de vos bactéries, du gaz carbonique de votre haleine, de vos déchets de transpiration, etc. Un simple observateur dira qu’il n’y a rien de plus morbide, de plus immoral et de plus pernicieux que de vous obliger à porter un masque sans vous donner ce genre d’information. Tout cela donne la nausée et une grande partie de la population a maintenant l’impression qu’une bande de névrosés se divertit en coulisses de notre ignorance; ou ce qui est pire, qu’ils nous préparent un nouvel ordre mondial qui fera reculer toute idée d’évolution sociale jusqu’aux années noires de la grande féodalité pré-Renaissance. 

Si cette tendance se maintient, la société libre et paisible bâtie par nos aïeux risque de sombrer dans une tyrannie technocratique enivrée de cupidité et orientée vers le mépris absolu de la personne humaine. On dit que le pouvoir corrompt mais que le pouvoir absolu corrompt absolument. Est-ce là le karma collectif du monde? Est-ce là la réalité que nous nous sommes créée? Le ministre de la santé du Royaume-Uni se décidera-t-il à révéler toute la corruption qui se joue incognito en forçant le gouvernement britannique à interdire le financement des campagnes électorales par l’industrie pharmaceutique? Ce serait une première qui ferait vite boule de neige au Québec et partout ailleurs. S’il le faisait, une grande partie du problème de la crise actuelle serait probablement en passe d’être résolue. Les masques tomberaient et la duperie d’État s’effondrerait d’elle-même sur ceux et celles qui en sont les acteurs et les diffuseurs. La situation reviendrait peut-être à la normale. Mais le jeu en vaudrait-il vraiment la chandelle?

Je me demande si la vraie question à se poser ne serait pas la suivante : toute cette parodie ne se jouerait-elle pas à l’intérieur de chacun de nous? En prenant la défense de la supposée vérité et en s’attaquant au prétendu mensonge, ne donnons-nous pas encore plus de pouvoir à l’incohérence généralisée? Si, comme nous le répètent depuis bientôt un siècle les physiciens quantiques, c’est la façon dont on perçoit les choses qui détermine le comportement des atomes qui composent ce qu’on pense être notre réalité, on doit se demander si nous ne portons pas déjà en nous-mêmes les germes psychiques à l’origine de tout ce fastidieux spectacle existentiel. Car à bien y regarder, de l’assassinat filmé librement et en plein jour de Georges Floyd à la violence sans précédent des émeutiers antifa, tout semble être téléguidé; les événements suivent un scénario précis, comme écrit d’avance, et se mettent en place les uns après les autres avec une régularité tout à fait prévisible.

Il y a donc un autre plan de réalité qui nous échappe et qu’il serait édifiant de découvrir. Au lieu de s’associer avec toute cette ambiance de peur, ne pourrait-on pas chercher à s’associer avec une réalité qui transcende à la fois ce que nous percevons comme le mensonge et ce que nous croyons être la vérité? Ne pourrions-nous pas contacter une réalité plus haute et qui nous rapprocherait de la véritable nature des choses et de l’univers? Pour Mario Beauregard, scientifique québécois de renommée internationale, chercheur en neurosciences aux départements de psychologie et de radiologie de l’Université de Montréal, il est évident qu’à partir du moment où nous ouvrons en notre esprit une voie potentielle d’harmonie, notre conscience devient apte à générer des messages qui entraînent un processus de guérison sociale qui se répercute sur la planète entière. (Mario Beauregard est l’auteur d’un livre majeur à lire absolument : Du cerveau à Dieu, plaidoyer d’un neuroscientifique pour l’existence de l’âme, Guy Trédaniel Éditeur, 2008).

Nous observons le plus lucidement possible l’environnement qui est le nôtre aujourd’hui. Sachant que nos idées préconçues ne sont que des constructions mentales, nous devrions savoir que nos opinions personnelles et nos émotions sont sans valeur devant l’ampleur des dommages causés à la population par cette tyrannie sanitaire. Mais il serait contreproductif de s’inquiéter outre mesure de toute cette mise en scène politique dont une des fonctions inavouées est de nous cacher les vraies causes des maladies actuelles.

La réalité objective n’est pas toute la réalité. Il en existe une autre qui est subjective. Plus en profondeur, les sciences quantiques comme les sciences mystiques parlent même d’une dimension super-subjective, un concept qui nous rapproche de la lumière biophotonique du divin (le mot dieu en latin s’écrit « dies » et se traduit aussi par lumière). Les êtres vivants, quels que soient leurs états d’âme, forment un même égrégore au sein d’une trame d’énergies infinies connectées à tout ce qui est. Nous sommes tous inter-reliés les uns aux autres dans un immense champ d’énergie invisible. Le fait est que tout ce que nous pensons ou faisons génère un impact sur le reste du monde. Ce que nous faisons aux autres nous le faisons en même temps à nous-mêmes. Ce que les autres nous font, ils le font à eux-mêmes simultanément. Ceux et celles qui nous dirigent devraient y penser avant l’heure fatidique de leur inéluctable disparition. Si nous comprenons vraiment ce concept, cela peut nous donner la chair de poule : chacun d’entre nous existe dans un énorme champ de forces qui relie tous les êtres à toutes formes de vie animées ou inertes. Cette liaison se fait à travers nos intentions, nos pensées, nos mémoires, nos motivations, nos préjugés, etc. Tout ce qu’on nous a enseigné sur la dissociation entre les gens et les choses est complètement faux. L’immense champ d’énergie unifiée entre constamment en résonnance avec l’ensemble des êtres vivants. Rien n’est séparé de rien. Personne ne peut se dire indépendant de cet océan de conscience qui nous relie au cosmos.

Dans une étude sur la cohérence universelle (La Biologie des Croyances), le biologiste cellulaire Bruce H. Lipton démontre que, plutôt que les virus ou les gènes, c’est ce gigantesque champ d’énergie sous-jacent qui joue un rôle majeur par rapport à l’état de santé ou de maladie de notre corps. À travers les mémoires de ce champ unifié nous créons notre réalité. À force de penser à la maladie, on en devient souvent malade; à force de penser à la santé, il arrive qu’on la retrouve. Cela signifie que l’élément le plus essentiel de la connectivité universelle est la conscience vivante qui l’observe. La force motrice de tout ce qui se passe est la conscience des intervenants.

Vous comprenez : scientifiquement, c’est la conscience de celui qui observe les « faits » qui amène ces « faits » à être ce qu’ils sont. Dans son étude Your Immortal Brain, le docteur Joe Dispenza, D.C., neurophysiologiste et expert de renommée mondiale dans l’étude de la neuroplasticité du cerveau, souligne l’importance de ce processus naturel qui permet à la matière d’être influencée par nos pensées. Si nous voulons être en phase avec la réalité, il est donc impératif de réconcilier dans notre esprit le concept du monde subjectif, appelé mental, avec notre vérité objective, appelée matière.

Suite du texte au prochain numéro …

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