S’enivrer d’Absolu
De nos jours, si vous cherchez à vous faire embaucher par une quelconque entreprise médiatique de grand chemin et que vous l’appelez pour une demande d’entrevue, vous devez être au courant d’une chose : il faut savoir qu’en ce qui concerne la culture médiatico-journalistique globale des pays de l’OTAN (comme le Canada), l’agenda déclassifié du régime est de supprimer systématiquement tout ce qui se rapporte à l’éveil des consciences. Toute information sur la nature divine de l’existence est mise au panier. Nous sommes à un moment où la société est organisée pour qu’il n’y ait presque aucune possibilité de s’engager sérieusement dans une vie à caractère spirituel, une existence dans laquelle l’éthique ne serait pas l’exploitation, mais le dévouement. Si vous êtes un tant soit peu connu pour faire un travail d’éveil dans la communauté, il n’est pas du tout étonnant que vous ne soyez pas invité pour une demande d’entrevue. Cela n’a rien de personnel, il s’agit d’une volonté notoire des politiques socialistes-démocrates, devenus esclaves de l’agenda antisocial issu du Forum économique mondial et de l’OMS.
Qu’ils le sachent ou non, les médias grand public sont, consciemment ou inconsciemment, tous compromis dans le projet génocidaire de l’État profond, donc tous contrôlés et payés par des lucifériens (au sens étymologique et symbolique du mot Lucifer : esprit illusionné au service de la lumière sombre de la censure, du mensonge par omission, de la complicité et des fausses vérités en vue de manipuler l’opinion publique). Les médias lucifériens sont tous sous perfusion de subventions gouvernementales et ils ont définitivement perdu le haut du pavé moral. Ils ont trahi la confiance du public. Oublions ces médias de grand chemin qui nous mentent par profession. Mieux vaut donc faire ses propres investigations, créer une petite niche de lumière qui pourrait rassembler quelques personnes éveillées et œuvrer ensemble, par petits groupes, pour le réveil des consciences.
En France, plus spécifiquement, la volonté avouée du régime est de provoquer une guerre civile généralisée. On le savait depuis longtemps puisque c’est précisément ce qu’indique le message de toutes les apparitions transcendantes, de toutes ces visions identifiées pour la plupart à un être de lumière magnifique appelé « Vierge Marie » par ceux et celles qui en ont été les témoins. Toutes les apparitions de nature féminine divine qui ont eu lieu en France et ailleurs dans le monde depuis le 19e siècle jusqu’à nos jours sont unanimes : vu l’état de délabrement de la morale, la perversité de la culture ambiante, l’absurdité des nouvelles lois et la cruauté des comportements sociologiques actuels, le chaos est pratiquement inévitable. Cette infernale volonté qu’ont nos leaders occidentaux de diriger les nations par le chaos correspond à un karma collectif des populations. Notons que des mondialistes comme Kissinger, Attali, Schwab, Gates, Soros et compagnie nous appellent officiellement « des mangeurs inutiles à éliminer » et « des troupeaux de moutons ». Ça ne s’invente pas. Ces individus profitent de notre indifférence et du fait qu’on les laisse faire ce qu’ils veulent. L’esprit machiavélique qui les domine a déclaré la guerre à l’âme du monde. Tant que nous rejetterons volontairement l’omniprésence de l’Esprit Absolu et la non-séparabilité quantique de toute chose, les émeutes, les conflits et les pénuries seront inévitables. Tout est lié. Chacun de nos actes entraine toute une suite de conséquences plus ou moins tragiques.
