Rien ne peut arrêter la guérison du monde

(2e partie)

Les anciens textes védiques sont clairs au sujet des aspects ultimes de l’antimatière : il existe un autre monde, une dimension éternelle, une sphère d’existence située au-delà des états manifestés et non manifestés de la matière; un monde transcendant qui jamais ne périt. Quand tout dans l’univers se dissout, ce monde anti-matériel demeure intact (source : Bhagavad-Gita Telle Qu’elle est, Bhaktivedanta Swami, 8-20). D’après les maîtres de la cohérence universelle, notre monde matériel n’est pas la seule substance manifestée comme les matérialistes fanatiques du Forum Économique Mondial voudraient encore nous le faire croire. Ici-bas, rien ne dure et tout passe avec le temps. Les sages affirment qu’au-delà de ce monde s’étendent à l’infini les dimensions divines et éternelles de l’antimatière immatérielle. Ils définissent cette réalité comme « sat-chid-ananda-vigraha », l’aspect heureux et bienveillant d’une dimension de conscience super subjective située au-delà de la mortalité liée au temps. En outre, rien ne prouve que la vie se limite à ce qui se passe sur Terre ou dans cet univers. Rien ne prouve non plus que la vie est apparue grâce à la seule matière. L’existence d’un principe vital originel, non matériel et non duel, est logiquement nécessaire. La pseudo « vie » de la biologie synthétique et de l’intelligence artificielle n’est pas la vie; ce n’est qu’une pâle imitation de la vraie vie. Ce ne sera toujours qu’une série d’algorithmes préprogrammés par des humains « vivants ». Des algorithmes ne peuvent donner qu’une illusion d’existence. Quoi qu’il en soit, en ce qui concerne les sphères d’influences spirituelles, les nouvelles sont super excellentes. J’ai appris dernièrement qu’il existe en France une ONG unique au monde qui s’inscrit dans le déroulement de l’univers. On peut lire sur son site (alliances-célestes-internationales.com) que cette organisation a pour but de promouvoir une stratégie sérieuse des relations prévisibles entre des humains terrestres et des membres de civilisations de nature exobiologique afin de faire profiter les deux parties d’une entraide de nature humanitaire, philosophique, médicale, énergétique et technologique sous l’égide d’une médiation équitable et efficace. Cette action de médiation pourra aboutir, à terme, à l’unification de tous les peuples de la Terre. Apparemment, il existe déjà des technologies extraterrestres et des solutions « célestes » pour extraire les nanobots du sang des vaccinés afin d’empêcher ces nanoparticules de transhumaniser leur génome en modifiant leur ADN. Nous ne sommes pas seuls. L’univers ne nous a pas abandonnés. Il existe dans le cosmos des alliances extraterrestres qui surveillent la Terre et qui nous protègeront au moment opportun. Ce n’est pas nouveau, depuis des milliers d’années, les Védas témoignent de l’existence de multiples hiérarchies galactiques appelées « dévas », ou hautes espèces galactiques parvenues à des niveaux de technologies subtiles dont nous n’avons pas idée. Ces grands dévas servent le plan cosmique de la Pensée Divine et luttent de toute éternité contre l’avènement des antéchrists, qui cherchent sans cesse à s’emparer du pouvoir de la matière et à mettre en esclavage l’entière race des âmes incarnées. C’est un combat cosmique qui se poursuit sur différentes planètes et qui transcende toute race, toute nationalité, religiosité, couleur de peau, croyance ou parti politique. Les dévas surveillent les agissements des humanoïdes au sein de l’évolution des civilisations passées, présentes et à venir. Depuis des temps immémoriaux, les dévas viennent en aide à l’humanité quand les projets des êtres sataniques qui la menacent deviennent trop dérangeants pour l’évolution de l’ensemble du cosmos.

