Un projet de société : XY versus XX
Les femmes possèdent deux chromosomes X, tandis que les hommes sont dotés d’un chromosome X et d’un autre Y. Telle est la tyrannie de la vérité. Albert Camus avait raison : « La vérité ne dépend pas de la façon dont elle est dite, mais de la façon dont elle est interprétée. » Nul ne sait comment la tyrannie du réel sera interprétée de nos jours, mais il est désormais évident que, pour les investigateurs en géopolitique internationale, nos sociétés contemporaines occidentales deviennent de plus en plus dysfonctionnelles. Même les gens dits « ordinaires » se rendent compte que les sociétés des pays de l’OTAN sont affectées de plusieurs maux qui rendent nos vies de plus en plus pénibles, que ce soit pour la santé, alors que le système, devenu une vaste affaire de haute finance « à la Rothschild », n’arrive plus à fournir des services de qualité dans des délais raisonnables, la priorité n’étant plus donnée à la santé des gens, mais aux profits stratosphériques des multinationales pharmaceutiques. Si l’on regarde l’immobilier, les maisons sont devenues inabordables et le prix des loyers ne cesse de grimper. C’est même le coût de la vie en général qui augmente, la facture en fruits, légumes et céréales ne cesse d’augmenter au même moment où le réfrigérateur est de moins en moins rempli. Notre niveau de vie diminue ou au mieux stagne. L’humain au cerveau médiatisé par la propagande tous azimuts du régime matérialiste de la gauche bourgeoise se sent impuissant, démuni, désarmé, debout sur une grève urbaine de plus en plus violente, où il doit lutter pour son existence et celui de sa famille s’il en a encore une. L’humain moderne du bloc atlantiste semble au bord d’un océan pollué pour lequel il n’a ni boussole ni voile. Il ignore totalement comment nous en sommes arrivés là. Il n’ignore pas moins pourquoi il s’est incarné sur la Terre, comment il y est venu, et quelle toute-puissance l’y a jeté. Il n’a plus aucune idée du sens profond de son existence, ou quel est le but réel de sa vie, comment il en sortira, et ce qu’il adviendra de lui quand son corps sera mort.
Il existe toutefois un espoir, une solution à son problème. Il existe une réponse claire et universelle qui nous vient d’une antiquité prodigieuse selon laquelle l’humain a le devoir de rechercher en lui-même la présence personnelle de la source de sa vie. En d’autres mots, il lui faut découvrir son âme, la force vitale qui anime son corps et son esprit. S’il demeure à l’extérieur de lui-même, à terme il est perdu. Pour le dire ainsi, il lui faut redécouvrir de toute urgence le sens de son existence en se mettant le plus sincèrement possible au service de sa partie spirituelle et de son royaume intérieur. S’il le fait sincèrement, une aide surnaturelle viendra à sa rencontre et « tout lui sera donné de surcroit » et il pourra alors s’attendre au meilleur. À contrario, s’il est oublieux, indolent, indifférent, inconséquent, sans compassion envers la vie, ou qu’il consent à se laisser conditionner à croire qu’il n’est que matière, tout lui sera graduellement retiré et il doit alors s’attendre au pire. Il s’abaissera graduellement à être l’esclave de ses pulsions sensorielles les plus denses. C’est l’histoire de toutes les civilisations passées qui sont tombées dans le piège du nihilisme et des fausses identifications à l’égoïsme totalitaire. Leur effondrement a été une terrible tragédie et il n’en reste que des ruines.
Cet état de fait n’est pas une opinion quelconque : c’est un programme d’évolution de conscience civilisationnelle qui est annoncé depuis des milliers d’années par la sagesse éternelle de la tradition primordiale. L’histoire se répète quand on n’apprend pas de l’Histoire. Bien au-delà de ce qu’on veut bien étiqueter avec désinvolture comme « les religions », il existe un ordre parfait et divin qui régit l’évolution ou l’involution de la conscience des espèces, des peuples et des races du cosmos.
Que cela nous plaise ou non, l’effondrement (un phénomène de société appelé de nos jours « collapsologie », ou science de l’effondrement civilisationnel) est l’épreuve amère que toute civilisation adepte du matérialisme pur et dur doit affronter tôt ou tard. On n’y peut rien, c’est une loi cosmique irrévocable. Sur ce point, au moins, toutes les sciences rationnelles connexes ainsi que l’ensemble des multiples traditions mystiques sont étonnamment tombées d’accord. Aujourd’hui, beaucoup de gens commencent à se rendre compte que nous avons pris une très mauvaise direction et que nos sociétés d’exploitation foncent tout droit dans le mur des conditions de vie irrespirables, voire infernales.