À tort ou à raison, de nombreux analystes en géopolitique profonde prédisent une guerre potentiellement thermonucléaire de haute intensité d’ici trois mois (ou avant les prochaines élections américaines en novembre). Ils prévoient une conflagration majeure entre les forces de l’OTAN (USA-UK-Canada-Europe) et le bloc Russie-Chine-Iran-Turquie. La tragédie, on le sait, est au cœur de l’expérience humaine. Mais tout cela peut facilement être évité. Si les populations (y compris les juges, les policiers et les médecins) peuvent avoir un sursaut de conscience et retrouver soudain au fond de leur cœur le respect de la personne humaine et la transparence de la pureté morale, nous pourrons alors à coup sûr éviter les destructions. Il reste toujours un espoir. Ou nous nous réveillons et passons à l’âge du partage et du dévouement, ou bien nous ratons l’examen et nous retournons à l’âge de pierre. Il va falloir revoir sérieusement notre copie existentielle parce qu’elle est pleine de fautes. Nous sommes arrivés à un moment historique de changement de civilisation. L’ancien paradigme se dissout sous nos yeux. Un nouveau cadre de pensée est en train d’être créé. En soi, c’est un événement qui n’est ni bien ni mal. Les civilisations sont comme les saisons, elles passent, elles se transforment et se renouvellent constamment au cours de l’Histoire. Les sociétés humaines s’autodétruisent à intervalles réguliers dans le temps et d’autres formes d’organisation les remplacent. Rien ne dure ici-bas, on le sait. Il reste que la question est la suivante : dans quel monde voulons-nous vivre? Avec quelles qualités de vie voulons-nous exister?
Ce n’est pas le monde prétendument matériel qui est mauvais en lui-même; ce qui est à rejeter, c’est plutôt la conception du capital d’exploitation qui le détruit et qui écrase l’humanité par la même occasion. À l’autre extrême, l’esprit de renonciation ne mène à rien. Par contre, l’esprit de dévouement et de partage, s’il était mis en avant, nous mènerait vers une société paisible et abondante. Une vie simplifiée serait source de hautes pensées et de libération. Le 21e siècle ne fait que commencer. Après avoir été purifié de ses illusions et de ses artifices technocratiques d’une manière ou d’une autre, le monde connaîtra un renouveau spirituel, c’est inévitable, car l’homme n’est pas constitué que de matière inerte et de logiciels algorithmiques. Les époques durant lesquelles le crime contre l’humanité est banalisé ne peuvent durer très longtemps. Le retour de la bienveillance est irrévocable. Le rationnel-cérébral a atteint ses limites. L’éternelle émergence de la conscience intuitive extraneuronale est un phénomène nécessairement cyclique. On peut être anticlérical, c’est légitime, mais on ne peut pas réellement être antispirituel, car sans la présence de l’Esprit Vivant le corps ne peut pas vivre.
Les sciences physiques nous montrent sans l’ombre d’un doute que c’est la conscience vivante et non la matière inerte qui détermine le comportement des atomes constituant notre univers. La matière ne peut pas fonctionner sans l’esprit. On observe que le cosmos se comporte comme une pensée parce qu’il est issu et imbibé des énergies d’un Penseur. C’est une réalité paléontologique et astrophysique désormais définitive. Tout va bien dans l’azur. Les plus récentes enquêtes scientifiques et philosophiques sur le sens de l’existence, ainsi que sur les fluctuations du désormais fameux rayonnement de fond cosmologique, montrent que la science peut, sans se dénaturer, traiter la question de l’existence d’un Esprit Créateur. Une chose est certaine : la vision selon laquelle nous ne serions que le résultat éphémère et sans signification de chocs et de combinaisons d’atomes errant dans l’espace, n’est plus du tout la vision scientifique. Qu’on le veuille ou non, l’étude approfondie du monde extérieur conduit à la conclusion que le contenu de la conscience est la réalité ultime. La réalité absolue est consciente; donc vivante, car la conscience est le symptôme de la vie.
Que pouvons-nous faire? Nous devrions nous enivrer de cet Absolu, de ce Penseur divin, découvrir la sagesse éternelle en s’abreuvant de la liqueur immortelle de notre propre cœur. Nous pourrions ainsi reconnaître ce qui est pur, ce qui dure, ce qui est beau, infaillible, ce qui est vrai, sans artifice, sans masque, et introduire ces éléments d’authenticité dans notre âme. Nous pourrions de cette manière accéder à l’Expérience d’un Esprit qui se situe bien au-delà des religions et de toute idéologie, au-delà du Véda, du Coran ou de la Bible, même si ces livres saints en contiennent des fragments. Aucun livre n’est exhaustif, mais le cœur contient tout. Les contradictions de croyances s’évanouiraient d’elles-mêmes. Nous aurions ainsi accès à la sainte écriture gravée en lettres d’intuition à l’intérieur de nous. Nous aurions une expérience de pensée divine réelle. Une ivresse de bonheur infini. Un ravissement d’Absolu.