Tous les espoirs sont donc permis. Toutefois, si l’on se réfère au Troisième Secret de Fatima ou aux prophéties millénaires du Bhagavat Purana, il faudra que les êtres humains méritent cette aide personnelle et planétaire. Pour ce faire, ils devront changer leurs habitudes de vie au cas où ils désireraient que leurs conditions s’améliorent. Si nous ne changeons pas, les prophéties nous annoncent des temps de grandes noirceurs. L’apparition céleste de Fatima nous conseille vivement de nous repentir. Mais nous repentir de quoi? Si je fais ma propre analyse de conscience, j’en arrive vite à la conclusion que j’ai des tas de choses à me faire pardonner. Face aux autres, mais aussi face à ma propre conscience, face à la nature et à son esprit créateur. Le concept du citoyen innocent est une légende urbaine, car nous sommes tous responsables d’un certain karma collectif. Chacun de nous pourrait commencer sa propre analyse et entrevoir un processus de pardon. Ne faut-il pas se pardonner à soi-même avant de pardonner aux autres? Et si le repentir était un pardon radical? Socialement parlant, même s’il peut y avoir des exceptions légitimes, on pourrait commencer par arrêter d’assassiner des millions de bébés avortés systématiquement chaque année. On pourrait continuer à ne plus s’autoriser à consommer de la chair animale puisque cette activité détruit chaque jour la vie de millions d’êtres vivants dans les conditions effroyables de nos abattoirs commerciaux. L’égrégore karmique d’inutile cruauté et de violence gratuite généré par nos actions inhumaines ressemble à une gigantesque épée de Damoclès nucléaire au-dessus de nos têtes; et cette épée menace d’évaporer toute l’humanité en quelques minutes. La cohérence cosmique du règne divin autorise la consommation de chair animale dans le règne animal. Mais nous ne sommes pas des animaux. L’humain est supposé avoir un certain degré de conscience et, dans des circonstances normales, il ne saurait tuer et manger des cadavres de bêtes mortes. Répétons-le, il y a bien sûr des exceptions légitimes quant à l’avortement et à la consommation de chair animale, mais cessons d’assassiner systématiquement nos bébés sans défense, cessons d’abattre systématiquement les animaux… Ce sont ces actions de mort systémique qui sont réactionnaires. On tente de réduire nos émissions à effet de serre. Il faudrait aussi pouvoir commencer par réduire nos milliards de réactions de violence et de cruauté qui règnent à la surface du globe. Car ces systèmes de mort se retournent irrémédiablement contre nous et n’ont pas d’autre choix que de nous apporter la mort. Une assiette d’agonie produit l’agonie. Dans le monde matériel, la violence est réactionnaire. C’est une loi cosmique à laquelle personne n’échappe. On se souvient qu’au collège, dans nos cours de physique-chimie, on nous apprenait que toute action a immanquablement une réaction égale et opposée. C’est l’une des grandes lois de la thermodynamique. Par conséquent, je pense que personne n’a envie que sa vie soit, par réaction, « avortée » ou « abattue ». Ne faisons donc plus aux autres ce que nous ne voudrions pas que les autres nous fassent. Mettons-nous en relation avec les énergies célestes. Comment fait-on cela? Par la prière « spirituelle » et spontanée d’un cœur détaché qui transcende les concepts dogmatiques des institutions religieuses. La spiritualité commence là où s’arrêtent les religions. Les forces spirituelles sont toujours là pour nous quand on leur en fait la demande et qu’on les invite à venir nous visiter. Les maîtres de la conscience nous conseillent de prier le plus sincèrement possible. Certains nous invitent à réciter les vibrations sonores spirituelles des Saints Noms du Christ ou de Krishna, de Rama ou de Marie, de Jéhovah, d’Allah ou de Bouddha, ou de la conception divine qui est la nôtre. Selon l’intensité de notre appel, nous bénéficierons ainsi d’une certaine intercession