Quant à se rendre compte de la situation actuelle, on peut aller jusqu’à dire que l’année 2024 a carrément sonné l’heure des révélations apocalyptiques. « Il n’y a rien de si caché qui ne doive être un jour découvert, ni rien de si secret qui ne doive être un jour révélé », disait déjà le Prophète de Bethléem. Aucun acte ne pourra être dissimulé, ni à l’heure de la vie ni à celle de la mort. Ainsi, la propagande satanique des dirigeants de l’OTAN a été exposée sur la place publique et aux yeux de tous lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024. La presse internationale est unanime et parle de « honte nationale ». Ça ne s’invente pas. On est à l’heure des révélations les plus surprenantes et ce qu’il y a de plus pervers en l’humain ne semble plus être capable de rester caché.
En faisant un peu de recherches historiques, on s’aperçoit que ce qu’on nous a montré durant cette présentation n’est pas du tout un « art d’avant-garde », comme nos médias-tueurs à gages voudraient nous le faire croire; il s’agit plutôt d’un immense recul dans l’Histoire. En effet, il y a plus de 2000 ans, les Romains exposaient les mêmes penchants d’une manière tout aussi odieuse. Je ne sais pas vraiment ce qui se passe dans la conscience des Français, car je ne regarde plus trop les nouvelles de l’Hexagone puisque presque tout y est censuré, mais vu de l’étranger, les analystes sont unanimes pour affirmer qu’avec cette cérémonie, nous sommes bel et bien en présence d’un projet européen de société décadente : on projette l’humain vers une absence totale de maîtrise de ses plus basses pulsions. La grande réinitialisation génocidaire du Forum économique mondial est ici à l’œuvre, un des buts inavoués de cette secte de non élus étant de rendre les Homo sapiens esclaves de leur mental inférieur pour mieux pouvoir les contrôler sans même qu’ils s’en rendent compte.
Pour une fois, tous les médias anglo-saxons, asiatiques, russes et américains sont d’accord : en supprimant tous les symboles du Surmoi, en humiliant la Cène Christique, en brûlant les cathédrales et les lieux de prières (Notre-Dame de Paris et la cathédrale de Rouen entre autres exemples), l’Union européenne annonce aux Français et au reste du monde l’avènement de la Bête et la destruction systématique de toute spiritualité, en commençant par le christianisme. C’est l’apogée de la laideur du satanisme. Même le monde musulman s’est porté au secours des chrétiens. Les dirigeants de l’OTAN laissent se produire une politique de décadence absolue en exposant leurs vices personnels sur grand écran. On célèbre Dionysos, le dieu de toutes les sauvageries, du viol et du meurtre des enfants, de l’absence de relation sociale, l’absence de retenue et de civilité. C’est la Bête de l’événement annoncée par l’hyperclasse française. Ce qui distinguait l’humain du chien et du porc est annihilé par la célébration de l’assouvissement de toutes les pulsions sexuelles imaginables. On réensauvage le monde par la non-différenciation de l’humain et de l’animal. Et on crée cette prison sensorielle à haut risque au nom d’une idéologie fumeuse de sacro-sainte liberté. L’arnaque est évidente pour qui a encore des yeux pour voir et des oreilles pour entendre. Par cette cérémonie proche du rituel satanique, la petite sous-culture francophone, qui était déjà ridiculement isolée, semble être définitivement devenue un sujet de honte pour plus des trois quarts de la planète. À la suite de cet événement, des milliards d’individus viennent de réaliser qu’il n’existe plus aucune trace de conscience morale dans le spectre politique et culturel médiatique du Vieux Continent.
Comme bien d’autres observateurs encore lucides, tels Idriss Aberkane et Alexis Cossette-Trudel, l’archevêque Carlo Maria Viganô (bien heureusement excommunié du Vatican) analyse courageusement ce genre d’opération de propagande. À l’instar de la plupart des hommes et femmes politiques dans le monde, Mgr Viganô témoigne ouvertement que nous nous trouvons face à une attaque ignoble contre Dieu de la part des élites antichrétiennes, de la part des religions aussi bien socialistes-laïques qu’ecclésiastiques, et de toutes ces idéologies qui cherchent à saper les rôles familiaux traditionnels et à tuer tout éveil spirituel authentique. Un éveil qui pourrait encore sauver l’Europe des prophétiques catastrophes à venir si ces nations malades ne changent pas de direction en recouvrant leur noblesse et leur grandeur passées.