Aussi longtemps que l’on persiste à dire : « C’est à moi! », aussi longtemps rien ne pourra être accompli. Les uns et les autres se déchireront la Palestine ou l’Ukraine, Taïwan ou je ne sais quelle partie du monde. La terre ne nous appartient pas, nous appartenons à la terre. Aussi longtemps que l’égoïsme reste dans le mental, aussi longtemps le cœur ne peut fleurir. Comment faire fondre la pierre du cœur? On pourrait s’entrainer à voir en chacun l’Unique et commencer à s’apprécier les uns les autres, se respecter, se soutenir au lieu de se trahir sans cesse. S’aimer soi-même au lieu de se mentir à soi-même. La vie est simple. Pour être heureux, nous n’avons pas besoin de faire de grandes choses, ni de devenir célèbres ou de posséder de vastes richesses. Des pratiques religieuses vidées d’extase ont enfoncé les hommes dans l’orgueil et ont créé des sociétés de doute et de cynisme. Si les gens croyaient en eux-mêmes, intuitivement ils croiraient aussi en Dieu au même instant puisqu’ils en font partie. Il faudrait arrêter de tout diviser pour mieux régner. Il va falloir réunifier les choses et les personnes si nous voulons survivre à ce qui est sur le point de se produire dans le monde dans la mesure où nous ne changeons pas rapidement.
C’est la cupidité qu’on doit laisser partir avec l’eau de nos illusions, l’eau polluée de nos préjugés. On pourra la remplacer par la charité, la générosité, la sympathie, et on en deviendra bien plus heureux, et bien plus opulents aussi. Car plus on donne plus on reçoit; c’est une loi qui ne s’éteindra jamais parce que ce n’est pas seulement une loi humaine, mais surtout une loi cosmique. Les cœurs simples rencontrent l’Ami Infiniment sympathique en eux-mêmes. Les esprits trop sophistiqués en restent incapables. Ce phénomène de conscience a été transmis aux sages par la grande Présence Interne que l’on nomme ici-bas par des mots comme Dieu, le Seigneur, Christ, Yahvé, la Mère Divine, Allah, le Père, Krishna, le Brahman, Buddha, Manitou, ou par des milliers d’autres appellations. Les mots sont des symboles d’une réalité qu’ils ne peuvent décrire pleinement. Le mystère de Dieu n’est pas seulement son nom : il est « dans » son nom. Quel que soit l’aspect qu’on lui prête, les sages nous préviennent qu’il s’agit là d’une rencontre inouïe qui représente en fait le sens naturel de notre existence.
Si le service d’amour personnel n’est pas encore accessible pour nous, au moins pourrions-nous percevoir l’aspect impersonnel du Tout Vivant, et détecter la bienveillance, la providence, la magie des synchronismes, l’Ami Ultime dans la forme universelle de la nature. Ce serait déjà un bon départ vers une nouvelle civilisation de lumière. Cela nous qualifierait graduellement pour un contact plus intime, plus profond avec le Dieu des abeilles, des montagnes, des océans et des étoiles. D’après les sages de la tradition primordiale, cette ligne de pensée est une première marche importante vers des réalisations plus profondes. Aussitôt qu’une telle observation de la nature se met en place, le monde entier apparaît comme un lieu de bonheur, une résidence paisible pour tous les peuples de la Terre. Sans une telle perception de l’Esprit Suprême, soit personnel ou soit impersonnel, l’homme a tendance à descendre en une ou deux générations à un niveau inhumain. Il peut même descendre si bas qu’il peut aller jusqu’à perdre tout instinct animal, perdre toute retenue et se situer sur une plateforme de sous-animalité. Il va alors, comme les porcs et les chiens, jusqu’à exploiter le sexe de ses propres enfants comme on le voit aujourd’hui. Ses belles qualités d’humanité disparaissent et se recouvrent de pulsions perverses qu’il ne peut plus ni contenir ni réprimer. Il devient l’esclave de lui-même sans s’en rendre compte, ce qui est le pire esclavage qui soit. C’est ainsi que le paradis terrestre devient l’enfer sur Terre.