céleste. Si par choix nous ne cultivons aucun concept de Dieu ou d’un Principe Vital Absolu, alors on peut invoquer la vie, le soleil, l’univers, l’Éternel, l’énergie cosmique, la Terre-Mère, etc. On pourrait dire qu’au départ, il s’agit simplement de rejoindre une dimension psychique qui se situe au-delà de ce que l’on croit être. Ce sera comme un appel vers le pardon, vers la gratitude, vers la reconnaissance de l’âme distincte, comme un premier pas de bonne volonté, une prise de conscience, un premier acte de contrition face aux immenses désastres industriels et aux drames humains que nous avons créés sur cette planète; ce serait déjà un geste de remerciement envers la Nature, un chant d’amour désintéressé envers les mystères infinis de la vie et de ses origines transcendantales. La prière des Saints-Noms n’est pas un acte religieux ou institutionnalisé. C’est tout le contraire. C’est une élévation spontanée, volontaire et indépendante de la pensée à travers une énergie sonore ascensionnée particulière dont la fonction est de nous faire découvrir ce qu’il y a de plus sublime en nous-même. Le son des noms divins est un processus de purification de la conscience qui, graduellement, nous donne accès à l’expérience directe de la Divinité. La Nom et le Nommé sont UN, car au niveau absolu tout est absolu. Le son spirituel produit un profond retournement de conscience. Au point crucial où nous sommes arrivés, à la lisière du monde, au point de bascule où tout peut disparaître par un acte de guerre nucléaire d’un président à moitié fou qui n’aurait plus toutes ses fonctions intellectuelles, qu’avons-nous à perdre de toute façon? Le but n’est pas de donner une leçon, mais d’adresser une proposition : en tant qu’êtres humains, nous possédons de toute éternité le privilège de pouvoir invoquer les Noms de l’Être Divin. Nul besoin d’être religieux pour cela. Les Védas, le Coran, la Thora, les Psaumes et l’entière collection des révélations universelles nous présentent le même panneau indicateur : l’univers répond à des lois quantiques et holographiques, et cela signifie que si la civilisation désire se diriger vers un équilibre et un bonheur durables, l’Être Divin doit être reflété par l’être humain. L’humain est constitué à l’image du Divin et en possède donc les mêmes qualités. L’infini peut par conséquent se manifester au fini (dans le cas contraire il ne serait pas infini). Y croire ou ne pas y croire ne change rien à cette équation galactique, car il ne s’agit pas d’une question de croyance ou d’incroyance. Il s’agit plutôt d’une « substance » qui est appelée à grandir à l’intérieur de nous quand nous la cultivons et la nourrissons. Au lieu de nourrir la peur, on nourrit l’amour. La peur et l’amour se combattent sans cesse dans le subconscient. Qui va gagner? C’est l’élément qui est le plus nourri qui gagne. Nous souffrons pour la simple raison que nous nous interdisons de réaliser dans notre quotidien l’image et la ressemblance de l’Âme Suprême, la Mère Divine qui est aimante, tendre et vraie, et qui ne connaît pas la peur. Ce n’est pas de vaccins ou de toute autre chose dont nous avons le plus besoin. Nous sommes éternellement de nature divine et on nous a conditionnés à croire que nous sommes esclaves des machines électroniques et du système financier artificiel qui les contrôle. Quelle illusion! Ce dont nous avons urgemment besoin, c’est de l’exigence d’une consécration absolue du mental, de l’action et de la volonté, c’est-à-dire de la pensée, de l’énergie et du désir. Cette exigence transformerait toute la vie sur Terre. Ce dont nous avons le plus besoin pour recouvrer un semblant de paix et de lumière dans nos existences blessées et inachevées, c’est de ressentir l’appel de la prière authentique, celle qui monte en silence des profondeurs de l’être, comme les marées de l’océan qui se dilatent sous la poussée titanesque des mouvements de la lune, comme le