Comme si cela ne suffisait pas, le vice-président européen de la World Boxing Organisation a confirmé que la « boxeuse » algérienne Imane Khelif est un homme. Pourquoi un homme voudrait-il se faire passer pour une femme? Pour rafler des médailles en trichant sur son sexe? Depuis 2022, on sait que cet athlète est biologiquement masculin. Le monde entier parle de lui aujourd’hui à la suite du scandale d’État qu’il a déclenché dans le monde du sport de compétition. Le gars qui voulait tabasser des femmes publiquement comme un sport de divertissement s’est fait prendre la main dans le sac. C’est la faille qui annonce la fin du subterfuge : à partir de là, le narratif de l’idéologie wokiste ne peut que s’écrouler comme un château de cartes. On va redécouvrir ce que l’humanité sait depuis l’aube des temps, à savoir qu’il n’y a que deux genres dans la manifestation cosmique, il n’y en a pas trois : les hommes ont des gènes XY, les femmes des gènes XX. Le bluff n’a pas marché. C’est terminé. Impossible de brouiller les cartes de la biologie sans se ridiculiser aux yeux de l’univers.
Le transgenrisme nous a étourdis par ses distorsions cognitives : il nous a fait croire que le drame du suicide des jeunes pouvait être résolu par un changement de prénom et une ablation chirurgicale irréparable. On a essayé d’imposer les normes de cette mystification à tous les pays du monde. D’après de nombreux experts en géopolitique, ces normes sont heureusement limitées à la zone occidentale. Elles ont été substituées à la raison et au sens commun de la génétique par la American Psychiatric Association il y a une vingtaine d’années. Cette organisation a tenté une prise de contrôle machiavélique des institutions. C’est raté : le monde vient de voir la tricherie avec l’exemple de ce boxeur qui a sournoisement essayé de se faire passer pour une femme. Redisons-le : d’après les analystes non compromis des réseaux internationaux, ce scandale sonne le glas de l’idéologie wokiste. Pour certains, le réveil sera sans doute un peu brutal. Quelle humiliation pour ce sportif falsificateur et pour tous ceux qui l’ont supporté! Les tests ont montré qu’il a les chromosomes XY d’un homme. Fin de l’histoire, c’est un homme et ce n’est pas une femme. Les gènes d’une femme sont XX. Fin de l’hystérie. Avant cet événement, on pouvait encore feindre l’ignorance. À partir de maintenant, si on continue de dire que le boxeur algérien mâle Imane Khelif est une femme, on se situe sur un niveau de réalité qui se ment à elle-même en refusant l’autoritarisme scientifique du réel.
Ce qui nous distingue de l’animal, c’est la retenue. La permissivité ne fait pas le bonheur. Une société qui veut prospérer dans la paix, la sécurité et l’abondance doit naturellement se discipliner afin de développer son Surmoi, sa conscience morale. Sans moralité, le respect de la personne humaine est perdu et l’humain retourne à un niveau bestial. Selon la mythologie grecque, une ode à Dionysos n’est rien d’autre qu’une voie royale grande ouverte vers la destruction du Surmoi. Cette destruction est le résultat d’une politique de décadence morale et spirituelle, un sombre projet qu’on a laissé se produire sans y penser, c’est-à-dire sans se rendre compte qu’il s’agit d’un agenda caché que les médias et les gouvernements de l’OTAN ont tenté de mettre de l’avant.
Dès que les inhibitions s’effondrent, les rives du courant social sautent et la culture devient marécageuse. Les gens s’embarquent sans le savoir vers l’assouvissement de désirs inhumains ou infra humains. C’est ce que la tradition primordiale nomme « la Chute ». Le couple sacré est alors symboliquement « banni du paradis terrestre ». Dès lors, il crée lui-même ses propres conditions désastreuses « à la sueur de son front ». Sans un sursaut de conscience, cette chute ne s’arrêtera pas, car de même que l’évolution vers le bonheur est infinie, l’involution vers le malheur l’est tout autant. La position stagnante n’existe tout simplement pas sur Terre. La ligne de vie est simple et ne nous est pas imposée : soit on est au service d’une spirale de positivité, soit on devient l’esclave d’une spirale de négativité. L’existence ne choisit pas vraiment pour nous. Si minime soit-elle, nous avons une part de responsabilité dans cette affaire. D’une génération à la suivante, l’humanité peut ainsi dégringoler jusqu’à la case départ de l’évolution. Il en résulte que de vastes erreurs socialement inacceptables se produisent sous couvert d’événements pseudoculturels ou sportifs. Historiquement, les conséquences de telles erreurs peuvent être difficiles à imaginer. Einstein, le père de la bombe nucléaire, ne disait-il pas : « Je ne sais pas avec quelles armes les hommes vont se battre durant la Troisième Guerre mondiale, mais je sais que la Quatrième se fera avec des pierres et des bâtons ».
Si réellement le bonheur nous intéresse, relisons les pensées du philosophe Sénèque sur la vie heureuse : « Ce ne sont pas les beuveries ou les orgies continuelles, ni les jouissances des jeunes garçons et des femmes, les poissons et les autres mets qu’offre une table luxueuse, qui engendrent une vie heureuse, mais la raison vigilante qui recherche minutieusement les motifs de ce qu’il faut choisir et de ce qu’il faut éviter, et qui rejette les vaines opinions grâce auxquelles le plus grand trouble s’empare des âmes. De tout cela, c’est la sagesse, elle-même plus précieuse que la philosophie, qui est le principe et le plus grand des biens ». N’acceptons plus n’importe quoi.