Si les hommes s’obstinent à ne pas reconnaître la non-séparabilité de toute chose au sein du Tout Vivant, ils vont se mentir à eux-mêmes de plus en plus, nier et bafouer de plus en plus leur âme éternelle, se battre de plus en plus, avec des armes de destruction massive de plus en plus terrifiantes, des injections de plus en plus mortelles, se délecter de sites sados pornographiques de plus en plus sanguinaires, des fraudes électorales de plus en plus évidentes, des mœurs de plus en plus dépravées, commettre des erreurs d’écologie de plus en plus fatales, jusqu’à l’annihilation mutuelle. Et ils détruiront tout. Que pouvons-nous y faire? Même le soleil, un jour ou l’autre, finira par s’éteindre. Parfois l’univers est manifesté, d’autre fois il disparaît pour mieux réapparaître plus tard. La vie inspire et expire comme elle l’entend.
Pour notre part, nous pouvons changer la mort en lumière. Nous en avons le pouvoir de par l’héritage de nos droits éternels. Ne sommes-nous pas, par constitution d’âme, une parcelle d’énergie de L’Esprit du Tout-Puissant? Personne ici sur Terre ne descend du singe. Nous descendons tous de Dieu. Nous ne sommes pas poussière, nous sommes lumière. Nous pouvons changer l’angoisse en sérénité par une simple prière aimante, avec nos mots à nous, selon notre manière toute personnelle de concevoir l’Âme des galaxies. Nous nous souviendrons que la Mère Divine nous aime et cherche à nous reprendre dans ses bras. La souffrance et l’anxiété s’évanouiront et nous retrouverons notre paix et notre joie. Nos pseudo- ennemis se changeront en amis. Les casseurs payés par le régime seront devenus des hommes justes et bienveillants. Toute adversité nous apparaîtra comme bonne fortune. Comme le pensait déjà Victor Hugo avant de mourir, nous aurons pitié du tueur autant que du cadavre et nous ne voudrons plus condamner personne. Nous plaindrons les martyrs autant que les bourreaux, car nous nous souviendrons que les vainqueurs, au-delà de leur but et de leur volonté, sont toujours traînés en échec par leurs prétendues victoires. Nous trouverons la cohérence du cœur quand nous rencontrerons le Grand Mystère au fond de nous. Ou bien nous nous autodétruirons. Nous avons ce choix.
Quiconque reconnaît en lui-même le Soi échappe aux maux de l’âme et les mille fantasmes de son corps se changent en harmonie parfaite. Nous le savons, le 21e siècle n’est qu’à son début, cette histoire ne fait que commencer. Ce siècle ne sera pas religieux, mais il sera spirituel, ou ne sera tout simplement pas. Mais tout porte à croire qu’il sera, qu’il existera, et que l’humain retrouvera finalement ses racines célestes. Ce siècle verra les Saints Noms de Dieu chantés librement dans chaque ville et chaque village. Telle est la prophétie du Sauveur du Kali Yuga. Et cette prophétie est en train de se réaliser. Alléluia! Radha -Krishna! Ce sera comme une fête de retrouvailles entre amis de toujours. Nous passerons aisément dans la dimension de la 5e conscience, la conscience du dévouement. Nous nous convertirons au bonheur réel et notre esprit se revêtira d’éternité. Nous n’aurons plus de crainte et nous n’en inspirerons plus aux autres, qu’ils soient plantes, animaux ou humains. Nos yeux contempleront avec tendresse les miracles de la nature retrouvée.
Écoutez! Le Grand Magicien du cosmos s’est mis à jouer de sa flute divine et le monde entier se déplace actuellement pour ne pas rater le spectacle! Nous n’avons plus rien à perdre et nous avons tout à gagner. Celui qui peut voir ce spectacle-là en lui-même le garde enfoui dans le secret de son âme comme un trésor. Pour peu que nos guides célestes nous fassent grâce, l’Esprit du Doux Absolu nous saisit corps et âme; il ne nous lâchera plus. Nous le détecterons partout. Nous serons imbibés d’amour et nous retrouverons Celle et Celui qui donnent la vie au monde. Nous posséderons le secret du chemin de l’amour divin et nous serons heureux.
Bénédictions.
Patrick Bernard. Caucalières, 7 juillet 2024.
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