printemps qui fait place à l’hiver, comme un coup de foudre entre l’individuel et l’universel. La vraie prière ne réclame rien puisque les experts nous conseillent de « prier comme si vous aviez déjà reçu ». Dans les multiples sphères spirituelles, la demande est reçue avant même d’avoir été envoyée. C’est avant tout un acte de présence. La pensée se tient en présence de la Pensée Suprême. C’est une prière du « sentiment intense de croître en amour de grâce » afin de renouer les liens avec nos origines célestes et des grands êtres de lumière qui y résident. En-dehors de cela, tout sera balayé par les vagues du temps et nous ne trouverons pas d’abri permanent et définitif. L’ultime refuge est en nous. Mais il faut plonger pour le trouver. En nageant près de la surface, il est possible d’être satisfait de la signification extérieure de la prière. C’est encore souvent le cas de l’esprit de religiosité qui prend la prière au sens littéral. La vraie prière est aussi mystérieuse et attirante qu’un trésor enfoui dans un jardin secret. Elle comporte des courants silencieux, plus profonds les uns que les autres. Tandis que la conscience se dilate, la compréhension de la prière se dilate et s’élargit en même temps. En profondeur se situe la prière ésotérique qui ouvre le regard intérieur dans des tonalités différentes.

Pour ma part, j’ai eu l’immense bonne fortune d’être initié en 1975 par Bhaktivedanta Swami au « mantra de la délivrance », une formule sonore composée de 16 noms et 32 syllabes : « hare krishna, hare krishna, krishna-krihsna, hare-hare, hare rama, hare-rama, rama-rama, hare-hare ». Ce mantra s’adresse à « hare », la forme vocative de hara ou radha, et représente l’Énergie interne d’amour de l’infini, la nature féminine divine de Dieu. Selon les Upanisads, ce mantra contient en son sein la médecine sonore recommandée du Kali-yuga, l’âge géologique ténébreux que nous traversons depuis un peu plus de 5 000 ans. Les révélations upanishadiques rapportent que ce mantra renferme un secret prophétisé depuis des millénaires par les anciens prophètes des temps védiques. L’écoute méditative et non répétitive des fréquences sonores du mantra serait le seul moyen de percer ce secret. Le passé justifie le présent et le présent sculpte le futur. Bien entendu, si vous avez quelque préjugé sur les deux syllabes super-subjectives du mot « Krish-na » ou que vous pensez que cette méthode fait partie d’une religion ou d’une secte indienne ou autre, vous pouvez librement vous dirigez ailleurs. Allez là où vos intuitions vous emmènent. Suivez votre cœur. Vous pouvez aussi bien chanter « Kristos » ou « Krista », car en essence cela en fait aucune différence. En ce qui concerne la quintessence vibratoire des noms divins, Christ ou Krishna, le nom est exactement le même. Seules les conceptions humaines provinciales et les intérêts de paroisses projettent des concepts de dualité sur des réalités non duelles. Rien n’est linéaire dans les dimensions quantiques de l’espace. L’avatara Chaitanya a enseigné dans l’Inde médiévale que la source de l’Absolu personnifié possède une infinité d’appellations, qui toutes, parce qu’identiques à l’Absolu Lui-même, sont dotées des mêmes pouvoirs absolus de guérison, de protection et de libération. C’est pourquoi, même si nous nous identifions à une confession quelconque – hindoue, chrétienne, musulmane ou autre – ou même si nous ne nous identifions à rien de précis, nous pouvons accueillir dans notre esprit la non-dualité des dimensions anti-matérielles, au moins comme base d’un travail sur soi. Ce n’est évidemment pas une opinion personnelle qui est partagée ici. Il s’agit d’une information provenant d’un niveau de réalité bien plus haut que notre actuel niveau de conscience. Les maîtres de l’évolution de la pensée humaine sont unanimes à ce sujet : nous atteindrons par le yoga du son un haut degré de niveau spirituel et nous créerons autour de