J’espère qu’on ne nous opposera pas encore la risible boutade de Buloz, rédacteur de la Revue des Deux Mondes en 1831 : « La morale de Dieu n’est pas actuelle… ». Ce serait avoir une compréhension dépassée, extrêmement limitée du temps éternel et de la continuité des énergies au sein de l’espace manifesté. Ou bien ce serait placer le mot Dieu au niveau des vieilles religiosités et des anciennes superstitions. Nous ne sommes plus au 19e siècle. Avec les avancées des sciences actuelles, le mot Dieu fait référence à un Tout Complet et Absolu. Sa réalité est l’inconcevable unité différenciée, et Dieu ne possède pas de forme concevable par les sens de l’humain. Dieu se suffit à Lui-même et il n’a pas besoin de dogmes, surtout pas ceux de la religion sectaire du socialisme athée d’extrême gauche. N’oublions pas que les plus grands scientifiques nous offrent actuellement la possibilité d’un rapprochement de nos connaissances rationnelles et des intuitions des grandes traditions spirituelles, et contribuent à donner aux humains du 21e siècle une vision unifiée et cohérente du monde.
Rappelons que selon le mathématicien et informaticien Jean Staune (diplômé aussi en paléontologie) les mécanismes darwiniens ne peuvent expliquer l’évolution des espèces, et les données que nous avons aujourd’hui en sciences pures permettent de déduire que « quelque chose qui ressemble à un ordre divin » coordonne l’évolution et l’émergence de la vie dans le long terme. Une société décadente produit des esprits d’une nature limitée qui croient encore qu’il n’existe dans le monde ni vérité, ni ordre, ni providence; ou qui pensent à tort que le monde est composé d’atomes se poussant les uns contre les autres et n’est rien qu’un jeu de hasard. Qui plus est, la décadence culturelle nous fait croire aveuglément que tout finit avec la mort du corps physique. De cette manière, nous n’aurons pas à subir l’impact des énergies réactionnaires résiduelles que nous avons mis en branle durant toute une vie. Or le néant de la mort n’est plus crédible de nos jours, car les preuves de l’existence d’une deuxième conscience survivant à la dissolution des corps sont désormais irréfutables.
Quand on écrit une chronique, on ne le fait pas pour plaire ou pour déplaire, mais pour être à l’écoute de ce qui se passe en coulisses dans le monde. On fait des recherches à travers la presse internationale, on fouille, on fait des investigations, on ouvre des débats en se méfiant de la pensée unique comme la peste. On sait que les hommes n’aiment pas qu’on analyse les tourments qui les tiennent eux-mêmes prisonniers. On paraît souvent les trahir en exposant l’étrange réalité qui se cache derrière la censure des écrans de télévision et entre les lignes des magazines. À mon sens, des éditorialistes du calibre d’Aberkane, Xavier Moreau ou Alexis Cossette-Trudel, ainsi que tous les autres dans le monde (comme Candace Owen aux É.-U.), ont le courage de nous montrer, sans parti pris et de manière objective, ce qui échappe à la plupart d’entre nous. La poétesse Germaine Gillet avouait dans une de ses lettres que nous n’aimons pas qu’on veuille nous arracher au drame de nos erreurs avant l’heure. Si ce qu’elle dit est vrai, peut-être faudra-t-il se rendre jusqu’au bout du danger pour bien nous assurer que le salut n’est vraiment pas de ce côté.
En guise de conclusion, l’écrivain Ignace Lepp, dans ses approches psychanalytiques sur la mort et ses mystères, affirme que « ce qui doit passer normalement pour le signe de décadence d’une civilisation, c’est quand un trop fort pourcentage de ses participants se montrent disposés à vendre leur âme, corps et honneur pour prolonger d’un peu le vice dans une vie de plaisir sans limites dont ils ne savent guère se servir ». Allons-nous rester hypnotisés ou allons-nous sortir de la matrice par un ultime et courageux sursaut de conscience? L’humain naît, vieillit et meurt. Pourtant il existe une réalité qui nous vient du profond des âges : notre destinée actuelle a été lentement formée par nous-mêmes, nos amours, nos instincts, nos pensées, nos désirs. Une vie humaine, si courte soit-elle, n’est qu’une transformation, un passage, une préparation. S’il existe un progrès de nos races, si leur chute dans le malheur de la perversion rapide suppose une ascension ultérieure vers le bonheur de la vertu (sans quoi le monde n’aurait aucun sens), on peut croire qu’un prochain ou lointain avenir nous ramènera l’âge d’or du pur amour, qui fut, nous dit-on, le passé. À suivre…
Par Patrick Bernard, août 2024.
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