nous notre armure vibratoire de lumière personnelle. La technique est apparemment sans limite et peut s’appliquer à tous les cas de figure. La vie humaine est en fait destinée à la réalisation du principe vital éternel qui anime notre corps physique pour un temps. C’est pourquoi nous sommes de passage sur Terre. Tôt ou tard, quoi qu’on fasse, le corps meurt, c’est dans l’ordre des choses. Le principe vital spirituel qui l’anime est immortel et poursuit sa course au-delà de la dissolution du corps mortel. La Bhagavad Gita enseigne qu’au moment de la mort, l’âme se dirige vers une nouvelle manifestation en accord avec ses motivations. À l’heure de la mort du corps, la fréquence particulière de nos conceptions d’existence produit la fréquence de notre future enveloppe charnelle, et ainsi de suite. Nous pouvons donc diriger notre destin. Le plan de l’existence est ainsi fait que tout arrive dans le monde matériel pour nous désillusionner de la conception matérialiste illusoire. La raison d’être de tout ce qui nous arrive est de nous apprendre à développer une relation avec l’Infini, l’Immortel, l’Éternel, Dieu, l’Être Suprême, la Source de l’Univers, et à aimer de plus en plus cette relation, cette communion, cette fusion. En dehors de ce plan relationnel avec l’immortalité, rien ne dure, tout s’efface, tout est réduit en poussière sous la force du temps. Plus nous résistons à cette invitation d’évolution cosmique et plus les épreuves que nous devons traverser prennent de l’ampleur. Moins nous y résistons et plus la lutte pour l’existence diminue. Tout devient plus facile quand l’égo ne cherche plus qu’à contrôler son mental et ses sens, et qu’il renonce à exploiter tout ce qui l’entoure. Là réside la vraie beauté de l’être humain. Que nous nous acquittions de cette proposition existentielle sous le nom d’hindou, chrétien, musulman ou autre, peu importe, si nous le faisons vraiment sincèrement.

Actuellement, une dynamique sociale est à l’œuvre pour détruire les forces libres des nations. Est-ce une destruction qui est inévitable? Les avis sont partagés. Mais parce que cette dynamique est actuellement médiatiquement trop puissante, les populations vieillissantes génèrent des réflexes de peur qu’ils transmettent à leurs enfants, à leurs adolescents, et les jeunes générations ne sont ainsi plus capables de s’émanciper de ce contexte de peur qui s’impose à elles et qui entraine un suicide social sans précédent. Tout le problème est là. C’est la vérité qui nous délivrera si nous la désirons sincèrement. Mais il va falloir vouloir servir cette vérité intensément, sans faire de compromis, et dans un but altruiste et non égoïste. Par la prière faite dans un esprit de dévouement à l’humanité et au divin en chacun de nous, nous pouvons parvenir à comprendre que nous, le peuple, sommes soumis à une guerre psychologique totale. Par ce réveil de conscience, nous arriverons à nous libérer de la propagande de la terreur qui nous hypnotise et nous garde prisonnier d’une matrice électromagnétique sans précédent dans l’histoire des civilisations. Ensuite, l’avènement de l’âge de la lumière répondra à notre demande et nous connaîtrons une nouvelle phase d’évolution, une ère de paix, de sécurité, de bonheur, d’harmonie, de coopération et de prospérité. Le hasard et la chance n’existent peut-être pas, mais les bénédictions existent de toute éternité et possèdent un pouvoir de transformation et de manifestation que les forces sataniques qui cherchent à anéantir ce monde n’imaginent même pas. Les ténèbres n’ont jamais pu résister au pouvoir de la prière d’amour inconditionnel et des bénédictions par le passé, et elles n’y résisteront pas aujourd’hui, ni dans un proche ou lointain futur. Une fois qu’elles sont mises en fonction, rien ne peut arrêter les puissances de la lumière céleste. Rien ne peut arrêter la guérison du monde.

 

 

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